Nécro Codex Alimentarius
Le Codex Alimentarius est l'organe de propagande du complexe pharmaco-chimique qui vise le monopole mondial le plus despotique que nous n'ayons jamais connu. Cet organisme mondial est en fait une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernement eux-m^mes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale. Par exemple, l'Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116,8 millions de dollars pour son refus d'importation de veaux aux hormones.
Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même selon des normes qui causeront votre perte.
Le Codex Alimentarius est une organisation créée en 1963 par la FAO et l’OMS pour établir des normes internationales en matière alimentaire (soi-disant pour « protéger le consommateur », mais en fait surtout pour faciliter le commerce). Il y a des Comités pour presque tous les domaines liés à l’alimentation. Aujourd’hui, plus de 300 normes du codex sont déjà obligatoires, de fait. La plupart datent de ces dernières années.
Le problème est que l’industrie y est fort bien représentée, et que le Codex a tendance à faire la chasse aux vitamines, compléments alimentaires et autres thérapies naturelles basées sur une meilleure alimentation. En revanche, les OGM, les pesticides, ou le sel et les mauvaises graisses ne posent aucun problème dans le cadre du Codex.
Codex Alimentarius : contrôle global par l’alimentation
Codex alimentarius : explications
Les origines nazies du Codex Alimentarius : Conférence de Ian R Crane, analyste politique britannique
http://a2.idata.over-blog.com/300x2...
Aux sources du ’’Codex’’ : l’histoire secrète du trust-pharmaco-chimique, son rôle dans l’Allemagne nazie :Le géant chimique IG.Farben, fut au cœur de la machine de guerre d’Hitler, il avait une branche US dirigée par les Rothschild par l’intermédiaire des Warburg (Paul Warburg dirigeait durant sa création la banque privée ’’Central Bank of America, la Réserve Fédérale, en 1913, siégeait comme directeur Américan.IG). IG Farben était chargé d’organiser l’organisation du camp de travaux forcés à Auschwitz et était en réalité une division de la Standard Oil, laquelle appartenait officiellement John D.Rockefeller, ce dernier pris une participation de 15% dans ce nouveau trust Germano-Américain en 1939. Pour en savoir plus sur IG Farben et le Codex Alimentarius, je ne peux que vous recommander fortement de vous renseigner sur le lien suivant :
Http ://www.morpheus.fr/spip.php&...
Le Codex Alimentarius ou le passage à marche forcée à la nourriture synthétique et comment affaiblir la population pour vendre des médicaments : Anthony Taylor, qui observe le Codex pour le compte de la national Health care Federation, explique ainsi ’’ il est tout à fait clair que le Codex privilégie toujours les intérêts économiques, surtout ceux des industries pharmaceutiques, chimiques et génétiques, avant ceux de la santé humaine. Il ne fait donc aucun doute que Codex est bel et bien un instrument des forces qui poussent pour la « globalisation », en contrôlant, et en limitant, l’accès à des aliments et compléments alimentaires sains et sûrs, le Codex, en fin de compte, protège surtout les intérêts des grandes multinationales pharmaceutiques. Pour cette industrie, tout ce qui développe la bonne santé, aux dépens de la maladie, est une menace directe au développement des ventes de drogues chimiques synthétiques, brevetées. ’ En 1979 le Codex publie le ‘Codex general guidelines on claims’, révisé en 1991, un document qui prétend que seuls les produits pharmaceutiques chimiques sont bons pour la santé. Et le texte interdit de dire que :
une alimentation normale apporte suffisamment de nutriments pour être en bonne santé.
qu’on peut aussi se soigner, même en partie, avec une alimentation adéquate et/ou des compléments alimentaires.
certains aliments sont dangereux. Ce qui devient pourtant de plus en plus le cas.
Dès lors, toute information qui ne va pas dans le sens du Codex est interdite. Le monopole de la vérité médicale appartient donc aux industriels.
Le 13 mars 2002, le parlement européen entérine une réglementation très contraignante au sujet des thérapies naturelles et des compléments alimentaires[3], malgré près de 400 millions de signatures pour défendre les thérapies alternatives. Ainsi, un pays ne peut autoriser des compléments alimentaires non avalisés par le Codex, mais il a le droit des les interdire complètement. Des quantités maximales et minimales de vitamines etc. sont établies.En fait une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employé en permanence pour influencer les législateurs, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation. L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement les effets secondaires dangereux en les reniant publiquement. Un grand nombre de partis politique européens ’’dits ’’ de gauche et de droite sont financé par ces trusts. Sans que la plupart des électeurs en ait conscience, le non massif à la Constitution européenne a été aussi un non au Codex Alimentarius, de même que le ’’non’’ au maintien de la France dans l’Union européenne est aussi un non au Codex. Les grands retards dont nous menacent les marionnettes politiques vendues à la cause du ’’ oui ’’ concernent surtout le camp des exploiteurs et en particulier, celui du Codex.
Série de normes du Codex, par exemple : :
l’ionisation des aliments, c’est-à-dire leur irradiation au cobalt afin, soi-disant, des les « décontaminer ». La mesure devrait prendre effet incessamment sous peu.
La suppression des suppléments alimentaires naturels, qui seront remplacés par des espèces de copies synthétiques fabriquées par les labos et faiblement dosées.
- La suppression progressive des médecines alternatives comme par exemple la médecine indienne ayurvédique, qui fait pourtant ses preuves depuis des dizaines de siècles et n’a rien de nocif puisqu’il s’agit d’être en harmonie avec sa nature et avec la nature.
L’agriculture sera réglementées via les normes du Codex, qui sont loin de favoriser l’agriculture biologique.
Un exemple de non sens : l’irradiation des aliments
En 1999, l’OMS a déclaré que l’ensemble des aliments pouvait être irradié sans limite d’émission car « n’y a aucune conséquence nocive pour la santé ».
L’irradiation au cobalt émet des rayons gamma radioactifs et peut détruire les cellules en 24 heures avec une forte irradiation (10.000 radons). A des doses moins importantes, cela freine ou arrête la division cellulaire. Au passage, on sait que cela élimine une partie des substances contenues dans le produit irradié, comme les vitamines ou les oligo éléments.
L’irradiation permet de retarder le mûrissement des fruits et légumes, peut tuer les bactéries responsables du pourrissement ou les insectes. En France, les herbes aromatiques surgelées sont ionisées, ainsi que l’ail, les oignons, les échalotes, qui normalement sont des aliments très nutritifs, mais aussi les germes de céréales pour produits laitiers, la farine de riz, la volaille, les cuisses de grenouille congelées, les crevettes congelées, le blanc d’œuf…
L’irradiation détruit par exemple 80% de la vitamine A présente dans les œufs et 48% du bêta carotène présent dans le jus d’orange.
En outre, l’irradiation qui détruit des éléments, en crée d’autres, dont certains sont cancérigènes comme les cyclobutanones qui apparaissent dans les aliments uniquement avec l’irradiation d‘acides gras et sont responsables de dommages génétiques chez les rats, le benzène, le xylène ou le toluène, responsables de l’apparition de cancers… Mais bien sûr, aucun risque pour la santé !
Et puis, l’irradiation fait muter génétiquement les aliments : au bout d‘une heure de rayons gamma, toute la structure moléculaire de l’aliment est cassée, l’ADN est détruit et il n’y a plus rien de vivant à l’intérieur, sans que l’aliment en question ait changé de forme à l’extérieur.
Il y a donc une autorisation pour irradier un certain nombre d’aliments, mais en 2002 un rapport européen montrait que 2,7% des 5.000 échantillons alimentaires testés dans différents pays européens étaient irradiés et non étiquetés comme aliments irradiés. 29% des compléments alimentaires censés améliorer la santé étaient irradiés !
Des pays comme le Brésil, la Thaïlande ou l’Afrique du Sud ont l’habitude d’irradier les fruits et légumes exportés. La Chine a 50 centres d’irradiation pour l’alimentation, contre 7 en 2003, et en Europe, plus de 15.000 tonnes d’aliments ont été irradiées. Evidemment, les contrôles sont quasi inexistants, puisque d’après les scientifiques autorisés, il n’y a aucun risque. En France, on ainsi eu droit à 216 contrôles pour 3.000 tonnes de produits alimentaires irradiés alors qu’en Allemagne, il y a eu plus de 4.000 contrôles pour 340 tonnes.
Dès les années 50, on avait montré que des animaux qui consomment des aliments irradiés souffrent de nombreux problèmes sanitaires, que certains en mouraient prématurément, que d’autres avaient des anomalies génétiques, d’autres faisaient des fausses couches, avaient des problèmes de reproduction, du système immunitaire, des hémorragies internes mortelles, des tumeurs, des problèmes de croissance et des carences nutritionnelles.
En novembre 2008, une boîte d’aliments pour chats a du retirer toute une gamme de produits qui avaient été irradiés à fortes doses car un groupement de vétérinaires australiens avait remarqué des troubles neurologiques chez les chats qui en avaient mangé.
Et pour preuve que les antioxydants sont bénéfiques, voici un article sur une trouvaille récente en la matière : « Les chercheurs de l’Unité de Recherche sur les Herbivores de l’Inra et la société Phytosynthèse ont mis au point un mélange antioxydant de vitamine E et de différentes plantes capable de protéger de l’oxydation les acides gras essentiels de type oméga 3, de la viande chez les bovins en production. Ce mélange valorisé par un brevet (EP 1902631), lutte efficacement contre les radicaux libres générés par le stress des animaux et permet d’obtenir des viandes d’une plus grande valeur nutritionnelle ».
Question à dix mille : à qui l’OMS a t-elle confié la mission d’évaluer la dangerosité des aliments irradiés ? A l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, qui a pour but de promouvoir le nucléaire.
Pourtant, l’OMS, la FAO, le Codex, la Commission européenne en font une panacée en se réfugiant derrière l’argument de la santé publique !
Autres liens :
Le Codex Alimentarius ou le passage forcé à la nourriture synthétique http://crocvie.over-blog.fr/article...
http://img.over-blog.com/300x266/2/...
Tags : Europe Santé Histoire Santé menacée Agro-alimentaire Mondialisation Lobby Agriculture
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