• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Masques en extérieur : sur la plage et en forêt, cela a-t-il du sens (...)

Masques en extérieur : sur la plage et en forêt, cela a-t-il du sens ?

Deux interventions datant du 26 avril 2021.

Sur Dailymotion, au cas où...

Sur le site du Canard républicain :

- « Coronavirus : les masques à la maison, en extérieur et les fadas » (14/11/20)

- « Le port du masque en extérieur est-il vraiment indispensable ? » (06/03/21)

J.G.

----------------

https://www.lecanardrépublicain.net

Nous suivre sur : Facebook | Twitter | YouTube

 

Tags : Santé Covid-19 Masques




Réagissez à l'article

14 réactions à cet article    


  • 3 votes
    Le Canard républicain Le Canard républicain 27 avril 2021 13:21

    Concernant l’article publié par Sud Ouest, une question a été posée :

    https://twitter.com/LCanardR/status/1384429124010250240?s=20

    « 

    Madame, Monsieur,

    Pour quelle raison manque-t-il un paragraphe entre votre publication et celle de https://information.tv5monde.com/info/les-masques-sont-ils-necessaires-l-exterieur-405411 ?

    Bien à vous. »

    https://twitter.com/LCanardR/status/1384429124010250240?s=20


    • 1 vote
      Vulpes vulpes Vulpes vulpes 27 avril 2021 13:51

      @Le Canard républicain
       
      Merci pour votre article !
      La situation est bien claire.
       


    • 5 votes
      JL 27 avril 2021 14:23

       La question de l’efficacité du asque en extérieur est un faux problème.

       

      Coronavirus. Ceci n’est pas un masque !

       

       « L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la « pandémie ». Cette contrainte n’est pas d’ordre sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

      Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie, » la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime. »


      • 3 votes
        Vulpes vulpes Vulpes vulpes 27 avril 2021 14:55

        @JL
         
        Merci pour l’article !
        Très intéressant et bien écrit !
         


      • 1 vote
        sls0 sls0 27 avril 2021 15:29

        Personnellement dans mes calculs de probabilités de contamination, pour 1 personne en intérieur ça équivaut à 90 personnes en extérieur pour un temps de contact supérieur à 15 minutes.

        J’en ai lu un paquet d’études pour avoir un chiffre pour l’extérieur, des cas recensés en extérieur plus de 15 minutes c’est rare. Ce que j’ai eu ce sont des événements festifs donc ce rapport de 90 correspond à des conditions extrêmes, si quelqu’un me dit un rapport de 200 ou 500 dans des conditions moins festives je serai d’accord avec lui.

        Difficile de justifier d’un chiffre en extérieur car il y a peu de cas recensés dans les études.

        Si on demandait au gouvernement de justifier scientifiquement le port du masque en extérieur il aurait très difficile. C’est de l’ordre du dogmatique.


        • 2 votes
          vesjem vesjem 29 avril 2021 09:49

          @sls0
          arrête de brasser de l’air, çà pue le pet


        • 1 vote
          BA 28 avril 2021 00:05

          En Inde, des crématoriums à ciel ouvert pour les morts de la Covid.


          L’Inde fait face à une flambée épidémique alarmante. Ces dernières 24 heures, le ministère de la Santé a enregistré 323 144 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 et 2 771 décès. En ville, les bûchers funéraires et les crémations de masse se multiplient.


          Les cimetières et crématoriums indiens sont pris de court par le nombre croissants de décès liés à la Covid-19. Ces derniers jours, la pandémie a atteint une gravité sans précédent dans le pays, avec un nouveau bilan officiel de 323 144 nouvelles contaminations et 2 771 décès, en seulement 24 heures.


          À Ghaziabad, près de la capitale New Delhi, les chaînes de télévision ont diffusé des images de corps enveloppés dans des linceuls, alignés sur le trottoir, attendant leur tour pour l’incinération.


          Dans l’État du Gujarat, dans l’ouest de l’Inde, les crématoriums de Surat, Rajkot, Jamnahar et Ahmedabad tournent 24 heures sur 24 avec trois à quatre fois plus de défunts que la normale. 


          "Jusqu’au mois dernier, nous incinérions une vingtaine de corps par jour. Mais depuis le début du mois d’avril, nous traitons plus de 80 corps par jour", explique Ramnath Ghela, le responsable local du crématorium de Surat, à l’AFP.


          Avec des temps d’attente pouvant aller jusqu’à huit heures, la ville de Rajkot a, de son côté, mis en place une salle de contrôle dédiée à la gestion 24 heures sur 24 et 7 jour sur 7 du flux des crémations, dans quatre crématoriums distincts. 


          À Lucknow, capitale de l’État de l’Uttah Pradesh dans le nord de l’Inde, certains crématoriums, confrontés à une pénurie de bois, sont contraints de demander aux familles des victimes d’apporter leurs propres combustibles. 


          Rohit Singh, dont le père est mort du Covid 19, confie à l’AFP que les responsables du crématorium facturent environ 7 000 roupies (100 dollars) la crémation, soit près de 20 fois le tarif normal. L’attente est parfois si longue qu’une famille a commencé à incinérer un corps dans un part adjacent à l’un des crématorium raconte un responsable.


          https://www.franceinter.fr/monde/en-images-en-inde-des-crematoriums-a-ciel-ouvert-pour-les-morts-de-la-covid



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Publicité





Palmarès