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Accueil du site > Actualités > Politique > La démocratie libérale est-elle encore un modèle ?

La démocratie libérale est-elle encore un modèle ?

Vidéo du deuxième événement organisé, le Vendredi 25 Mai 2018, par le Cercle Res Communa sur le thème : "La démocratie libérale est-elle encore un modèle ?"

 

Tags : Politique Démocratie Citoyenneté Philosophie




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6 réactions à cet article    


  • vote
    ged252 30 mai 2018 20:14
    Le système ne marche plus comme le croit les gens d’ici.
    .
    Aujourd’hui les hommes politique VENDENT leur pouvoir politique.
    Les hommes politique passent à la TV et font des promesses pour être élus. Une fois élus ils disposent d’un pouvoir politique, ce pouvoir c’est leur vote des lois, ce vote est acheté par les lobbys, officiellement.
    La corruption est donc institutionalisée, légalisée par Bruxelles.
    .
    On est donc dans une ploutocratie : plouto ARGENT cratie : POUVOIR

    • 2 votes
      ged252 30 mai 2018 20:18
      Pourquoi on a toutes ces lois sur le contrôle technique, c’est Dekkra et securistet qui ont fait du lobbying à Bruxelles..
      Pourquoi on a toutes ces limitation de vitesse, tous ces emmerdements dès qu’on prend sa voiture, ces radars , ces contrôles de flicaille, ?
      Probablement parce Vinci fait du lobbying pour obliger, forcer, les gens à prendre les autoroutes.

      • vote
        [email protected] 30 mai 2018 21:04
        reponse facile
        democratie = ce que veut le peuple
        liberal = liberte mais surtout competition pqr definition imjuste
        voila les 2 predicat
        le dernier
        competition = oui qd je suis sur de gagner
        le modeur d indection IA affiche blue screen, revoir la programmation SVP ou eventuellement s affranchir de toute programmation, vaste programme qui devrait nous occuper pour les prochains millenaires

        • vote
          [email protected] 30 mai 2018 21:07

          de toute evidence cela requiere de s affranchir de tout paradoxe, comme la pensee humaine a ete pensee paradoxale car antinomique par nature, on est pas pret d y arriver,, ramons mes freres et en cadence SVP


        • 1 vote
          ubikand 31 mai 2018 10:23

          Dans cet article http://www.academia.edu/11918808/Synopsis_-_Le_Miroir_des_peuples
          écrit par Eric Gueguen, il expose la trame de son livre chapitre par chapitre, et on pourra y trouver la trame générale de sa pensée politique donc. 

          On peut y remarquer ceci page 8, par exemple : 

          C’est de loin le chapitre le plus long de mon ouvrage.
          J’ambitionne ici de présenter au lecteur un modèle de vie commune aussi cohérent que possible. Je commence par redéfinir la politique, puis dire en quoi certains articles typiquement modernes se nuisent entre eux. Je remets en question l’idée de contrat social originaire, j’en appelle à Ferdinand Tönnies pour privilégier l’idée de« communauté » et écarter celle de « société », je pose les jalons du zoon politikondans les faits en remettant en cause le prin
          cipe de représentation et en définissant le statut d’amateur en politique, je montre en quoi le suffrage étendu à toute une société d’éléments déliés est purement marchand, j’analyse, dans le prolongement de Simone Weil, la pertinence des partis politiques, j’expose enfin ce que j’entends par démocratie ordinale
           : une démocratie non plus fondée en nombre (ou cardinale), mais fondée autant que faire se peut en raison, assumant le raffinage des opinions brutes. Une large place est consacrée au crépuscule des grands médias et aux eaux fécondes et parfois impures de l’Internet. 
          Ensuite seulement je m’attèle au défi lancé : faire coïncider le réel avec ce que pourrait être la politie d’Aristote dans les faits.
          C’est une expérience de pensée que je mène le plus sérieusement possible et à laquelle je tiens car elle permet de montrer en quoi la philosophie politique est bien autre chose qu’un rayon de bibliothèque poussiéreux. L’idée-force est la suivante : je vois dans la « raison pratique » (phronesis), formulée par Aristote dans son Éthique, la mise au jour des deux grandes qualités que tout aspirant Périclès devrait posséder : le sens de la justice en tant que vertu morale, et la compréhension des choses complexes en tant que vertu intellectuelle. Aristote, cependant, ne donne pas d’indications quant à la manière de débusquer l’oise
          au rare. 
          En revanche, il est possible que le bicamérisme puisse permettre, en vertu de certains aménagements que j’expose amplement, de dédier une chambre au scrupule éthique (profane), une autre à la science pure (et froide). De cette manière, le phronimos, l’homme prudent selon Aristote, se trouverait être transposé dans l’acte délibératoire en démocratie ordinale, régime plus attentif au bien commun que l’actuelle démocratie d’opinion.

          Si je crois comprendre la logique d’ensemble et l’articulation autour des 2 qualités dont parle Aristote, je ne vois pas comment dans les faits une chambre pourrait être de "science pure et froide" (sic). 



          • vote
            ubikand 31 mai 2018 13:35

            Eric Guéguen : https://youtu.be/kinPrcFrxc4?t=1557


            Que de flous dans les énoncés, que de déclarations générales qui se heurtent au mur de l’opérationnel, que de contradictions de fond dans ces propos, et que me semble t’il de grands Diables qui se cachent dans les détails...


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