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Confirmation par de nombreux témoignages civils que la population russophone est prise pour cible par le régime ukrainien

Le Président Emmanuel Macron, en refusant les corridors humanitaires russes destinés à évacuer les civils vers la Russie et la Biélorussie, met aujourd'hui gravement en danger la vie de centaines de milliers de civils en Ukraine.

Après une vidéo témoignant d'un massacre d'au moins six civils (quatre hommes, une femme, possiblement un enfant et les deux protagonistes de la vidéo), nous avons aujourd'hui de nombreux témoignages de civils, notamment de la ville de Marioupol, fief du régiment néo-nazi Azov, témoignant du fait qu'ils sont actuellement pris en otage et utilisés comme boucliers humains par les groupes néo-nazis sur place et l'armée ukrainienne qui leur tirent dessus quand ils cherchent à fuir la zone de guerre.

La population civile n'est pas mise au courant quant à l'existence des corridors et ceux qui tentent de fuir se font tirer dessus tandis que de nombreuses personnes ont déjà été tuées. Une personne âgée parle notamment de "fous" en ce qui concerne les groupes néo-nazis qui maintiennent la population en otage.

De nombreux témoignages de civils ont été diffusés par RT France, qui est aujourd'hui censurée par l'Union Européenne et la France. On comprend mieux les raisons de cette censure en voyant les témoignages des civils directement interrogés.

Emmanuel Macron, les autorités européennes et l'OTAN ne veulent pas que la population européenne sache qu'ils sont en train de collaborer avec et de supporter politiquement et militairement des groupes néo-nazis criminels qui assassinent froidement la population russophone, tout cela dans le but de prolonger une guerre froide avec la Russie qui dure déjà depuis plus de 75 ans, les néo-nazis ukrainiens étant notamment protégés politiquement par les Etats-Unis depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

La censure des médias russophones par l'Union Européenne et la France indique une volonté de complicité active envers les agissements criminels des néo-nazis en Ukraine envers la population civile.

Anne-Laure Bonnel, reporter de guerre au Donbass et enseignante en audiovisuel à La Sorbonne et à l’ENS Cachan, affirme que la censure et la guerre de l'information menée par les journalistes et politiciens de l'Union Européenne et des pays de l'OTAN contre la population civile européenne et mondiale aggravent la situation humanitaire sur place.

 

Tags : Citoyenneté Censure Médias Journalisme citoyen Russie Guerre Liberté d’expression Ukraine Emmanuel Macron Union européenne Biélorussie




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4 réactions à cet article    


  • 2 votes
    patoufleur patoufleur 10 mars 2022 11:59

    Comment suivre la boucherie des néonazes sans passer par RT ?

    Passez par ColonelCassad  et suivez au jour le jour les criminels nazis exécutant les civils en pleine rue.


    • vote
      Vulpes vulpes Vulpes vulpes 10 mars 2022 22:52

      @MYTH©bubu et les 12 comploteurs

       

      Les basses attaques auxquelles vous vous adonnez dès qu’on vous met devant vos propos ne vous grandissent pas.

       
       

      «  [C]ontrairement à vous seul la vérité et les faits m’intéresse  !  »

      Auteur anonyme, première moitié du XXIe siècle

       

      Heil Μπουρλά !


    • 6 votes
      ezechiel ezechiel 10 mars 2022 13:52

      La guerre oubliée du Donbass, pendant 8 ans, les populations russophones d’Ukraine ont été persécutées et bombardées par le gouvernement ukrainien dans l’indifférence générale de l’UE et de l’OTAN, avec le financement des USA.

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      • 3 votes
        Sirène 10 mars 2022 18:52

        C’est absolument évident ! il y a encore des naïfs pour croire que les combattants d’un bord sont gentils et les autres non. Que la population et les militaires prisonniers ne subissent pas d’exactions , qu’à Marioupol des russophones souhaitent en partir et servent de boucliers humains ! qu ’à Kiev la population non combattante souhaite partir mais que Zelinski refuse car, la population partie, la capitale tomberait comme une plume 



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abolab


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