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Accueil du site > Tribune Libre > Le paganisme, arme de résistance face à la mondialisation ?

Le paganisme, arme de résistance face à la mondialisation ?

Jean-Paul Bourre, Europa Radio, 18/09/11

 

Tags : Christianisme Mondialisation




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26 réactions à cet article    


  • 6 votes
    Cascabel 22 septembre 2011 08:19

    Bonjour Jean Paul Bourre, ravi de vous voir apparaitre sur Agoravox et de vous entendre rappeler certaines vérités au sujet de notre héritage ! 


    • 5 votes
      Catherine Segurane Catherine Segurane 22 septembre 2011 11:39

      Même avis. Quelques coupures rendraient la vidéo plus facile d’accès.


    • vote
      arpontar 24 septembre 2011 11:20

      @hellenworth pas hellen woerth...je l’espère


      S IL Y A LE FEU...CHEZ TOI ...JE SUIS PAGAN...ET BRETON....J ’ARRIVE....


    • 9 votes
      Jean-Paul Bourre Jean-Paul Bourre 22 septembre 2011 09:01

      Un peu long, mais on voit ce que le paganisme (celui de "nos ancêtres les gaulois par ex) peut apporter au combat identitaire -( à ne pas confondre avec les zozos sapés en viking et portant le marteau de Thor) - j’ai bien aimé sa vision du christianisme médiéval, enraciné, croisé au vieux paganisme des celtes, comme deux épées - c’est vrai que les lieux de cultes, sources, églises, lieux de pélerinages, sont souvent les mêmes, et il s’agit du plus vieil enracinement, comme le dit Jean Paul Bourre, européen.


      • 6 votes
        Jean-Paul Bourre Jean-Paul Bourre 22 septembre 2011 09:05

        Lol ! Un pote a utilisé mon adresse Agoravox - mais malgré la confusion, merci quand même - je soutiens à 100 % - je soupçonne un proche de la radio web.


      • 6 votes
        Catherine Segurane Catherine Segurane 22 septembre 2011 11:38

        Le paganisme est profondément et mystérieusement enraciné au plus profond de l’âme européenne. Il re-surgit toujours quand on le croit mort.

        Personnellement, je suis peu attirée par le paganisme nordique (Thor, Odin ...) mais la mythologie grecque et latine (et gauloise quand on en apprend quelques bribes même parcellaires) m’enchante toujours.

        Je note une chose :

        Le christianisme n’a pu s’implanter en Europe qu’en avançant masqué.

        Le christianisme médiéval était un pagano-christianisme avec un faible pourcentage de christianisme.

        Quand l’invention de l’imprimerie (plus encore que la Réforme) a mis la Bible dans toutes les mains, ce fut le début de la fin pour le christianisme.

        Parce que l’Ancien Testament ... beurk ... toutes ces histoires de vieux patriarches qui couchent avec leur bru ... que du débectant ; aucune beauté, aucune poésie.


        • 1 vote
          Vla l'Jean Jean Valjean 23 septembre 2011 22:19

           smiley Mouaarff !


        • 2 votes
          arpontar 24 septembre 2011 11:18


          JE SUIS PAGAN ET BRETON...J’ ARRIVE S IL Y A LE FEU....


        • 31 votes
          soulmanfred 22 septembre 2011 17:22

          Revenons à l’âge de pierre pour retrouver notre identité ...


          • 1 vote
            Catherine Segurane Catherine Segurane 23 septembre 2011 11:00

            Qui parle d’âge de pierre ?


            Le paganisme, c’est le pluralisme. C’est la démocratie athénienne. Ce sont les pratiques populaires inventées spontanément par les villageois français tout au long de l’histoire, sans en faire la théorie. C’est la beauté des anciennes légendes. C’est le dialogue des cultures (j’ai écrit plusieurs articles sur le gréco-bouddhisme, qui a duré près de 1000 ans avec les généraux d’Alexandre).


          • 2 votes
            arpontar 22 septembre 2011 18:50



            ET REOUVRONS LE ...BAGNE DE CAYENNE POUR EN FAIRE UN GUANTANAMO POUR POLITIQUES FRANCAIS....NOUS DEVRONS Y LOGER BEAUCOUP DE MONDE ...PREVOYONS GRAND...IL FAUT Y ENVOYER LES MINISTRES ...AVEC SARKO...
            SURTOUT HORTEFEUX ET GUEANT COMME GARDIENS CHEF... (kapos...)
            pourquoi...parce qu’ils sont tous appointés par des CLUBS dont le plus connu est le club dans les CLUBS DOMMUS...OECONOMIA...PROMETHEE..

            OU EN PLUS PRIVONS LES D INDEMNITES pour les donner aux restos du coeur


            • 7 votes
              Jean-Paul Bourre Jean-Paul Bourre 23 septembre 2011 07:48

              comme laïcisme, par exemple, ou journalisme


              • vote
                Catherine Segurane Catherine Segurane 23 septembre 2011 11:05

                Je ne sais pas ce que tu appelles laïcisme.


                La laïcité est indispensable aux minoritaires, en particulier aux païens qui ne constituent pas une église et qui ont besoin de pouvoir vivre leur paganisme en toute individualité et de façon inclassable : un tel fera partager son émotion pour des vieilles légendes ; telle autre fera davantage de recherche historique ; tel autre essaiera de réinventer de vieux rituels (avec peu de chances d’être exact vu le peu de sources mais après tout on s’en fout) ; tel autre encore écoutera ses rêves et réinventera l’ésotérisme ... rien que des trucs individuels qui ne pourraient pas vivre dans un cadre structuré selon les rêves des monothéismes abrahamiques.



              • 1 vote
                eQzez edzez 23 septembre 2011 09:59

                Bizarre, les sociétés évoluent , et vous voulez faire marche arrière.


                Le systeme est corrompu , on a les solutions qui sont tres simples d’ailleurs.

                Le systeme corrompu est en faillite , il a montré ses faiblesses, ça montre aussi votre ignorance qui vous a pousser à une croyance qui vous mene à la decadence , à la perdition, à la perte de vos libertés , au baffouement des droits de l’homme. 

                Yann barthes est genial avec son petit journal , il arrive à montrer votre stupidité. MERCI à LUI

                • vote
                  ffi 23 septembre 2011 14:39

                  Une religion, ça ne s’invente pas, ça se constate.
                  .
                  Comment voulez-vous que les français puissent aujourd’hui croire que la Foudre est un Dieu ?
                  .
                  Le courant du nationalisme révolutionnaire, pour lequel plaide Monsieur Bourre, a déjà existé dans l’histoire, et il a échoué : c’est le National-socialisme. S’appuyer sur un passé dont on ne connaît plus rien, qui est donc nécessairement fantasmé, permet de raconter n’importe quoi.
                  .
                  Au contraire, la résistance identitaire doit s’appuyer sur le passé que l’on connaît, car chacun a alors à disposition immédiate les preuves de ce qui a fonctionné et de ce qui n’a pas fonctionné.
                  .
                  La doctrine chrétienne a permis d’inventer les universités, les hôpitaux, les orphelinats, les services publics...etc. La pensée européenne s’est inscrite dans ce cadre de référence pendant 1500 ans, et elle s’y est exprimée à sa manière propre, avec son intelligence propre.
                  .
                  Être fidèle à quelque chose implique au préalable de connaître cette chose.
                  .
                  Mais si certains inventent une chose, et clament : "voilà cette chose que je fantasme, c’est à cela qu’il faut être fidèle !", c’est une arnaque... Être fidèle en identité implique de ne rien avoir à apprendre au préalable.


                  • 3 votes
                    Catherine Segurane Catherine Segurane 23 septembre 2011 17:00

                    @ffi 


                    1 aimer le paganisme, ce n’est pas revenir à la croyance que la foudre est un dieu !

                    2 l’apport du christianisme à la civilisation française est indéniable, mais la nécessité de le relativiser est indéniable également ; d’abord, le christianisme est un syncrétisme (judaisme + pensée grecque) ; ensuite, le christianisme n’a pu s’implanter en France qu’en s’avançant cachés (reprise d’anciens temples païens) ; il a toujours rencontré beaucoup d’opposition (gallicanisme des rois, puis laïcité) .

                    Il a passé tout le Moyen Age à empêcher le populo d’avoir accès à son texte fondateur (la Bible) ; puis, quand l’accès à la Bible s’est généralisé, ce fut le début de la fin pour le christianisme ; en on le comprend ! ces histoires de vieux patriarches qui couchent avec leur bru ... beurk.

                    A la base, le Européens sont des peuples LIBRES : démocratie athénienne, esprit gaulois ... le monothéisme abrahamique ne leur convient pas. Certes, au sein du monothéisme abrahamique, le christianisme est moins pire que le judaïsme ou l’islam, mais c’est parce qu’il est mélangé de pensée grecque.

                    La mère de notre civilisation, c’est la Grèce. On en revient toujours là.


                  • vote
                    ffi 23 septembre 2011 18:32

                    Le christianisme n’avance pas masqué, il s’agit d’une religion exotérique et son enseignement est publique. En cela il est vrai qu’il s’oppose particulièrement aux religions initiatiques.
                    .
                    L’idée à la base du christianisme n’est pas "juive", puisque le judaïsme est de création plus tardive que le christianisme. Le christianisme affirme qu’il existe un Dieu créateur de l’Univers, et voit dans le Christ son incarnation. Si effectivement le Christ a réalisé les miracles qu’ont lui prêtre (faire ressusciter les mort, guérir les aveugle), alors c’est hors-du-commun et c’est donc bien la preuve qu’il existe un Dieu hors de ce monde. Si l’on n’y croit pas, il reste néanmoins que les analogies et paraboles qui se trouvent dans l’évangile sont souvent très intéressantes (on reconnaît l’arbre à ses fruits ; on ne fait rien pousser sur des cactus ou des chardons ; critiquer la paille dans l’oeil du voisin sans voir la poutre dans le sien ; Que celui qui gouverne soit comme celui qui sert ; ...etc).
                    .
                    Que l’idée chrétienne ait servi de cadre référence pour recueillir la pensée grecque est une évidence, et c’est logique puisque le christianisme apporte une information : l’existence de Dieu et son incarnation, et aussi quelques paraboles, mais guère plus. En cela, le christianisme peut facilement se colorer des traditions locales (voir ici, au Mexique, par exemple). Puis le christianisme a ensuite servi encore de cadre aux réflexions depuis 1500 ans. Saint-Thomas d’Aquin (l’intelligence présente son objet à la volonté) ou Leibniz (la mémoire imite la raison, mais doit en être soigneusement distinguée) sont des penseurs incontournables et il est regrettable de ne plus étudier : cela démystifierait bien des discours d’aujourd’hui...
                    .
                    Maintenant, dois-je vous rappeler qu’au moyen-âge, il n’y avait pas d’imprimerie ?
                    .
                    De plus, je me dois de vous rappeler que la période de la démocratie athénienne, correspond à la période où la Grèce s’est auto-détruite dans la guerre du Péloponnèse.
                    .
                    D’autre part, je ne considère pas anormal les frictions entre le royaume de France et l’église de Rome.
                    .
                    Quant à votre assertion des chrétiens détruisant les temples, quelles preuves ? Peut-être les gens se sont-ils simplement convertis, non ? Dans la période de l’effondrement de l’Empire Romain, seules les communautés solidaires et laborieuses ont pu survivre. Or il se trouve que les communauté chrétiennes sont solidaires et laborieuses.
                    .
                    Enfin, ce que je critique, c’est de vouloir prôner une "fidélité identitaire" envers des choses plutôt fantasmées qu’autre chose, étant donné qu’il n’y a que de très rares sources. En effet, si je suis fidèle, c’est à ce que je connais déjà. En revanche, si j’adhère à quelque chose inventé pour la cause, ce n’est pas de la fidélité, c’est de la révolution au nom d’un passé mythique. Bref, c’est le courant nationaliste révolutionnaire, et je vous le dis, ce n’est pas pour le point godwin, mais c’est exactement la démarche du national-socialisme (Hitler accusait "les juifs" d’avoir perverti l’occident en y apportant le christianisme). Mais la mythologie Hitlerienne sur la race aryenne n’était pas fondé sur du concret, du réel.


                  • 1 vote
                    Catherine Segurane Catherine Segurane 23 septembre 2011 18:39

                    Le point Godwin est effectivement touché.



                  • vote
                    ffi 23 septembre 2011 21:37

                    Sauf que là, il s’agit d’une véritable analyse de ce que fut le nazisme : un nationalisme révolutionnaire, dont l’objectif était un retour au paganisme germanique. Pour compléter le tableau, il faut aussi ajouter que Hitler était à fond pour le darwinisme (je ne sais si Bourre est sur la même ligne darwiniste).
                    .
                    Voyez la société Thulé.


                  • 2 votes
                    Catherine Segurane Catherine Segurane 23 septembre 2011 22:22

                    Je ne savais pas que Socrate et Platon étaient nazis.



                  • vote
                    ffi 23 septembre 2011 23:24

                    Je ne vois bien le rapport. Il suffit de la politia de Platon/Socrate et en particulier le mythe d’Er le pamphylien, qui évoque le retour de la mort d’un homme pour raconter le jugement des âmes, ou encore le Banquet (= l’amour platonique), pour constater la proximité entre cette philosophie et le christianisme. Cette proximité de doctrine est corroborée par les contacts incessants des pères de l’église avec les néo-platoniciens.
                    .
                    Nous sommes d’autant plus instruits d’avoir dans nos anales autant la bible (un des plus anciens livre du monde, saga sur plusieurs siècles) que la philosophie grecque.
                    .
                    Maintenant, ce que je remarquais, c’est le paradoxe de parler de fidélité envers une pseudo-identité fantasmée pour l’occasion - donc dans laquelle peut être mis n’importe quoi. Si l’on doit être fidèle à quelque chose, c’est nécessairement à ce que l’on a connu soi-même.


                  • 2 votes
                    Catherine Segurane Catherine Segurane 24 septembre 2011 06:05

                    @ ffi


                    Avec cette idée d’"être fidèle à ce qu’on a connu soi-même", tu nous demandes d’être fidèles au christianisme tout en actant le fait qu’il ait balayé au préalable la vraie culture européenne païenne.

                    Il ne s’agit pas d’aller reconstruire de toutes pièces (et sans avoir de documentation suffisante) une religion païenne avec une église et des rites ! On n’est pas des guignols !

                    Il s’agit d’être ouverts à un esprit de pluralisme.

                    Il s’agit d’être ouvert à l’idée que le sacré se manifeste à son propre rythme, selon ses propres modalités, parfois inattendues.

                    Une vieille légende qui nous touche encore quand nous l’entendons, c’est du paganisme, c’est un dieu local qui nous montre son éternité et sa vigueur.

                    Un lieu comme Lourdes, c’est un rite païen qui montre qu’il est immortel (faire appel au pouvoir curatif des grottes et des sources comme par exemple aux sources de la Seine dans l’antiquité - voir les ex-votos).

                    Le personnage même de Marie, avec le niveau d’adoration qu’elle a reçu, est paien (culte d’une grande déesse) ; en effet, dans la Bible, le rôle de Marie est hyper-modeste.



                    • 2 votes
                      Catherine Segurane Catherine Segurane 24 septembre 2011 06:23

                      C’est quand même bizarre cette idée d’ "être fidèle à ce qu’on a connu soi-même".


                      Donc, si l’islam réussit à s’emparer d’un endroit, les habitants, au bout d’une génération, auront le devoir d’être fidèles à l’islam ?

                      Non !

                      On est fidèle à une culture plurimillénaire.

                      On essaie d’en garder quelque connaissance, ou de la retrouver, quand les autorités cherchent à l’étouffer.

                      On observe ce que les traditions ont d’éternel au delà des formes temporaires que les diverses religions leur ont imprimé au fil du temps. Ainsi, la célébration du solstice d’hiver a successivement pris la forme des Saturnales, puis du Sol Invictus, puis du Noël chrétien, puis du Noël commercial (qui a retrouvé sans probablement le vouloir la tradition de la célébration de l’abondance des Saturnales par ces banquets qui font tant hurler les curés).




                    • vote
                      ffi 24 septembre 2011 23:55

                      Vous partez du principe que le christianisme a "éradiqué" la culture gauloise.
                      .
                      Mais déjà, il vous faudrait faire le tri entre l’empire romain et le christianisme.
                      .
                      Ensuite, le christianisme s’est plutôt surajouté à ce qui existait déjà, comme vous notez une certaine continuité des coutumes et des lieux de culte - même si il est vrai que l’empereur Romain, pour des raisons de stabilité politique, a voulu imposer le christianisme comme religion pour tous, et cela se comprend bien dans le contexte de guerres civiles permanente marquant la fin de l’Empire Romain. Mais, c’est le propre du christianisme : il se surajoute et préserve ce qui n’a pas de raison d’être aboli. On y constate une grande variété de cultes entre l’Europe, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique, l’Asie. D’autres religions font tables rase, imposent tout, jusqu’aux coutumes.
                      .
                      La tripartition sociale : guerriers (bellatores) / druides-prêtres (oratores) / travailleur (laboratores) s’est semble-t-il maintenue. Aucun doute, pour moi, c’est bien l’esprit européen qui s’est exprimé à travers le christianisme européen. Evacuez le christianisme, vous évacuerez 1500 années de penseurs charnellement européens. A ce propos, si vous avez l’occasion, lisez-les, depuis la fin de l’empire jusqu’au 17ème. Les ignorer, c’est ignorer votre identité, car c’est dans ce cadre de référence qu’ont été raffinées non seulement nos moeurs, mais en plus notre langue...
                      .
                      Personnellement, je lis Homère, Platon, Aristote, Porphyre, Saint-Augustin, Saint-Thomas d’Aquin, Malebranche, Pascal, Leibniz, De Bonald... (Lisez "la théorie du pouvoir politique et religieux" de De Bonald, vous comprendrez mieux la France pré-révolutionnaire)
                      .
                      L’identité, c’est le caractère de ce qui reste identique avec le temps. Pour rester identique au passé, il faut donc bien s’identifier à quelque chose. S’il doit y avoir continuité, l’on doit se pencher sur ce que connaissaient nos anciens immédiats (et parmi ces connaissances, il y a les penseurs de l’antiquité et les penseurs chrétiens)
                      .
                      Maintenant, il est vrai que la France révolutionnaire pose un problème. A quelle tradition se référer ? A La tradition du roi très chrétien - dont les vestiges peuplent le pays et qui porte 2000 ans de penseurs, de la grèce antique au 18ème, ou bien à la tradition des droits de l’homme universel - dont les banlieues peuplent le pays et qui confine sa pensée à 200 ans d’âge ? Il y a de quoi être un peu perdu...
                      .
                      De plus, puisqu’il a semblé légitime de bouleverser la tradition politique une fois, pourquoi ne pas changer celle-ci une seconde fois, redevenir païen ? Puis pourquoi pas une troisième fois, devenir musulman ?
                      .
                      Dans ce cas ne parlez pas d’identité, mais parlez de continuation révolutionnaire et d’instabilité politique. Se révolutionner au moyen d’un passé sans archive, idéalisé et fantasmé, tout en parlant d’identité, c’est juste une arnaque...
                      .
                      J’aime nos ancêtre, et je sais qu’ils nous ont aimé. Parce qu’ils nous aimé, je sais qu’ils ont toujours voulu nous transmettre le meilleur. J’y suis donc fidèle.


                    • vote
                      ffi 25 septembre 2011 00:04

                      Cette fidélité, c’est la foi. A celle-ci, j’y ajoute la raison. Fides et Ratio, ou Foi et Raison, donc Identité et Intelligence, voilà l’adage chrétien : il me convient parfaitement.


                    • 4 votes
                      Jean-Paul Bourre Jean-Paul Bourre 2 octobre 2011 16:03

                      Le christianisme médieval combattant - ok, parce qu’il est croisé avec les anciennes croyances des terroirs d’Europe (gauloises, chez nous). Quant à la vision universelle du christianisme, ex : conversion de toutes les nations à l’autre bout de la planète, en Afrique ou ailleurs, que devient l’identité là-dedans ? ça ressemble plutôt à du mondialisme. Le seul christianisme que je défends est un christianisme enraciné.



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