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De Merah au Bataclan, le témoignage choc d’un héros du RAID | Marc Verillotte | Géopolitique Profonde

Le 22 mars à 18h30, Marc Verillotte, Jean-Maxime Corneille, Serge Federbusch et Olivier Piacentini seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.

Marc Verillotte, ancien judoka de haut niveau et membre émérite du RAID, est un homme dont le parcours force le respect. Après une carrière sportive distinguée, il a rejoint les rangs de cette unité d’élite de la police française, où son expertise en matière d’adaptation au stress et d’optimisation des habiletés mentales a été mise à rude épreuve. Sa participation à des interventions critiques telles que les affaires Yvan Colonna, Mohamed Merah, et les attentats du 13 novembre 2015, témoigne de son engagement et de son courage. Il vient de publie « Au cœur du RAID ».

Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad : L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».

Serge Federbusch est un haut fonctionnaire, essayiste, blogueur et homme politique français. Ancien élève de l’ENA, il a été conseiller au tribunal administratif de Paris, diplomate en Asie, conseiller pour l’Urbanisme, le Logement et les Transports au cabinet du maire de Paris et directeur général de la SEM Paris Centre. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la politique française et parisienne.

Olivier Piacentini est un essayiste, diplômé de l’Institut d’Études politiques de Paris, spécialisé dans les questions de mondialisation et de géopolitique. Il a publié plusieurs ouvrages, dont « Vers la chute de l’Empire occidental », « La mondialisation totalitaire », « Le mirage mondialiste » et plus récemment « La chute finale : l’Occident survivra-t-il ? ».

L’entretien à venir promet d’être captivant, explorant les profondeurs du RAID, cette unité d’intervention spécialisée de la police nationale française.

Marc Verillotte partagera son expérience sur des questions aussi essentielles que la confrontation à la mort, la gestion des traumatismes psychologiques et l’évolution de la profession dans un contexte de menaces croissantes. Son livre, « Au cœur du RAID », co-écrit avec Karim Ben Ismaïl, offre un témoignage poignant sur ces réalités souvent méconnues du grand public.

L’entretien explorera des questions fondamentales sur la nature du RAID et la réalité de ceux qui servent dans cette unité d’élite. Marc Verillotte nous éclairera sur ce qui pousse un individu à embrasser une carrière au sein du RAID, confrontant quotidiennement la possibilité de sa propre mort.

Comment les membres de cette force spéciale font-ils face à la peur, gèrent-ils les traumatismes psychologiques et vivent-ils avec le poids de leurs actions ?

Les événements tragiques du 13 novembre au Bataclan soulèvent des interrogations sur les réponses de l’État ; cet entretien sera l’occasion de discuter des possibles dysfonctionnements et de l’évolution du métier face à une société qui semble devenir de plus en plus violente.

Ne manquez pas cet rendez-vous passionnant, le 22 mars à 18h30, en direct sur GPTV !

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Tags : Attentats Terrorisme Affaire Merah




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2 réactions à cet article    


  • 3 votes
    Et Hop ! 30 mars 08:58

    La question qu’il fallait poser, c’est :

    Pourquoi la police a-t-elle fait informer Mohamed Merah par toute le presse qu’il avait été identifié et qu’elle allait venir l’arrêter chez lui ? Le but était de donner l’occasion de tuer Mohamed Merah pour quon ne puisse pas savoir si il était le coupable, et si il l’était quels étaient ses commanditaires.

    Si Mohamed Merah n’avait pas été prévenu, il ne se méfiait pas et il pouvait facilement être arrêté vivant pendant qu’il sortait faire ses courses.

    Aucune poursuite n’a été faite contre le fonctionnaire de police qui a violé le secret de l’enquête et livré l’information à la presse, donc il a agi sur ordre.


    • 2 votes
      strycker strycker 7 avril 20:00

      @Et Hop !
      tellement vrai, le but est de créer l’effet miroir c’est pas nous (état) mais lui (pion de l’état), détruisez coute que coute les preuves...



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