Friedman sur la cupidité
Où on se rend compte que le capitalisme rend la cupidité de certains Hommes utile pour tous alors qu’elle a été destructrice dans les systèmes collectivistes.
Dites-moi simplement où dans le monde vous trouvez ces anges qui vont organiser la société pour nous ?
A propos de Friedman :
17 réactions à cet article
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Un peu facile :"sans le mal, il n’y aurait de bien" ! dixit Lucifer...
Bien à vous.
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Encore vous Alliterator, mais enfin qui vous à laissé sortir !!
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Salut !
Allieterator.."Où on se rend compte que le capitalisme rend la cupidité de certains Hommes utile pour tous alors qu’elle a été destructrice dans les systèmes collectivistes."Non mais tu plaisantes encore une fois , hein rassure nous !La cupidité de tes "certains" a pour résultat de nous brider sur l’évolution de la technologie ,une preuve ? bon , une pour la forme.La voiture électrique EVI 1 : http://www.youtube.com/watch?v=PDH_4lOM05g&feature=relatedNous remercierons le secteur automobile et pétrolier pour cela....tiens la cupidité de certains ne nous aide pas du tout.Dans le même genre , toujours dans le domaine automobile : http://www.youtube.com/watch?v=g6yVT_3xa4k&feature=relatedUn exemple dans un autre domaine ?Les guerres en irak / afghanistant .. pour le pétrole , encore la cupidité de tes "certains"..La cupidité est une honte.-
La cupidité une ’honte’, peut-être pas, mais on pourrait dire qu’elle ne résout rien : qu’il y en a de la bonne et de la mauvaise, et qu’aborder le débat sous cet angle là tient de l’imposture intellectuelle.
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le monde n a jamais été autant libéralisé depuis les années 20 et c est sur, les masses sont vraiment en train de s échapper de l écrasante pauvreté.
Allez dire ca au pays d afrique ou d amérique latine qui ont vu les prix des matieres premieres exploser depuis 3 ans grace aux spéculations.Spéculations internationnales, soit dit en passant qui affectent beaucoup moins les états qui ont exercé un certain protectionisme financier ou ceux qui ont continué a produire une grande diversité agricole plutot que de se spécialiser dans un produit spécifique comme le prone le libéralisme (cacao, banane...)-
Sans les dettes publiques pour amortir les crises financières des 30 piteuses, nous aurions vu le vrai visage de la financiarisation directement.
Mais comme les socialo n’étaient que dans la revendication et que les libéraux ne voulaient que mondialisé, il suffisait de traire les nations pour maintenir les mythes de chacun.
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Sans les dettes publiques pour amortir les crises financières des 30 piteuses, nous aurions vu le vrai visage de la financiarisation directement.
nous l aurions vu directement , oui, mais le changement se serait fait petit a petit et non pas comme nous allons le sentir prochainement d un seul coup.
Sans la dette publique (directement causé par la loi de 73) nous n aurions certe pas eu le formidable pouvoir d achat que l on a eu ces 40 dernieres années, les monnaies des
pays émergents se seraient réevaluer par rapport aux monnaies occidentales de maniere naturelle mais nous aurions gardé un tissus industriel beaucoup plus fort que celui que l on a actuellement, donc le presque plein emploi, donc un pouvoir revendicatif plus fort face aux patrons ce qui n aurait pas déplus aux socialistes, il n y aurait pas eu autant de RMI et d allocations, ce qui n aurait pas déplut au petits électeurs de droite.
Pour pouvoir consommer a foison, nous avons autodétruient nos nations en 40 ans. Les monnaies occidentales vont exploser, nous allons nous retrouver avec des euros et des dollars qui ne valent meme pas le prix du papier sur lequel ils sont imprimés. L economie mondiale repartira a zero avec d un coté des pays émergeant possédant le gros de l industrie et l agriculture et de l autre nos pays remplis de bureaux et d ordinateurs.
il vaut mieux une dévaluation/inflation douce plutot q une dette publique qui suivra obligatoirement d une grosse crise d hyperinflation.
En gros friedman et ses théories nous ont bien flouter avec des ipod et des écrans plats pas cher pour nous amadouer et nous livrer tout crus aux marchés financiers.
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J’espère que vous ne vous pensez pas parfait comme les ultras :
"En passant, même pour le « père » de l’économie libérale, Adam Smith, les marchés, pour fonctionner, ont besoin de transparence, de compétition et aussi d’un sens d’éthique. Un des plus grands problèmes des marchés financiers libéralisés, c’est que cette proposition très importante d’Adam Smith, celle qui affirme qu’il est de l’intérêt propre des gens d’avoir un comportement éthique, se révèle chaque jour fausse. En particulier sur les marchés financiers, ce n’est pas payant d’être éthique. Et inversement, c’est très profitable de ne pas avoir d’éthique (…)"
Eric de Keulenneer (prof., banquier,...)
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Adam Smith est devenu obsolète le jour ou le marketing et la publicité ont été inventé car cela fausse completement le meilleur produit au meilleur prix.
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Adam Smith, dont les propos sont souvent dévoyés ces jours-ci - et qui vivait dans un autre monde que le notre - reconnaissait lui même le besoin d’Etat, de régulation dans le secteur bancaire, etc...
De son expression ’main invisible’, on a souvent conclu que la justice sociale pouvait ’résulter du libre-échange : c’est oublier que , sans régulation, la mauvaise concurrence chasse la bonne, car efficacité économique et justice sociale ne sont pas 2 questions indépendantes.Enfin, comme le rappelle le commentaire sur le ’marketing’ - celui-ci est apparu quand, le contexte de ’production’ de richesses ayant évolué, la simple ’demande’ naturelle n’était plus suffisante à la croissance de certaines offres ET les moyens techniques (medias de masse) permettaient une communication centralisée bien plus ’productive’ elle même s’accompagnant de la consommation de masse - le contexte a changé depuis son époque - et la ’main invisible’, qui n’existait pas de son temps (ou du moins qui n’est pas séparable du ’contexte’ dans lequel se faisaient les échanges marchands d’alors) n’existe toujours pas. -
Le libéralisme est un dogme aussi néfaste que le dogme collectiviste.
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Le mix des 30 glorieuses (lois anti-finance folle, plan industriel pour les pays en difficulté, crédit PRODUCTIF publique sans intérêt,...) ni-ultra, ni communiste.
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Le libéralisme collectiviste peut-être. ?
Rions. -
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un peu dans le sens de rasta,quelque chose de pragmatique et surtout d’humain.Le libéralisme se base sur des supposition d’équilibre futur (lointain ?) sans penser aus conséquences sur des millions d’être humains a court et moyen terme.Pas etonnant,la classe qui est defendu par cette these et qui défend cette thèse est aussi très porté sur l’eugénisme et la réduction de population.
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Friedman qui nous parle de cupidité c’est comme ci Maddoff nous parlait de commerce équitable.
Ils nous ont toujours pris pour des cons et ils ont raison.
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