merci pour le partage. Il faut aussi analyser le potentiel humain à vivre dans un "déni" à géométrie variable. La radicalité philosophique à définir l’être au profit de l’avoir s’envole et change d’objectif par trop de concept obscurcissant l’objet du message. L’être est dans sa simplicité "témoin" paisible du temps qui passe et admet que son existence est dans l’acceptation des contradictions et des dichotomies vers un but totalement inconnu et pourtant agissant. Le non désir ou le non vouloir individuel est d’après moi le but ultime.