"On remarque que Pascale Clark, qui se fait traiter comme de la m***, ne bronche pas... On l’a connue plus combative et mordante... avec Robert Ménard et Jean-Marie Le Pen.", écrit Jenny.
En représentante de la soi-disant "bien pensance" Pascale Clark voit rouge chaque fois qu’il y a Jean-Marie Le Pen, même de façon ironique comme dans le titre du livre Vive Le Pen de Robert Ménard, et elle se déchaîne, forte de sa conviction d’être dans la lutte du bien angélique contre le mal diabolique le péniste, bouc-émissaire facile avec ses provocations hystrioniques, Le Pen qui n’est qu’"un fout-la-merde magnifique" selon Claude Chabrol.
Rappelez-vous, entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2002, son émission matinale sur France Inter consistait en une quinzaine de propagande anti-Le Pen..
Elle devrait méditer ce que disait le champion de la gauche bobo, plus bourgeoise que bohème, Lionel Jospin dans Le monde du mercredi 24 avril 2002, p.7 (article intitulé « Jospin refuse de donner une consigne sur le « choix difficile du second tour » ») : « Le choix est difficile. Je ne veux pas peser dans un sens ou dans l’autre. Réfléchissez-y bien. Essayez d’être dans la réalité, pas dans les mythes. ».
Excellente initiative d’indiquer cette statistique officielle des CDC, selon laquelle il faudrait des années de relations sexuelles pour transmettre le soi-disant "VIH". Mais il faut faire peur pour amorcer la pompe à phynances ubuesque, et cacher que la mortalité du sida en France n’est que de quelques centaines, en incluant toutes sortes de cas hétéroclites, comme les 4% de suicidés dans les 964 de 2000 (une maladie opportuniste ?). Alors, pour continuer à croire à la thèse viraliste en Afrique subsaharienne, il faudrait imaginer qu’ils ont une multitude de relations sexuelles quotidiennes...
Plus sérieusement, Jovanovic, s’il révèle certaines choses dissimulées, ignore que la causalité virale du ou des sidas est une incohérence scientifique.
"On remarque que Pascale Clark, qui se fait traiter comme de la m***, ne bronche pas... On l’a connue plus combative et mordante... avec Robert Ménard et Jean-Marie Le Pen."
Edifiant témoignage de l’élue socialiste sur la chape de plomb médiatique qui protège les puissants.
Ben oui, pour qu’un scrutin à deux tours exprime la "volonté" du peuple, il ne faudrait pas plus de trois candidats... ou alors instaurer un scrutin où l’on puisse donner une évaluation, une notation à chaque candidat.
Encore une victime de l’industrie chimico-pharmaceutique, euh pardon, du cancer.
"Extrême-individualisation des menaces", dit Richard Labévière : cela s’appelle désigner des boucs-émissaires.
Oussama Ben Laden, cliniquement mort depuis des années, n’est déclaré mass-médiatiquement mort que lorsqu’il est US-officiellement déclaré mort.
Aie confiance, petit Mowgli.
L’article a été publié par des auteurs de bande dessinée dans la Charene Libre.
Il est marqué en-dessous :
"14:25
Publié dans Intox, l’info pour de faux"
Amusante chanson mais
A la fin de l’article au conditionnel de La Charente Libre, non vérifié donc (c’est pourtant facle avec une vidéo d’une télévision publique), a été ajoutée (quand ?) cette phrase :
"Voila ce qui aurait pu se passer si Rachida Dati avait vraiment gaffé !"
Se moque-t-on de nous ? Fait-on du story telling avec la Charente Libre, pour nous distraire de l’important ? Comme avec le certificat de naissance grossier de Barack Obama.
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