Entre Nuit debout et la CGT, François Ruffin rêve de lien.
François Ruffin et sa bande en sont persuadés, Nuit debout a besoin d’un second souffle. Et le réalisateur de Merci patron ! voit les choses en grand : un meeting commun entre le mouvement de la place de la République et les syndicats à l’issue de la traditionnelle manifestation du 1er Mai. Mais ça coince, d’un côté comme de l’autre. Pourtant, le plan était presque parfait. Tout comme le calendrier. L’idée ? Faire le pont entre la place de la République et Marseille, où se déroulait cette semaine le congrès de la CGT. La stratégie ? Débarquer en plein débat cégétiste avec un mandat de Nuit debout pour faire déboucher le cortège syndical place de la République. Sauf que rien ne s’est passé comme prévu.
L’équipe du journal Fakir, dont Ruffin est le rédacteur en chef, a donc organisé mercredi, à la Bourse du travail de Paris, une soirée intitulée « L’étape d’après ? ». Le but : réfléchir à l’avenir du mouvement Nuit debout pour les semaines à venir. Le lieu est symbolique. C’est dans cette même salle que, le 23 février, est sortie du chapeau l’idée de ne pas rentrer chez soi après la manifestation du 31 mars. Depuis cette date, la place de la République vit au rythme du mouvement chaque soir : des prises de parole d’environ deux minutes s’y enchaînent. Chacun vient énoncer ses galères, passer des appels à la mobilisation. A côté, les commissions thématiques et logistiques organisent la vie de la place et offrent des espaces de discussions collectives. Mais pour certains, cela manque de concret. « Les assemblées générales sont interminables et ne permettent pas de faire émerger des propositions concrètes », résume Ruffin. D’où sa démarche. Et la question qu’il pose : comment le mouvement peut-il se positionner à l’approche des deux journées d’action, le 28 avril contre la loi travail et celle du 1er Mai ?
Mercredi soir, dans une salle archicomble, le journaliste détaille sa stratégie : « Je souhaite qu’on fasse un très gros 1er Mai, que la manifestation se termine à République et qu’on fasse un meeting avec les syndicats qui sont opposés à la loi travail. » Pendant près de deux heures, tous les intervenants invités par Fakir vont dans le même sens : le rapprochement avec les syndicats doit être la prochaine étape du mouvement Nuit debout. Pour finir, la parole est donnée à la salle. C’est là que les choses se compliquent. Même si une grande majorité des personnes présentes est favorable à la proposition de François Ruffin, la méthode fâche ceux qui ont l’impression d’être face à une avant-garde éclairée, retranchée à l’écart de la place. D’autant qu’ils n’ont qu’une seule minute chacun pour s’exprimer. « On n’a pas attendu les intellectuels pour avoir l’idée de se mobiliser massivement pour le 1er Mai », lance quelqu’un. Lorsque la salle se vide dans le brouhaha, Ruffin se prend la tête entre les mains. La soirée a fini en queue de poisson. « Je n’ai pas réussi à obtenir un mandat de la salle pour porter cette proposition à l’assemblée générale de Nuit debout », constate-t-il, quelques jours après.
François Ruffin et sa bande en sont persuadés, Nuit debout a besoin d’un second souffle. Et le réalisateur de Merci patron ! voit les choses en grand : un meeting commun entre le mouvement de la place de la République et les syndicats à l’issue de la traditionnelle manifestation du 1er Mai. Mais ça coince, d’un côté comme de l’autre. Pourtant, le plan était presque parfait. Tout comme le calendrier. L’idée ? Faire le pont entre la place de la République et Marseille, où se déroulait cette semaine le congrès de la CGT. La stratégie ? Débarquer en plein débat cégétiste avec un mandat de Nuit debout pour faire déboucher le cortège syndical place de la République. Sauf que rien ne s’est passé comme prévu.
L’équipe du journal Fakir, dont Ruffin est le rédacteur en chef, a donc organisé mercredi, à la Bourse du travail de Paris, une soirée intitulée « L’étape d’après ? ». Le but : réfléchir à l’avenir du mouvement Nuit debout pour les semaines à venir. Le lieu est symbolique. C’est dans cette même salle que, le 23 février, est sortie du chapeau l’idée de ne pas rentrer chez soi après la manifestation du 31 mars. Depuis cette date, la place de la République vit au rythme du mouvement chaque soir : des prises de parole d’environ deux minutes s’y enchaînent. Chacun vient énoncer ses galères, passer des appels à la mobilisation. A côté, les commissions thématiques et logistiques organisent la vie de la place et offrent des espaces de discussions collectives. Mais pour certains, cela manque de concret. « Les assemblées générales sont interminables et ne permettent pas de faire émerger des propositions concrètes », résume Ruffin. D’où sa démarche. Et la question qu’il pose : comment le mouvement peut-il se positionner à l’approche des deux journées d’action, le 28 avril contre la loi travail et celle du 1er Mai ?
Mercredi soir, dans une salle archicomble, le journaliste détaille sa stratégie : « Je souhaite qu’on fasse un très gros 1er Mai, que la manifestation se termine à République et qu’on fasse un meeting avec les syndicats qui sont opposés à la loi travail. » Pendant près de deux heures, tous les intervenants invités par Fakir vont dans le même sens : le rapprochement avec les syndicats doit être la prochaine étape du mouvement Nuit debout. Pour finir, la parole est donnée à la salle. C’est là que les choses se compliquent. Même si une grande majorité des personnes présentes est favorable à la proposition de François Ruffin, la méthode fâche ceux qui ont l’impression d’être face à une avant-garde éclairée, retranchée à l’écart de la place. D’autant qu’ils n’ont qu’une seule minute chacun pour s’exprimer. « On n’a pas attendu les intellectuels pour avoir l’idée de se mobiliser massivement pour le 1er Mai », lance quelqu’un. Lorsque la salle se vide dans le brouhaha, Ruffin se prend la tête entre les mains. La soirée a fini en queue de poisson. « Je n’ai pas réussi à obtenir un mandat de la salle pour porter cette proposition à l’assemblée générale de Nuit debout », constate-t-il, quelques jours après.
Ces individus qui insultent et qui crachent sur Finkielkraut sont représentatifs de la mentalité stalinienne.
La mentalité stalinienne, c’est ceci :
"Je suis démocrate, je suis un grand démocrate, je parle pendant des heures de la démocratie, je te laisse t’exprimer SI TU AS LES MEMES IDEES QUE MOI. Sinon, je t’insulte, je t’empêche de parler, je te crache dessus, et plus si affinités."
Nuit Debout, c’est le masque de la démocratie, et sous ce masque c’est des stals.
Alain Finkielraut : « On a voulu purifier la place de la République. J’ai subi cette purification, avec mon épouse. »
Il voulait rencontrer les participants du mouvement Nuit debout afin "d’écouter" leurs revendications, pourtant sa visite n’a pas été bien accueillie et Alain Finkielkraut n’est pas resté longtemps place de la République.
À son arrivée, il a été insulté aux cris de "facho !" et "casse-toi !", lancés par les manifestants. Quelques minutes plus tard, des membres du service d’ordre de Nuit Debout ont raccompagné le philosophe et son épouse hors de la place de la République, sous les insultes et les crachats.
Interrogé par des journalistes du "Cercle des volontaires", le philosophe a expliqué qu’il était venu "par curiosité, pour savoir à quoi m’en tenir sans passer par le filtre des médias".
"J’ai été expulsé d’une place où doivent régner la démocratie et le pluralisme, donc cette démocratie, c’est du bobard, ce pluralisme, c’est un mensonge", conclut-il.
"D’autant que je ne venais pour écouter et non pour intervenir", a insisté le philosophe.
"On a voulu purifier la place de la République. J’ai subi cette purification, avec mon épouse", a-t-il également déploré, ajoutant que s’il n’y avait pas eu un service d’ordre, il se serait "fait lyncher".
https://www.youtube.com/watch?v=Fk4mh6BrFbc
Samedi 16 avril 2016 :
A Bobigny, suspension de cours avant explosion.
C’est parce qu’ils ne se sentaient plus en sécurité dans leur établissement – et « pas parce qu’ils ont peur de leurs élèves », tiennent-ils immédiatement à préciser – que les personnels du collège République de Bobigny (Seine-Saint-Denis) ont fait valoir, lundi 11 avril, leur « droit de retrait ». Un mouvement reconduit jusqu’au début des vacances, vendredi 15.
Les 720 élèves ont été priés de rentrer chez eux ; le chef d’établissement revendique, lui, de rester silencieux. Alors les professeurs ont pris la parole – votant en assemblée générale la médiatisation des tensions qu’ils vivent au quotidien, explique Jules Siran, enseignant d’histoire-géographie. Et ce même s’ils sont bien conscients des « risques de stigmatiser un peu plus un territoire, le “9-3”, qui a davantage besoin de sérénité et de moyens que de caméras de télévision », ajoute ce syndicaliste de Sud Education.
Si la culture de la mobilisation est bel et bien inscrite dans l’ADN de ce collège labellisé REP + – le noyau dur de l’éducation prioritaire –, une étape y a été franchie en ce début de printemps : primo parce que le débrayage est collectif, à l’initiative d’enseignants mais aussi de surveillants, explique Candice Dubernet, assistante d’éducation.
Secundo parce que les incidents se succèdent au point d’être devenus « leur ordinaire »… et celui d’élèves qui en sont « les premières victimes », martèlent les professeurs.
Alors les professeurs ont pris la parole – votant en assemblée générale la médiatisation des tensions qu’ils vivent au quotidien, explique Jules Siran, enseignant d’histoire-géographie. Et ce même s’ils sont bien conscients des « risques de stigmatiser un peu plus un territoire, le ’9-3 ?, qui a davantage besoin de sérénité et de moyens que de caméras de télévision », ajoute ce syndicaliste de Sud Education.
« Jets d’asticots en classe, jets de boules puantes, de fumigènes, de pétards… Départ de feu, jeux avec briquets, crachats sur des adultes, bagarres constantes, violences verbales et physiques, dégradation du matériel… »
La liste à la Prévert qu’ils ont imprimée sur une feuille A4 n’a rien de poétique. Mais elle leur permettra, espèrent-ils, d’expliquer le mouvement aux parents invités à les rencontrer à la veille des vacances.
Attentats de Bruxelles : deux terroristes sont arrivés en Europe cachés au milieu des migrants.
Naim Al Hamed et Sofiane Ayari se sont infiltrés parmi les « vrais » migrants. Ils se sont fait passer pour des réfugiés syriens. Ils sont arrivés en Europe en débarquant sur l’île grecque de Léros le 20 septembre 2015.
Lisez cet article du journal LE MONDE :
Selon les informations du Monde, « Naim Al Hamed » est arrivé en Europe le 20 septembre par l’île de Léros, en même temps qu’un autre suspect des attentats de Bruxelles : Sofiane Ayari, porteur lui aussi d’un faux passeport syrien au nom de Mounir Ahmed Alaaj.
Si les deux faux migrants sont arrivés en Europe pour commettre des attentats, la présence de l’un dans un appartement rempli d’armes laisse craindre que les trois hommes qui se terraient dans l’appartement de Forest avant d’en être délogés par la police pouvaient constituer une troisième équipe censée frapper Bruxelles ce jour-là.
Mais ce ne sont pas les seuls terroristes infiltrés au milieu des migrants.
Attentats de Paris : six terroristes sont arrivés en Europe cachés au milieu des migrants.
Ukashah Al-Iraqi, Ali Al-Iraqi, Adel Haddadi, Muhammad Usman, X et Y sont arrivés tous les six sur l’île grecque de Leros le 3 octobre 2015. Ils se sont fait passer pour des réfugiés syriens. Ensuite, ils ont traversé plusieurs pays d’Europe, cachés au milieu des migrants.
Exemple : Ukashah Al-Iraqi, de nationalité irakienne. Il avait été formé au terrorisme par l’Etat Islamique. Il avait pris un faux-passeport syrien au nom de Ahmad Al Mohammad. Il était arrivé en Europe caché au milieu des « vrais » réfugiés syriens le 3 octobre 2015, date de son enregistrement dans le fichier Schengen Eurodac lors de son arrivée sur l’île grecque de Leros.
Le journal LE FIGARO a reconstitué le parcours de ce djihadiste irakien :
- Syrie, puis Turquie, puis arrivée sur l’île grecque de Leros le 3 octobre 2015 au milieu des « vrais » réfugiés syriens. Contrôlé et enregistré par la police grecque.
- Passage en Macédoine, puis en Serbie. Contrôlé dans le camp de réfugiés de Presevo par la police serbe.
- Passage en Croatie. Contrôlé dans le camp de réfugiés de Opatovac par la police croate.
- Passage en Slovénie, puis en Autriche, puis en Allemagne, puis en France. Il se fait exploser devant le Stade de France.
La carte est ici :
https://i.imgur.com/21t0EUK.jpg
Les six terroristes ont débarqué sur l’île grecque de Leros. Ensuite, ils ont pris un ferry pour rejoindre Le Pirée. Le djihadiste qui a acheté les six billets de ferry n’a pas été identifié. A Leros, le patron de l’agence de voyage témoigne :
"Je ne sais pas s’ils se connaissaient tous, mais celui qui a payé m’a acheté six billets", confirme au JDD Dimitri Kastis, le patron de l’agence de voyage qui a vendu au faux réfugié les tickets du ferry Leros-Le Pirée.
http://www.lejdd.fr/Societe/L-insaisissable-Salah-Abdeslam-762845
Il n’y a pas que les migrants qui arrivent par la Turquie.
Il y a aussi les migrants qui arrivent par la Libye.
Jeudi 24 mars 2016 :
Libye : 800 000 migrants attendent de passer en Europe.
Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a estimé jeudi qu’environ 800.000 migrants attendaient de pouvoir passer en Europe depuis la Libye.
Interrogé sur la radio française Europe 1, il a d’abord évalué le nombre de migrants concentrés en Libye à des centaines de milliers. Au journaliste qui avançait une estimation de 800.000 personnes, le ministre a ensuite répondu qu’il s’agissait d’un chiffre à peu près convenable.
Jeudi 19 novembre 2015 :
Sur France 2, Manuel Valls a eu beaucoup de mal à reconnaître la vérité qui dérange : des djihadistes se sont infiltrés au milieu des migrants.
20 heures 41 :
Certains « ont profité de la crise des réfugiés pour se glisser » en France
Le premier ministre Manuel Valls a affirmé que certains des auteurs des attaques de vendredi contre Paris et Saint-Denis « ont profité de la crise des réfugiés pour se glisser » en France.
« Ces individus ont profité de la crise des réfugiés, notamment au moment de ce chaos, peut-être, pour certains d’entre eux, se glisser... » en France, a indiqué Manuel Valls, sans finir sa phrase. Il a aussitôt ajouté que « d’autres étaient en Belgique, déjà. D’autres, je veux le rappeler, étaient en France », a-t-il assuré.
Mardi 1er mars 2016 :
Général Philip Breedlove : « Les terroristes infiltrent les flux de réfugiés aujourd’hui. »
Le
général US quatre étoiles, Philip Mark Breedlove, à la tête du
commandement des forces des États-Unis en Europe, témoignait le 1er mars 2016 devant le Sénat américain.
Interrogé
par la Sénatrice du New Hampshire, Kelly A. Ayotte, à propos de
l’infiltration de l’État islamique parmi les réfugiés, le Général Philip
Mark Breedlove a répondu que ces infiltrations sont déjà une réalité et
qu’il faut se méfier de tous les flux de réfugiés.
Aujourd’hui, l’Europe est devenue un GRAND terrain vague, avec tout le monde qui entre, avec tout le monde qui sort, avec tout le monde qui circule, avec la libre-circulation des terroristes, la libre-circulation des kalachnikovs, la libre-circulation des explosifs, la libre-circulation des kamikazes.
Aujourd’hui, l’Europe est devenue un GRAND terrain vague ouvert à tous les vents de la soi-disant « mondialisation heureuse ».
Aujourd’hui, plus personne ne maîtrise le chaos qui s’installe en Europe.
Federica Mogherini pleure car elle comprend que son rêve est devenu un cauchemar.
Qui veut faire l’ange fait la bête.
La vidéo dure 20 secondes :
15 h 09 – Un responsable français de la lutte antiterroriste : « Nous sommes submergés. »
« 2015 a été difficile, je crains que 2016 ne soit terrible », confie à l’Agence France-Presse un responsable français de la lutte antiterroriste, qui demande à rester anonyme. Sur son écran de télévision, dans son bureau, les images d’une bouche de métro fumante, de l’aéroport dévasté de Bruxelles, siège de l’Union européenne et de l’Otan. "Les attaques de Bruxelles sont clairement une vengeance après la vague d’arrestations, c’est une escalade. Elles prouvent qu’ils ont des hommes prêts à tout moment à des opérations kamikazes, avec des armes, des explosifs, affirme-il. Leur message, c’est : « Nous sommes toujours là, vous ne pourrez pas nous arrêter. » En France, mais aussi en Europe, il y a du souci à se faire, ajoute-t-il. Nous allons subir une vague de terrorisme très puissante, qu’on ne pourra enrayer que partiellement. On attrapera certaines équipes, il n’y a jamais eu autant d’arrestations, mais on ne pourra pas les avoir tous. C’est impossible. Nous sommes submergés."
Séisme politique au Royaume-Uni !
Au Royaume-Uni, dans les semaines qui viennent, il y aura un référendum sur le maintien ou la sortie de l’Union Européenne.
Dans le sondage du vendredi 5 février 2016, les partisans de la sortie de l’Union Européenne explosent leur record !
Pour rester dans l’Union Européenne : 36 % des personnes interrogées.
Pour sortir de l’Union Européenne : 45 % des personnes interrogées.
Ne veut pas voter : 2 % des personnes interrogées.
Ne sait pas : 18 % des personnes interrogées.
Ensuite, l’institut de sondage pose la même question en excluant ceux qui ne savent pas et ceux qui ne veulent pas voter. Résultat :
Pour rester dans l’Union Européenne : 44 % des personnes interrogées.
Pour sortir de l’Union Européenne : 56 % des personnes interrogées.
C’est la page 3 :
Jeudi 28 janvier 2016 :
Un homme armé a été arrêté ce jeudi, à l’entrée d’un hôtel du parc d’attractions Disneyland Paris, en Seine-et-Marne, a annoncé la police, confirmant une information de RTL. D’après la radio, l’homme avait sur lui deux armes, une boîte de cartouches et un Coran.
Rappel :
Le Japon est la 3ème puissance économique du monde.
Le Japon connaît le plein-emploi : il y a seulement 3 % de chômage.
Samedi 23 janvier 2016 :
Japon : 7 586 réfugiés demandent l’asile … seuls 27 réfugiés l’obtiennent !
Le Japon est intransigeant : il a accepté seulement 27 réfugiés et rejeté la quasi-totalité des demandes d’asile en 2015. Les défenseurs des droits de l’homme pressent le gouvernement d’en accepter davantage. Le ministère de la Justice a indiqué samedi que le Japon avait reçu 7 586 demandes d’obtention du statut de réfugié - un record -, ce qui signifie que 99 % des demandes ont été rejetées.
Parmi les demandeurs d’asile, cinq étaient syriens, et seulement trois d’entre eux ont obtenu le statut de réfugiés, loin derrière le flot de migrants qui sont arrivés en Europe en provenance de ce pays du Moyen-Orient dévasté par la guerre. Le Japon a longtemps été réticent à l’idée de laisser des réfugiés pénétrer dans sa société homogène et a fortement restreint le nombre de personnes acceptées.
Mardi 12 janvier 2016 :
Le ministre allemand du développement : « 8 à 10 millions de réfugiés sont en route. »
« Seulement 10% des réfugiés en provenance de Syrie et de l’Irak ont atteint l’Europe jusqu’à présent, et 8 à 10 millions d’entre eux sont encore sur le chemin. »
Cette déclaration, c’est celle du ministre allemand du Développement, Gerd Müller (CSU), auprès du journal Bild am Sonntag.
Qui sont les quatre cavaliers de l’Apocalypse ?
Pour l’année 2016 en Europe, les quatre cavaliers de l’Apocalypse sont :
- la crise des réfugiés
- le terrorisme
- la montée des populismes
- la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne.
Manuel Valls et Jean-Claude Juncker ont eux-mêmes annoncé la couleur :
en 2016, la zone euro et l’Union Européenne risquent de se disloquer.
Jeudi 21 janvier 2016 :
Davos : Manuel Valls craint une « dislocation du projet européen. »
Le Premier ministre a évoqué la possibilité d’une « dislocation » de l’Union européenne, ce jeudi depuis le Forum économique de Davos.
Le chef du gouvernement, qui s’exprimait avant une intervention du Premier ministre britannique David Cameron, a évoqué le risque d’une « dislocation du projet européen » à « très court terme », dans « les mois qui viennent », évoquant tour à tour « crise des réfugiés, terrorisme, montée des populismes et le potentiel Brexit, soit la sortie du Royaume-Uni de l’union ».
UE : si Schengen s’effondre, l’euro sera menacé, dit Juncker.
« Si l’espace européen Schengen de libre circulation venait à disparaître, c’est la monnaie unique, l’euro, qui serait rapidement menacé », a déclaré mercredi à Strasbourg le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.
http://www.zamanfrance.fr/article/ue-si-schengen-seffondre-leuro-sera-menace-dit-juncker-19628.html
Bonjour,
Je viens de signer la pétition, « ?Support Lemmy tribute, name newly discovered heavy metal ’Lemmium’ ? ».
Je pense que c’est important. Souhaiteriez-vous signer à votre tour ?
Voici le lien :
http://www.change.org/p/support-lemmy-tribute-name-newly-discovered-heavy-metal-lemmium
Merci,
BA
Bonnet blanc et blanc bonnet.
Le 14 mars 2005, les deux champions du « OUI » au référendum sur la constitution européenne posaient ensemble en couverture de Paris Match.
Chose étonnante : les deux champions du « OUI » étaient François Hollande (pour la gauche européiste) et Nicolas Sarkozy (pour la droite européiste), ils tenaient le même discours … et ils avaient les mêmes vêtements.
On aurait dit deux frères jumeaux.
Dans cet article historique, François Hollande et Nicolas Sarkozy expliquaient ensemble qu’il fallait voter « OUI » au référendum sur la constitution européenne.
Douze ans plus tard, ces deux européistes vont-ils être les deux principaux candidats à l’élection présidentielle ?
En mai 2017, l’élection présidentielle va-t-elle se jouer entre bonnet blanc et blanc bonnet ?
Samedi 2 janvier 2016 :
Sondage : 74% des Français ne souhaitent pas la candidature de Hollande et Sarkozy.
Dans un sondage exclusif Odoxa pour « Le Parisien-Aujourd’hui », les Français réclament massivement de nouveaux visages et de nouvelles pratiques pour combler le fossé entre l’opinion et les élus. Trois Français sur quatre ne veulent d’ailleurs ni de Hollande, ni de Sarkozy à la prochaine présidentielle.
2015 : chiffres mis à jour.
- Union Européenne :
1 005 504 migrants sont entrés dans l’Union Européenne. Record battu.
Précisions :
972 500 migrants sont entrés dans l’Union Européenne en traversant la Méditerranée.
33 000 migrants sont entrés dans l’Union Européenne par voie terrestre (par la Grèce pour la plupart).
- Djihad :
L’année 2015 aura vu les djihadistes faire 147 morts en France. Record battu.
- Indice de Développement Humain :
D’après cet indice créé par l’ONU, la France descend à la 22ème place. Je dis bien : 22ème place. Record battu.
La France ne fait plus partie des 20 pays où l’on vit le mieux.
- Découverts bancaires :
Les Français sont de plus en plus souvent dans le rouge. Selon la banque de France, le découvert global des particuliers est passé d’un peu plus de 6 milliards d’euros en 2006 à 7,6 milliards d’euros en 2015. Record battu.
- Chômage :
Chômage, catégories A, B, C, D, E :
6 475 100 inscrits à Pôle Emploi. Record battu.
Variation sur un mois : + 0,2 %. Variation sur un an : + 4,9 %.
http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/pi-mensuelle-ctpale3.pdf
- Mal-logement :
La Fondation Abbé Pierre dénombre 3,8 millions de personnes souffrant de mal-logement ou d’absence de logement personnel. Record battu. Se référant aux résultats des enquêtes « sans-domicile » de l’Insee, la Fondation Abbé Pierre souligne que la proportion de personnes sans-abri a augmenté de 50 % de 2001 à 2012. Record battu.
- Restos du Coeur :
50 000 bénéficiaires de plus en un an. C’est plus d’un million de bénéficiaires par an. Record battu.
- Front National :
Second tour des élections régionales : 6 820 477 voix. Record battu.
Samedi 21 novembre 2015 :
Des protections contre des agents chimiques volées à Paris.
Du matériel conçu pour résister aux agents chimiques a été dérobé dans un local sécurisé cette semaine dans l’hôpital Necker à Paris, a révélé le Parisien samedi.
Un larcin qui suscite l’inquiétude. Cette semaine, plusieurs équipements ont disparu d’un local sécurisé de l’hôpital pédiatrique Necker, dans le 15e arrondissement de Paris, a révélé samedi le Parisien. Il s’agit de plusieurs combinaisons de protection étanches, semblables à celles utilisées contre le virus Ebola, mais aussi des bottes en polyéthylène, conçues pour résister aux agents chimiques, et des masques antibactériens.
La crainte d’éventuelles attaques chimiques
L’hôpital Necker a confirmé que "la disparition de ces éléments de tenue, en nombre limité, a été constatée mercredi et une plainte déposée le lendemain". En outre, le local, bien que sécurisé, est ouvert à "beaucoup de monde, pour l’approvisionnement en matériel courant". Difficile donc, de trouver les coupables.
Mais en tous les cas, le vol provoque le trouble.
"Après les déclarations alarmistes du Premier ministre sur d’éventuelles attaques chimiques, c’est forcément inquiétant", pointe Philippe Goujon, maire LR du 15e arrondissement. Aux alarmistes, l’AP-HP répond que "les conditions de sécurité ont été renforcées sur le site".
http://www.lejdd.fr/Societe/Des-protections-contre-des-agents-chimiques-volees-a-Paris-760747
Une vidéo exceptionnelle.
A la 13ème minute, un djihadiste belge est présent en Syrie. Depuis la Syrie, ce djihadiste parle de la société française, de la société belge, de la société néerlandaise, etc.
Ce qu’il dit est très important :
« Jamais vous ne serez en sécurité. Sachez juste qu’il y a des frères qui se cachent partout dans le monde. Ils attendent juste l’ordre qu’on leur donne pour attaquer, et ils attaqueront. On a grandi dans cette société. Depuis tout petit, on a grandi avec eux. On sait comment ces gens-là ils réfléchissent. Ca veut dire qu’aujourd’hui, il n’y a pas de peur de la police, des services de renseignement ou de quoi que ce soit. On sait comment faire pour passer inaperçu. Si je pars, c’est pas possible qu’ils me retrouvent. Les frontières, c’est du gruyère. »
https://www.dailymotion.com/video/x3eqfdg_attentats-de-paris-panique-au-belgistan_news
Et en France ?
Au mois de mai 2015, combien y avait-il d’islamistes dans votre département ?
Pour le savoir, cliquez ici :
C’est officiel : la radio France Inter est discréditée.
Les grands journaux de la presse papier sont discrédités.
Plus généralement, tous les médias français qui nous disaient qu’aucun djihadiste n’était infiltré parmi les migrants sont discrédités.
Vendredi 20 novembre 2015, vers 19 heures 30 :
Sur le site LEMONDE.FR, nous avons la confirmation que deux djihadistes du Stade de France étaient entrés en Europe par la Grèce, infiltrés au milieu des migrants.
Ensuite, les deux djihadistes infiltrés ont voyagé ensemble. Ils ont traversé plusieurs pays européens, toujours cachés parmi les migrants.
Lisez cet article :
Les trois kamikazes du Stade de France identifiés :
l’homme qui s’est fait exploser porte D à 21 h 20, et à côté duquel un passeport syrien, sans doute faux, a été retrouvé, avait été contrôlé en Grèce, le 3 octobre. Il avait traversé l’île de Leros en octobre, après être passé par la Turquie. Il avait ensuite fait une demande d’asile en Serbie, avant de rejoindre le camp croate d’Opatovac puis de partir pour la Hongrie.
l’homme qui s’est fait exploser rue Rimet, porte H, à Saint-Denis a été formellement identifié vendredi comme étant un individu dont les empreintes papillaires correspondent à celles relevées lors du même contrôle en Grèce le 3 octobre.
Bilal Hadfi, 20 ans, s’est fait exploser à proximité du Stade de France.
Au mois de mai 2015, combien y avait-il d’islamistes dans votre département ?
Pour le savoir, cliquez ici :
https://i.imgur.com/YkTfV2k.jpg
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