Alain Soral : “C’est l’Iran qui a financé la campagne du parti anti-sioniste”

En fait Jean Robin se bat contre les gens qui tirent des phrases de leur contexte...

Pareil, je ne vois pas le sens de cette vidéo, il y a des passages plus faibles et polémiques a exploiter.
 
D’une part, Soral est honnête dans ce passage, ils ont fait une liste une fois grâce à des fonds étrangers pour faire 1,7%, et déjà on pouvait les taxer de non indépendance. C’est une expérience qui leur a montré qu’il fallait vendre son âme (finnancement) pour faire de la politique-politicienne dans le monde actuel.
De ce constat, en tant qu’E&R, il ne veut pas mener de parti ou de mouvement politique.
D’autant plus que si on regarde les casseroles qui trainent derrière l’UMP (et d’autres partis, mais ce sont les plus exposés sur ce point en ce moment), on ne sent pas non plus une indépendance financière avec des capitaux 100% franco-français et légaux !!!
 
Surtout que d’autres passages de la vidéo sont beaucoup plus faibles au niveau explication et cohèrence logique, comme le passage sur le national-socialisme qui d’un point de vue strictement éconnomique est une alternative au capitalisme et au communisme.
Alternatif peut être, même en étant cynique et en masquant les exactions de ce régime (quel qu’elle soient), une éconnomie basée sur l’expansion et la conquête reste un système éconnomique non viable, comme l’étaient le capitalisme et le communisme (eux aussi basés sur une croissance infinie).
 
Je trouve que ce passage qui montre une certaine admiration pour l’efficacité d’un pouvoir fort et ordonné (en se disant qu’on ne refera pas les mêmes conneries d’exactions) montre une certaine naïveté dans le sens ou Soral a très bien compris les mécanismes de destruction de la société, mais finalement s’ajoute à la liste des recycleurs de l’histoire qui pensent pouvoir réinventer une roue plus ronde, alors que de toute manière elle est carrée.
Comme les autres parti et penseurs, Soral rêve que son idéologie sera calife à la place du calife et ne parle pas du vrai partage de pouvoir entre nous tous pour éviter q’un extrémiste, quel qu’il soit prenne le melon et le pouvoir absolu pour nous imposer sa façon de voir.

Il manque le lien sur toute la conférence de 1h pour que les gens puissent se faire leur idée hors découpage partisan d’une petite séquence.
 
Libres Propos d’Alain Soral et Gabriele Adinolfi 9 mars 2013
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=vhQ1ehAw7bs

Lien vers la vidéo de 1h pour que chacun fasse son idée.
 
Libres Propos d’Alain Soral et Gabriele Adinolfi 9 mars 2013
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=vhQ1ehAw7bs

Désolé pour le double post, une erreur 404 m’ayant fait croire que le premier n’était pas passé.

L’économie national socialisme se distinguait par la négation de l’étalon or et le développement de l’étalon travail c’est à dire que l’argent était créé par et pour le travail.
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Le Reich a repris le contrôle de l’émission de crédit ainsi que du flux des matières premières sur son territoire. L’Etat établissait des plans de travaux généraux sur 4 ans qui si ils étaient bien calculés permettraient le développement du niveau de vie des travailleurs allemands et la baisse du chômage comme par exemple avec le plan de construction de milliers de maisons ouvrières.
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Les entreprises qui décidaient de participer à ce plan voyaient les crédits et les matières premières se diriger vers elles en priorité. Ainsi la possibilité pour les entrepreneurs de s’enrichir étaient sauvegardés et la population relevaient doucement la tête. Le chômage à pratiquement disparu sous le Reich et l’ouvrier allemand était celui qui disposait du plus haut niveau de vie d’Europe.
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Après l’interdiction des délocalisations dans les pays exotiques à bas salaire (et oui déjà), l’Allemagne ferme ses frontières aux produits venant d’Asie afin de sauvegarder l’emploi de cette concurrence déloyale. L’Etat va aussi se réserver le droit de fixer les prix des produits importés sur son sol afin de contrecarrer la domination marchande sur le producteur.
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Enfin le Reich, ne disposant pas de suffisamment de matière première sur son sol et se retrouvant dans l’impossibilité de commercer internationalement du fait de son manque de réserve or, organise un système de troc entre les pays "sans or". Son marché extérieur explose et devient vite le troisième marché extérieur du monde et ce sans un gramme d’or déboursé.
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Ce système de troc est tout bonnement révolutionnaire puisque d’une part il supprime les intermédiaires (bancaires ou autres traders) mais surtout la valeur des produits échangés n’est pas fixé par la loi de la demande et de l’offre (axiome de toutes les manipulations spéculatives) mais calculé via le prix de revient des produits.
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Ainsi alors que dans l’économie libérale, le marchand va être tenté de réduire les salaires pour augmenter sa marge, dans l’économie national socialisme l’Etat va fixer la valeur de ses produits sur le prix de revient de ses produits.
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Donc plus le prix de revient est élevé, plus les produits ont de la valeur et plus ils seront échangés contre une quantité plus grandes de produits d’un autre pays (puisque devant atteindre la même valeur). Ce système incite donc tous les Etats y participant à élever les salaires de leurs travailleurs.
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source : Francis Delaisi

Merci pour ce résumé fort intéressant.
ça reste classique, protectionnisme, socialisation des équipements d’intérêt général avec grand travaux, contrôle de la monnaie, échanges de bons procédés avec des pays amis.
Ce n’est pas une politique "national socialiste" en soit, c’est du bon sens économique pour ne pas se faire bouffer par les vautours extérieur.
Si on regarde la politique de Chavez, il y aurait beaucoup de similitudes !!!
Et pourtant il n’y a pas toute l’idéologie suprématiste qui va avec le national-socialisme (allemand=spartiates, les autres=ilotes dans le programme quand même)