"La crise n’est pas une crise financière. C’est une crise énergétique (peak oil)"
Phénoménale, en plein règne des TBTF, des délocalisations, des manip’ des cours des métaux via le papier, des paradis fiscaux,...
C’est un peu comme reprendre l’arnaque de la crise pétrolière de 74 où jamais il n’y a pas eu le risque de manquer de pétrole mais une convergence d’intérêts pour laisser flamber les prix tout en renversant les pouvoirs à la chaîne en Iran.
En bref, on crée son propre malheur en n’acceptant pas les vertus de l’économie productive. C’est ce qu’on très bon compris les impérialistes. Pas les clampins.
à 0’’ 23’ (1995)
Dans un monde sans frontière, partir tout en exploitant ce qui reste du plus grand marché de consommateurs sans dette publique (pendant les 30 glorieuses) de tous les temps est justement le but recherché. Mais la logique serait bien de ne pas avoir affaires avec les classes moyennes né des New Deal et 30 glorieuses (GlassSteagall, crédit publique et plan industriel), ce qui serait une première pour le commerce mondiale depuis 60 ans !
Lord Keynes (dépenses publique sans réguler la finance au niveau national sur des promesse de Bancor et autres contrôles mondialisés) ou le free trade sont 2 manières de tuer les nations. Un vieux rêve d’impérialiste quand bien même l’empire vénitien (manip des métaux précieux, domination de la finance et alliance militaires de revers) avait provoqué un âge des ténèbres puisque le concept de nation n’avait pas encore été inventé :
http://www.solidariteetprogres.org/documents-de-fond-7/economie/Comment-Venise-orchestra-le-plus
Mais où tous ces "grands" entrepreneurs vendent leurs produits et services ? Il est où le moteur de l’économie mondial (la classe moyenne US apparait juste après le New Deal quand les US devienne la 1° puissance industrielle de l’histoire) ? Dans des états providences ? Tiens mais je pensais que c’était nul d’après vous !
Quand à l’Angleterre qui utilise la planche à billet et ses offshores pour financer son déficit et sa désindustrialisation, c’est vous qui la prenez comme exemple. Vous êtes donc obligé d’en tirer les conséquences.
Le problème du free trade, c’est qu’il ne s’intéresse qu’à l’exploitation des ressources existantes (cfr. les Compagnies des Indes ou les paradis fiscaux modernes) système sociaux compris. Donc ce n’est pas le free trade avant le concept de nation qui a permis la création du plus grand marché de consommateur sans dette (pendant les 30 glorieuses) de tout les temps.
Il me semble que le sujet explicite était le dumping social. Dire fièrement que la Tchéquie est en Europe est une grosse manip’ alors que pour Montebourg je penserais plus à une gaffe de décrire la Corée (du Sud qui en doutait ?) comme sous-développé. Mais je vais me répéter, pas un seul intervenant n’a raison dans cette histoire.
Et le jour où le plus grand marché de consommateur sans dette publique (pendant les 30 glorieuses) de tous les temps se cassera la gueule avec le mythe du secteur tertiaire, je veux bien voir les performances des marchés émergents.
Précision, à Doel, c’est le recyclage des actinides radioactifs qui a été retardé par les verts !
Déjà 20 ans c’est rien pour un procédé qui va donner 2000 ans d’électricité à la France en recyclant ses déchets radioactifs actuelles ! Ensuite à Doel (Belgique) pour les actinides mineurs, le projet Myrrha a été retardé de 2 ans... par les écolos !! Enfin sur le pétrole, l’Alaska sera comme par hasard exploité quand les émergents se seront cassé la gueule et que l’économie réelle pourra être relancé du point de vue anglosaxon. Je parle même pas des ressources du Venezuela qui seront automatiquement exploité quand les prix monteront (ce qui ne semble pas être le but pour les 20 ans qui vienne vu qu’il faut descendre entre autre Poutine et Chavez). Non franchement, je veux bien qu’un jour de ce siècle on va manqué de Pétrole mais ce sera justement un défi motivant.
Pour un doc sur le sujet de la guerre, qui était une guerre industrielle de compétence technique, c’est abordé à partir de la 10° minute. Mais ce doc en entier (20 minutes) est un bon résumé de la primauté de l’économie physique qui guidait Roosevelt pour sa séparation des banques (que la France fût la première a abandonné en 86, soit 9 ans avant l’obligation de l’UE), son système de crédit et sa haine de l’impérialisme qui l’ont motivé à s’opposer militairement à l’axe :
http://www.dailymotion.com/video/xscl60_la-rfc-ou-comment-roosevelt-a-finance-le-new-deal_news?start=45
Bien sur c’est un résumé. Le procés Pecora contre les grands noms de Wall Street comme Morgan (excusez du peu) pour corruption ("prefered list") et manipulation des cours commence dès son investiture en 1933. En fait, c’est Roosevelt qui a inventé les 100 jours pour juger (quelle gouffre avec Oblabla ou Holala) et cette commission Pecora servira de pression pour adopter le GlassSteagall dès 1933 !!!!! C’est pour ça que Cheminade faisait campagne pour un nouveau procès Pecora depuis 2007. Ce sera finalement le scandale du Libor qui déclenchera un revirement de beaucoup pour le GlassSteagall cette année. Même certain qui avait particpé à son annulation en 99 ont reconnu leur erreur depuis. En France pas un mot ! Quand au procés contre Prescott Bush pour trahison, il faudra forcément attendre l’entrée en guerre mais il aura lieu en 1942. Magistral quand on sait qu’en plus le réseaux aquifère mise en place par le New Deal servira de modèle à Monnet pour le sud de la France. Tout ça est dans le doc suivant :
http://www.solidariteetprogres.org/1932Combattre-le-veritable-ennemi-l-Empire-britannique-video_04546
Pour la naissance du concept de nation souveraine et industrielle à même de battre l’impérialisme, c’est plus dans celui là :
http://www.solidariteetprogres.org/Pare-feu-En-defense-de-l-Etat-Nation-video_03947  ;
Je demanderais plutôt quelle info prouve le contraire. Toute une clique
(Morgan, Lindberg, Ford,... plus les anglais) détestait Roosevelt, ses
impôts (de 71% en 37 à 91% en 41), sa régulation bancaire (reprise par
la Belgique dès 1934, 11 avant le reste de l’Europe grâce à notre
meilleur roi !), la fin de la doctrine Monroe en Amérique du Sud, le
coup d’état autoritariste (sur le modèle européen que la clique
connaissait très bien) avorté en 1935 parce que le général Butller avait
confiance en Roosevelt (rien que ça veut dire beaucoup),... et la
multilatéralité de Roosevelt qui ne voulait pas de l’empire britannique
et de la place financière de Londres !!!!!! Roosevelt avait même traité
Lord Keynes de merdeux ("petit mathématicien qui n’a rien compris à
l’économie") alors que c’était l’émissaire de l’empire britannique ! Je
rappelle par la même occasion que c’était la raison de la méfiance de
Roosevelt envers De Gaulle, qu’il soit un pion des britanniques.
Toute
cette clique avait fêté joyeusement la défaite de la France dans des
palaces. Ford devenait le meilleur ami de l’homme le plus puissant
d’Europe. Il faut même rajouté à cette excitation que 18 ans auparavant,
la clique avait perdu son investissement rouge juif avec la prise de
pouvoir de Stalline. L’or des soviet à la Guaranty Trust, l’anglosoviet
agrement pour le pétrole de Bakou, toutes les concessions et exclusivité
(camion Ford) donné à Armand Hammer par Lenine,... Tout ça ne semble
plus pesé grand chose quand Staline arrive au pouvoir. La preuve, Morgan
finance à hauteur de 100 millions le régimes de Musso dès 1926 (5 ans
de réflexion après une manip raté, ça s’impose) ! Vous aussi à leur
place, vous seriez heureux à l’idée d’effacer d’Europe leur anciens
réseaux rouge juif dont ils connaissaient très bien l’existence.
Toute
cette clique a été dé-gou-té à l’annonce de l’entrée en guerre des USA
du coté des cocos et contre leur intérêt. Si ils avaient pu prouver
quelle que manipulation que ce soit, ils en avaient les moyens. Mais
comme la manip’ était leur truc, le minimum fût de faire courir la
rumeur. C’est vrai que Roosevelt avait commencé à se préparer à la guerre
(heureusement). C’est vrai que les USA de Roosevelt n’avait pas ménagé
les japonais dans leur négociation (justement pour ne pas favoriser
Hitler). C’est vrai que les USA savait que les japonais attaqueraient
par surprise. Mais les rapports montrent qu’ils envisageaient une
attaque sur les Philipines. En tout cas jamais les défenses de Pearl
Harbour n’ont été baissé pour favoriser une attaque et Roosevelt qui
avait pris soin de centupler les moyens de l’armé US sous sa présidence
s’est retrouvé sans flotte dans le pacifique.
Sauf qu’avec les centrales au thorium qui recycle les déchets radioactifs en énergie (rendement X100) dans une réaction sous-critique, les antinuk doivent maintenant être contre le recyclage...
Pour créer une diversion au lieu d’enquêter sur les services saoudiens comme le sénateur Graham ("Intelligence Matter, the CIA, The FBI, saoudi Arabia and the failure of american war on terror"), je suppose que c’est bien Loose Change.
Pearl Harbour n’était pas un false flag. Le conspireux à la va vite ne voit même pas que les isolationnistes (ce que n’était heureusement pas Roosevelt) de l’époque était Prescott Bush, Lindberg et Ford. C’est eux qui ont fait courir ce bruit parce qu’ils soutenaient activement l’Allemagne et ne voulait pas que les USA porte assistance en Europe.
L’heure de travail est certainement plus chère en Corée qu’en Tchéquie (pudiquement nommé THE Europe dans leur tableau) donc tout le monde à faux :
- Montebourg qui pense que la Corée est sousdévelloppée et que les marques française ne font pas pareil que Huyndai
- Erwanet qui pense que le protectionnisme est démago alors que Lincoln et Bismarck ont renverser le pouvoir des Compagnies des Indes avec
- les présentateurs TV tout fier de montrer que Huyndai produit à majorité en Inde et en Tchéquie alors que les salaires sont moindre qu’en Coré
Reste évidement que quand le plus grand marché de consommateur de tous les temps (sans dette publique pendant les 30 glorieuses) ne pourra plus être le moteur de l’économie mondiale à force de relativisme anglosaxon sur la finance folle, on verra si les autres marchés peuvent tenir sans nous.
Je ne sais pas plus qui a réduit en premier le succès des 30 glorieuses anti-finance folle à la motivation de battre l’URSS, Todd peut être ?
Reste que la finance anglosaxonne n’avait pas le choix à la libération. Les peuples savaient par intuition son rôle dans 29 et le financement des régimes autoritaristes. Le libérateur américain avait en plus drastiquement réguler la finance avec le GlassSteagall. Donc acte, toute l’Europe a repris son GlassSteagall.
Si jamais la finance anglosaxonne avait osé venir avec leur paradis fiscaux au cœur de la finance internationale (comme maintenant où Londres est la 1° place pour les produits dérivés et de l’établissement du Libor alors qu’elle est en lien direct avec les offshores anglosaxons sans aucune protestation) en 45, c’était facile de les contredire en cherchant pourquoi "on" a donné a Franco l’or d’Espagne gardé à la Banque de France en plein gouvernement socialo ou donné aux allemands l’or de Tschéquoslovaquie et de Pologne gardé à Londres...
Donc je trouve atterrant de ne pas parler D’ABORD du recyclage de l’empire britannique en paradis fiscaux, d’abord timidement dans les 60’ puis en force dans les 70’ (création d’Inter-Alpha, du Libor,...) avec l’abandon des taux de changes ajustables du Bretton Woods., sans mentionner les TBTF français qui date de 86 (9 ans avant le reste de l’UE) sur le modèles anglais. Nicholas Swahson qui intervient dans tous les documentaires sur le finance folle (finance en eau trouble, le poison de la finance,...) est un must pour comprendre le changement opéré :
http://www.solidariteetprogres.org/Comment-la-City-de-Londres-a-pris-le-controle-de-vos-vies-et-de-vos-Etats_08949
Je vois pas pourquoi il faudrait faire comme si on avait rien appris depuis l’empire vénitien et la faillite des banques Peruzzi et Bardi.
http://www.solidariteetprogres.org/Comment-Venise-orchestra-le-plus
mon chouchou c’est Leibnitz (certainement par Marx) :
En faisant en sorte que les biens manufacturés
soient produits localement plutôt qu’importés, le monopole est évité
puisque notre Société est toujours encline à fournir les produits à leur
juste prix, ou même dans beaucoup de cas à meilleur marché. Elle
écartera particulièrement la formation de tout monopole de marchands ou
corporation d’artisans et évitera l’accumulation excessive de la
richesse par les marchands ou l’appauvrissement excessif des artisans -
ce qui est particulièrement le cas en Hollande, où la majorité des
marchands mène grand train alors que les artisans sont maintenus dans
une continuelle pauvreté et soumis à un dur labeur. Ceci est nuisible à
la République puisque même Aristote reconnaît que l’artisanat doit être
une des activités les mieux rémunérées. « Nam Mercatura transfert
tantum, Manufactura gignit » (car le marché ne peut offrir que ce que
les manufactures produisent). Et, en effet, pourquoi tant de personnes
devraient-elles se trouver dans la pauvreté et la misère pour le profit
d’une si petite poignée d’individus ? Le fermier ne vit pas dans le
besoin puisque son pain est garanti, et le marchand possède plus qu’il
n’en faut. Le restant de la population se retrouve soit sans ressources
soit au service du gouvernement (État). La Société peut identiquement
satisfaire tous les besoins du fermier, pourvu qu’elle lui achète
toujours ses denrées à un prix suffisamment juste, qu’il soit bas ou
élevé. Nous pouvons ainsi nous prévenir pour toute l’éternité des
pénuries alimentaires d’origine naturelle puisque la Société peut
constituer une réserve générale de céréales.
http://www.solidariteetprogres.org/Societe-et-economie_04422
Commençons par prendre deux dates de référence. Tout d’abord 1847, l’année du Manifeste communiste de Marx. Six ans auparavant, en 1841, l’économiste allemand Friedrich List (1789-1846) avait déjà écrit son Système national d’économie politique et sept ans auparavant, son ami l’économiste américain Henry Carey (1793-1879), proche collaborateur de Lincoln, avait publié ses Principes d’économie politique. Prenons maintenant l’année 1867, l’année où fut publié le Livre III du Capital. Seize années auparavant, Carey avait déjà fait paraître son Harmonie des intérêts et treize ans auparavant, son Trafic des esclaves, national et à l’étranger, pourquoi il existe et comment il devrait être anéanti, un ouvrage qu’il avait fait parvenir à Marx, de l’aveu même de celui-ci.
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