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Les commentaires de Justin



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    Justin 8 août 2018 13:08

    @harry stot Le champs d’étude de Jean-Baptiste André est plus vaste que la "simple" génétique (l’évolution au sens darwinien est un fait acquis pour lui).

    Il s’intéresse avant tout à l’évolution de la coopération et de la moralité humaine (sujet hautement théorique autant que philosophique, sûrement très intéressant, modèles de théorie des jeux notamment).

    "Je m’intéresse principalement à l’origine de la coopération et de la moralité, en particulier chez l’Homme."

    http://jb.homepage.free.fr/



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    Justin 8 août 2018 12:04

    @Mahler "remplaçant" comme espèce vivante fruit de l’évolution sur terre entre apostrophes (l’homme n’existait pas l’époque des dinosaures). Par contre, il serait intéressant de savoir si des changements d’espèces ont été constatés sur des micro-organismes à reproduction très rapides (sur des mammifères, ce serait impossible). A-t-on constaté le changement d’espèce chez des bactéries par exemple en laboratoire ? (au fil des générations et des mutations, ce serait très commun d’après la théorie de l’évolution)



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    Justin 8 août 2018 11:19

    @ololiyuki autre question : si l’évolution a conduit aux dinosaures après des millions d’années d’évolution, pourquoi leur "remplaçant" a été l’homme après les mêmes millions d’années d’évolution ? Une des théories est basée sur la ... concentration en oxygène de l’air (plus adaptée aux dinosaures qu’aux humains). En réalité, pour les généticiens, les espèces sont aussi éloignées que les galaxies pour les astrophysiciens. Les bactéries mutent en permanence mais restent des bactéries fondamentalement. La biodiversité bactériennes pourrait être de 1 000 milliard d’espèces. Seulement 10 millions d’espèces bactériennes ayant été décrites, il resterait 99,999% de la biodiversité bactérienne à découvrir. Les bactéries mutent mais changent-elles d’espèces ? Pour valider la théorie de l’évolution, il faudrait au moins constater le changement d’espèce au niveau d’organisme aussi "simple" qu’une bactérie. Par exemple, un streptocoque hémolytique (angine rouge) se transforme-t-il en bactérie Streptococcus pyogenes (scarlatine). Ce n’est pas une grande évolution mais ça n’arrive ... jamais.




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    Justin 8 août 2018 10:31

    . Il faut aussi que cette mutation génétique soit "héritable" pour en hériter automatiquement.



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    Justin 8 août 2018 10:28

    @ololiyuki Jean-Baptiste André revendique des recherches "théoriques". Les chercheurs américains forts de leurs financements disposent d’équipements qui leur permettent d’étudier de très grands échantillons (100 000 espèces) et d’obtenir des résultats plus pragmatiques et bien réels même s’ils sont contre intuitifs sur l’évolution des gènes. Parmi les études de Jean-Baptiste André, on trouve les microparasites et des organismes asexués.
    Les mutations génétiques sont perpétuelles et la plus connue reste le cancer. D’un point de vue pathologique, les cancers sont des maladies génétiques, c’est-à-dire qu’ils ont pour origine une modification quantitative ou qualitative de nos gènes. Ces cellules génétiquement "anormales" sont détruites constamment par notre système immunitaire mais dans certains cas "anormaux", ce mécanisme de défense est désactivé par les cellules cancéreuses (un chercheur disait qu’elles "endorment" le système immunitaire) et se mettent à proliférer. La plupart des mutations génétiques de nos cellules est normalement détruite par notre système immunitaire ... pour notre survie. Il faut aussi que cette mutation génétique soit "héritée" ce qui n’est pas le cas de toutes les mutations. La théorie de l’évolution est basée sur les grande périodes (millions d’années), de grandes populations et sur les mutations génétiques sélectives mais ces notions impliquent des changements très peu probables avec le risque d’une extinction des animaux les plus "évolués" lors de catastrophes naturelles pour repartir quelques millions d’années en arrière à chaque épisode. Ce qui s’applique à la souris s’applique difficilement à l’homme en biologie mais ce qui s’applique à la bactérie ou des organismes asexués devrait par contre s’appliquer à l’homme directement lorsqu’il s’agit d’évolution ? =

    Logiquement au terme de notre évolution, nous devrions tous être de petite taille et souffrir du syndrome de Laron. On compte « environ 300 personnes avec ce syndrome » dans le monde entier.

    http://www.lapresse.ca/vivre/sante/201401/31/01-4734368-en-equateur-des-nains-symboles-despoir-contre-le-cancer-et-le-diabete.php



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    Justin 8 août 2018 09:35

    @gaijin : ce n’est pourtant pas ce que dit Thomas Lenormand, du Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive du CNRS, à Montpellier "Ce que la sélection naturelle a produit aux générations précédentes (un génome bien adapté à son milieu), le brassage génétique risque, au contraire, de le défaire."

    https://www.science-et-vie.com/archives/le-sexe-un-paradoxe-de-l-evolution-18890