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O Scugnizzo

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Tableau de bord

  • Premier article le 26/04/2013
  • Modérateur depuis le 21/05/2013
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    O Scugnizzo O Scugnizzo 22 avril 2013 20:59

    Concernant Nabe y a un moment il était vraiment puissant et chaque sortie était lapidaire.

    http://www.youtube.com/watch?v=bOSduLo1OGA

    http://www.youtube.com/watch?v=g-0gTQ2SNGg

    http://www.youtube.com/watch?v=2fmn-K9Box8

    http://www.youtube.com/watch?v=TQfIiSs1xT0

    Le passage télé sur la mort de Ben Laden était toujours intéressant, mais on commence à s’accrocher plutôt à la figure de dissident qu’au contenu réel.

    http://www.youtube.com/watch?v=YzWpOs6mqtY

    Et puis après y a la descente à l’ignorance, s’il vieillit bien physiquement on peut pas en dire autant mentalement. C’est vraiment dommage mais quand j’écoute cette conférence, j’en reste (Ramadan aussi d’ailleurs) dépité par sa connerie.

    http://www.youtube.com/watch?v=UOwSvhIHQR4

     



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    O Scugnizzo O Scugnizzo 21 avril 2013 20:11

    Tout à fait davideduardo, pour cela faut-il encore ne pas participer aux politiques impériales de propagande et de guerre sur la beauté de notre "système socio-politique". Et c’est toute la différence entre un mec qui s’en prend aux immigrés (comme si le déracinement n’était que moche pour les français) et aux structures logiques, à la philosophie d’un mouvement politique dominant et mis en place par certaines personnes, bien identifiables, mais trop puissantes pour s’y attaquer.



  • 2 votes
    O Scugnizzo O Scugnizzo 21 avril 2013 19:49

    Bon :

    • Il parle de monde fixe et de peuple français vivant. On devrait parler d’agonie politique, et en tirer des conclusions qui manque à son discours
    • Il a soit un côté naïf soit enfumeur qui me dérange beaucoup. "La crise des élites françaises" - "il faudrait des dissidents". Il n’y a pas de crise des élites françaises, juste une légitimité qui s’érode, et le manque de dissident n’illustre pas la crise, mais la supercherie de cette représentation populaire ! Il faudrait qu’il lise Christopher Lasch, qui utilise plutôt le terme "trahison des élites", bien plus adapté à la situation.
    • "Les riches ne peuvent pas accepter la situation" (entendu la croissante inégalité des richesses) ! Celle-là est magnifique ! Le capitalisme c’est justement l’accroissement infini du capital ! C’est le résultat recherché ! Cette accumulation leur permet de s’acheter de la sûreté, en se plaçant géographiquement loin de la masse. C’est la réussite du processus ! L’inégalité en soi ils s’en foutent, suffit de ghettoïser le peuple, de le divertir un peu par le Tittytainment et voilà !
    • Le capitalisme libéral favorise les gains à court et moyen terme, les multinationales (toujours alliées à l’Etat) flinguent l’environnement et ont l’argent pour fuir dans des paradis écologiques et s’acheter de la bonne bouffe, ils s’en foutent ! (Ulrich Beck -> société du risque)
    • "Toute personne qui prône l’austérité devrait faire l’objet d’une enquête de moralité". C’est ce qui les emmerde justement ! D’où que le terme de crise des élites est totalement inadapté ! C’est une trahison (logique, suffit de lire un peu de Rousseau) de la représentation. Autonomie politique qui ne peut se garder que par le manque de contrôle, justement.
    • "L’affaire Cahuzac est très bonne pour la démocratie en France" - "La corruption a atteint la science". Voilà, tout est dit. Le problème de Todd, c’est qu’il critique le système socio-politique occidental par le prisme occidental, en validant ses valeurs fumeuses fondamentales. Comment continuer de parler de démocratie après tout ce constat ? Et pour la science, comme si celle-ci était pure uniquement par sa qualité de toute puissante Science. Comme si la phrénologie, comme si l’interdiction de faire du vélo pour les femmes motivé par des considérations médicales etc n’étaient pas influencées par tout un système symbolique propre à une organisation sociale. Merde il est anthropologue ou quoi ! Il ne parle pas de la science mais de l’imaginaire de la science sans s’en rendre compte, totalement fou pour un mec de son calibre !
    Todd se pose en critique du système sans pouvoir se distancier de l’imaginaire occidental. Ceci l’incite à multiplier les anecdotes démographiques et les critiques molles et empêche le travail d’abstraction nécessaire à la compréhension profonde.


  • 2 votes
    O Scugnizzo O Scugnizzo 21 avril 2013 14:06

    Bien que tout système de contrôle vidéo me débecte au possible, par son côté déshumanisant, le présent article illustre bien tout l’enjeu du problème du pouvoir asymétrique des vidéo surveillances. Voir sans être vu confère une toute puissance aux oligarques, être vu sans voir est le paroxysme de la soumission à son maître. La recherche assoiffée de pouvoir prend entre autre forme par l’installation de vidéo-surveillance asymétrique (voir sans être vu). Et au vu du nombre de vidéo-surveillance présente, au Saint Nom de la Sécurité et de la Tolérance Zéro, dans nos sociétés occidentales, seuls les fous ne peuvent s’alarmer ! La déshumanisation gagne de plus en plus de terrain. A quand des caméras à la Maison Blanche ? A l’Elysée ? A la trilatérale ? Au Bilderberg et autres wannabe genre Club du Siècle ? Au sein des corporations ? Pourquoi seul le peuple doit être filmé sans pour autant pouvoir lui-même filmer ? Si ça dérange les flics, imaginez les politiques et leurs marionnettistes, corrompus jusqu’à l’os !



  • 3 votes
    O Scugnizzo O Scugnizzo 20 avril 2013 20:28

    J’entends de plus en plus le concept clouscardien de libéral-libertaire, notamment utilisé à la télé par Zemmour et Polony. C’est un concept qui ne peut prendre sens qu’au sein d’une critique radicale (et d’une réaction radicale, holiste, non pas sujet par sujet). Pour que l’explication fasse sens auprès de l’audience, il faudrait expliquer l’inévitable fuite en avant du libéralisme. Le "mariage pour tous" (totalement faux) est un pas de plus vers le déracinement, l’attaque aux particularismes, et rien sauf une action radicale ne l’arrêter : ce que se gardent bien d’expliquer nos chers chroniqueurs se disant sulfureux.

    1. Libéral-libertaire implique de sortir du discours suranné gauche-droite. La gauche légitime les actions de la droite et la droite soumet aux lois du marché les avancées de la gauche. (voir Michéa pour cela, que tous ces chroniqueurs connaissent bien). Le déracinement des structures sociales de base ne peut émanciper, l’histoire nous apprenant qu’il soumet simplement aux lois du marché et de ses instruments de diffusion : médias de masse et ceux qui en préparent le contenu, pas vraiment issus du milieu populaire.
    2. Ceci implique qu’il faut sortir de l’idéologie du progrès (comme si chaque changement était un progrès en soi, rien que parce-que c’est un changement), et de la liberté comme absence totale de contrainte (qui mène finalement à la loi de la jungle, la collectivité étant la plus forte et la plus structurée pouvant manger la liberté des autres, ce que nous vivons).
    3. Qu’il est, en partant de cette observation, grand temps de rappeler la Tradition, non en tant que retour en arrière, mais comme fondations de particularismes, desquels est possible un travail intellectuel enrichissant et un cosmopolitisme réellement émancipateur. C’est en tant que miettes de Tradition que le mariage doit être défendu, en tant que point de départ d’une compréhension plus vaste du monde qui nous entoure.

    On ne peut parler de libéralisme-libertaire sans parler de ce qu’il implique.
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