Marée noire : opération massive pour dissimuler l’ampleur de la catastrophe

Cette histoire est une parfaite démonstration que les pétroliers mentent sur l’origine du pétrole, c’est-à-dire qu’ils n’est pas un résidu de la composition d’êtres vivants mais un matériau issu de la terre (abiotique).

Sur Wikipedia, à l’article pétrole, il est écrit :
" En règle générale, on injecte de l’eau et/ou du gaz dans le gisement, via des puits distincts de ceux qui extraient le pétrole".
C’est conforme à l’idée communément énoncée qui affirme que pour extraire le pétrole, il faut appliquer une pression externe dans son réservoir et à celle qu’il reste toujours du pétrole au fond qui est impossible à extraire, sous-entendant que le pétrole est un matériau dormant sous faible pression.

Or, dans le cas actuel cela fait trois mois que le pétrole de BP s’échappe du réservoir, malgré un puits situé à 1500 mètres sous la surface de l’eau. Logiquement, la pression de l’océan aurait dû faire s’effondrer le puits. Mais non, rien ne semble pouvoir l’arrêter...

La théorie du pétrole abiotique, (sans cesse censurée chez Wikipedia par des imbéciles qui croient que l’intelligence consiste à répéter mot-à-mot les propos de ceux en qui ils ont mis leur foi), stipule au contraire que le pétrole s’échappe du manteau terrestre par des sortes d’éruptions, similaires aux éruptions volcaniques, mais à une température beaucoup plus froide.

Cela expliquerait parfaitement pourquoi aucune technologie humaine, ni la pression océanique, n’est capable de contrer pour l’instant l’afflux de pétrole. Cela explique aussi très bien pourquoi le pétrole est mélangé au sulfure d’hydrogène, matériau caractéristique du volcanisme.