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Les commentaires de Chitine



  • 2 votes
    Chitine Chitine 22 janvier 2014 01:32

    Merci Maqiavel1983.



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    Chitine Chitine 15 janvier 2014 00:48

    Effectivement, sur le net, pas de fond.
    Ni de plafond.
    Mais jusqu’à quand (et où) ?



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    Chitine Chitine 14 janvier 2014 23:17

    Oui, pardon pour l’orthographe.



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    Chitine Chitine 14 janvier 2014 22:01

    Et, parallèlement (ou perpendiqulairement, c’est selon), ne pourrait-on aussi penser que nous nous sommes finalement mépris sur le sens à donner au symbole de la croix du christ ? :p
    naaaaaaan...



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    Chitine Chitine 9 janvier 2014 10:44

    Non je me trompe.
    La phrase de pasolini est :« Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle antifascisme »



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    Chitine Chitine 9 janvier 2014 10:41

    "Les fascistes de demain s’appelleront eux même antifascistes".
    Je pense que c’est de Pasolini.



  • 1 vote
    Chitine Chitine 2 janvier 2014 16:55

    Merci beaucoup Machiavel1983.
    La mise au point que Chouard fait à partir de 3h28 est salutaire.



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    Chitine Chitine 18 décembre 2013 16:55

    "Une approche matérialiste part de la matière, et les interactions sociales ne sont pas du tout des phénomènes matériels."
    .
    Le matérialisme méthodologique, c’est juste prendre les choses telles qu’elles sont et ne pas se raconter d’histoire (je le prend de Lordon qui le prend de Althusser).
    C’est le rejet du transcendant, dans le sens de ce qui dépasse toute possibilité de connaissance (sens de Kant). En gros.
    .
    Ca ne part pas de la matière, ça part de ce qui ne dépasse pas toute possibilité de connaissance.



  • 4 votes
    Chitine Chitine 13 décembre 2013 15:05

    Je pense que l’explication de cette exclusive réside dans le fait qu’Alain Soral est un excellent candidat à la caricature
    et qu’il n’arrête pas d’attaquer tout le monde, ce qui en fait une cible de choix.
    .
    Il est probable que les membres de cette fine équipe soient eux-même des gens qui apprécient le personnage. Parce que les piques ne s’enfoncent qu’à l’endroit de son narcissisme légendaire, de son autoritarisme et de son recycling-business, quasiment jamais au niveau de ses idées, celles qui lui valent par ailleurs tant d’ennuis.
    Mais aussi parce que pour le caricaturer aussi bien, il faut beaucoup l’avoir matté.



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    Chitine Chitine 22 novembre 2013 18:01

    Ce n’est pas inutile de se poser la question de la direction vers laquelle tend notre action. C’est même essentiel pour en prendre la mesure.
    .
    La démocratie directe n’est pas une utopie, il n’y a donc aucune fantaisie dans la démarche de Chouard.



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    Chitine Chitine 21 novembre 2013 18:07

    Il n’est pas nécessaire que nous organisions la révolte pour que des changements radicaux s’opèrent dans le sens d’une récupération du pouvoir capté par les élites.
    Il suffit que les peuples ne soient plus à même de supporter leur poids.



  • 1 vote
    Chitine Chitine 21 novembre 2013 17:45

    Dans ce cas il vient de s’y mettre depuis déjà 7 ans :)



  • 1 vote
    Chitine Chitine 21 novembre 2013 17:44

    medialter,
    avec une telle posture du cynique fataliste, qu’est-ce qui vous différencie donc tellement de ces incapables de faire autre chose que d’attendre de crever lentement ?



  • 2 votes
    Chitine Chitine 11 octobre 2013 17:32

    (On pourrait p’t’être cerner ce qu’est la démocratie en cernant ce qu’elle n’est pas ?)



  • 3 votes
    Chitine Chitine 11 octobre 2013 17:12

    A vous tous qui glosez sur le bon sens du concept de démocratie,
    je ne vous ai jamais dit que je suis l’homme qui sait tout
    et je vais vous dire ce que c’est la véritable démocratie :
    la véritable démocratie c’est ... ARGH ! hhhrrrhhh ;;..

    (désolé)



  • vote
    Chitine Chitine 24 septembre 2013 09:51

    "Personnellement, bien que sensible à des valeurs que l’on rejette souvent dans le camp de la droite, je souhaite dépasser ce clivage. C’est aussi ça, "sortir du cadre pour le refaire" : admettre que ce n’est pas l’apanage de la gauche. Qu’en pensez-vous ?"

    J’en pense que vous êtes de gauche :)



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 16:53

    Bonjour Eric Guéguen,

    Quand vous dites que F.L. est de gauche, c’est par rapport à quelle définition de "la gauche" ?
    .
    si gauche = "ceux qui veulent sortir du cadre et le refaire"
    alors Lordon est de gauche si il veut sortir du cadre et le refaire.
    Veut-il sortir du cadre et le refaire ? Il prétend le souhaiter.
    Qu’est-ce qui vous fait douter qu’il relève de cette conception de la "gauche" ?



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 15:43

    Vive l’adversité !
    Sans quoi nous serions tous mort.



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    Chitine Chitine 23 septembre 2013 15:17

    Concernant la question des définitions et en réaction au message de Machiavel 1983 qui lui-même réagissait à celui de Eric Guéguen du 20 septembre 17:39
    "Il y’ a quelques jours j’écoutais Michel Rocard sur France info (il était très bon), on lui a demandé de définir la gauche et il a répondu en gros que la gauche, c’était le changement et l’innovation ! C’est exactement ça : la gauche, c’est fondamentalement les forces de la modernité et du mouvement et la droite, c’est la réaction à ce mouvement, ce qui se manifeste par le conservatisme !"
    .
    Frédéric Lordon propose également d’actualiser la polarisation et sa proposition est très proche de celle-là.
    http://www.youtube.com/watch?v=paaA0in8WjQ
    "La "Droite", c’est ceux qui veulent travailler dans le cadre, la "Gauche", c’est ceux qui veulent sortir du cadre et le refaire".
    .
    Attention : réclame.
    Machiavel et Guéguen, et les autres, vous qui vous posez ces questions de définition de concepts, et si ce n’est déjà fait, je vous conseillerais amicalement d’aller faire un tour du côté de l’école régulationniste, et notamment des essais "L’intérêt souverain" et "Capitalisme : désir et servitude" de F.L.
    L’intérêt y est justement le développement de raisonnements nécessairement sur base de définitions et constructions rigoureuses de concepts. On y est donc d’accord ou pas non sur base d’affinités idéologiques particulières mais sur la validité du raisonnement.
    L’autre intérêt, le majeur, c’est qu’on y dépasse une autre polarisation : individualisme/collectivisme.
    .
    La thèse de "L’intérêt souverain" devrait particulièrement te plaire, Machiavel1983.
    J’ai ici trouvé un résumé intéressant, désolé pour la longueur (et la digression) :
    .
    http://lectures.revues.org/305
    "La thèse de Frédéric Lordon repose sur l’argument selon lequel l’institution du rapport de don/contre-don remplit une fonction sociale précise : conjurer la violence inhérente à l’antagonisme des conatus. D’une certaine façon, le procès de civilisation n’est rien d’autre qu’une succession de « mises en forme », historiquement et socialement structurées, de la rencontre des conatus afin que la violence qui en résulte soit comprimée et que les hommes parviennent à vivre ensemble sans s’entretuer. L’acte de consommation marchande se révèle ainsi totalement déshumanisé si l’on fait exception des formules toutes faites (« et avec ceci ? », « c’est pour offrir ? »...etc.) qui sont chargées d’en euphémiser le contenu et la signification. Tout se passe donc comme si les individus passaient leur temps à dénier la violence inhérente aux échanges sociaux en les enrobant dans des formes socialement convenues. Et si la poursuite de l’intérêt individuel, au sens utilitaire, est devenue légitime, ceci n’a été possible qu’au terme d’un long processus historique dont Hirschmann avait déjà tracé les grandes étapes dans son livre Les passions et les intérêts. Frédéric Lordon dégage ainsi de façon analytique trois configurations différentes de l’échange : d’une part, le don comme forme d’échange symbolique, le « donnant-donnant » consacré par le marché, et enfin une configuration intermédiaire conciliant ces deux formes extrêmes. Il précise par ailleurs que « les dispositifs de la réciprocité ne peuvent que sublimer, mais jamais extirper, ces pulsions élémentaires qui restent alors à l’horizon de toutes les pratiques sociales » (p.99). Les pratiques de don/contre-don s’inscrivent ainsi dans une mise en scène de l’hypocrisie collective qui consiste à dénier que tout l’intérêt qu’il peut y avoir à se montrer désintéressé : « le bienfait est une comédie, c’est d’accord, mais c’est une comédie sérieuse et impérative » "



  • 2 votes
    Chitine Chitine 17 septembre 2013 18:10

    Sans clamer qu’il existe un système politique meilleur que les autres.

    La dérégulation extrême conduit fatalement à une perte de contrôle des gardes-fous qui empêchent les collusions entre administrations étatiques et intérêts privés.
    Cette dérégulation est théoriquement "de droite".

    comment donner tort concernant la critique des politiques de "la gauche".
    Mais ça ne cautionne en rien celle de "la droite", véritable ou non.
    Il faut penser cycliquement et pas essentiellement.
    Qu’est-ce que les Friedman et Hayek ont prévu pour que la grande dérégulation ne permettent pas les dérives actuelles ? Je ne trouve rien là-dessus...