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Accueil du site > Actualités > Politique > Les neurosciences servent à cacher les intelligences multiples

Les neurosciences servent à cacher les intelligences multiples

Les difficultés dans l’acquisition des savoirs sont bien davantage liées à des questions sociales et familiales que neurobiologiques. Alors qu'il n'y a aucune preuve génétique des difficultés d'apprentissage, et que la parole des enseignants et des sociologues devrait être entendue en priorité, le ministre de l'Education Nationale a installé un Comité scientifique dominé par des neuroscientifiques. Mais dans quel but ? Par Gérard Miller, avec le psychiatre Gérard Pommier.

https://web.archive.org/web/20181222181951/https ://www.devenir1genie.com/Decouvrir-ses-intelligences?lang=fr

Tags : Société Biotechnologies Santé menacée Prospective et futur Philosophie Science et techno Bio Psychanalyse Sociologie




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13 réactions à cet article    



    • 2 votes
      bob87 26 décembre 2018 11:38

      On sait que l’intelligence a un très fort lien avec la génétique qui s’amplifie avec les questions sociales et familiales qui sont biens souvent des conséquences de l’intelligence des parents. Je peux vous dire pour avoir l’expérience de l’enseignement que je me rends compte que, sauf gros accident de la vie, les gosses intelligent et les autres ça se détecte très très très tôt... souvent tout est joué avant même la maternelle !


      • vote
        Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 09:59

        le sujet du débat est bien décri par Ken Wilber qu’il nome "la terre plate"c’est à dire l’unique prise en compte des 2 quadrants droit de sa théorie AQUAL.

        La méthode des quadrants apporte en effet des solutions inespérées à un certain nombre de difficultés qui embarrassent tout étudiant soucieux de se tenir informé sur l’état du savoir ou tout esprit qui veut y voir clair. Elle permet de dénouer un certain nombre de confusions fréquentes dont il est difficile de se dépatouiller sans une aide solide. Edgar Morin répète à l’envi que le savoir de notre époque est devenu très fragmentaire et ésotérique au sens de compréhensible que par des spécialistes qui se parlent entre eux. Nous avons poussé très loin l’art de l’analyse dans jusqu’au plus petit fragment dans tous les domaines. Il oublie d’ajouter que nous mélangeons aussi des instruments de compréhension qui, s’ils sont valides dans un domaine, ne sont plus du tout fonctionnels ailleurs. Le service que rend Wilber est de situer chaque avenue du savoir dans le quadrant qui est le sien et de préciser quel point de vue théorique lui convient. Pour l’essentiel, la discrimination tient à la différence entre point de vue subjectif, (quadrant SG), le point de vue objectif (quadrant SD), interobjectif, (quadrant ID), et intersubjectif (quadrant IG). Sous la forme d’une question : Qu’est-ce qui fait la spécificité théorique de la démarche objective, de la démarche subjective, interobjective et intersubjective ?

        .

        http://philosophie-spiritualite.com/cours/theorie15.htm


        • vote
          Gollum Gollum 27 décembre 2018 10:47

          @Ziziledur

          On retrouve la même chose dans la logique de la double contradiction d’Abellio.

          Il manque d’ailleurs chez Wilber une dynamique entre les pôles qu’Abellio explore.

          Curieusement il ne me semble pas que Wilber parle d’Abellio et Abellio ne parle pas de Wilber. Pourquoi ce mutisme de l’un et de l’autre ? smiley

          Les 4 quadrants de Wilber correspondent aux 4 éléments de la tradition gnostique.

          Le collectif correspond aux éléments dits humides.

          L’objectivité correspond aux éléments dits froids.

          D’où : l’objectivité individuelle, par exemple, et qui correspond à l’esprit scientifique, à forte prétention d’objectivité, de rationalisme, etc.. correspond à l’élément Terre.

          Autrement dit à un des deux éléments à forte connotation matérialiste. D’où le matérialisme inhérent à nos sociétés sous emprise d’un paradigme objectiviste et rationaliste. En bref, la façon de penser scientifique nous pousse vers le matérialisme et une mutilation du réel.

          En astrologie d’ailleurs ce sont les signes de Terre qui correspondent à ces façons de voir : Capricorne et son mécanisme inhérent au signe (et qui marque tous les esprits du paradigme scientifique : Newton, Kant, etc..), Vierge et le rationalisme, Taureau et le matérialisme (Marx).

          En bref, l’astrologie respecte les 4 quadrants de Wilber. smiley


        • vote
          Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 11:24

          @Gollum
          "pourquoi ce mutisme de l’un et de l’autre ? "

          Je ne connais pas le travail de Raymond Abellio ,et pas de souvenir ni de citation de Ken Wilber dans ses ouvrages (à vérifier aussi).
          il y a beaucoup de choses dans les quadrants ,la spirale dynamique de Don Beck ,l’énnéagramme,un grand nombre d’auteur en référence,Jean Gebser,Sri Aurobindo,Teihard de Chradin,Plotin,Shankara,N.Elias,C.G.Jung,et bien d’autres.

          Peut-être K.W ne connais pas ce personnage où l’à t’il classé dans ce qu’il appelle La Boomérite


        • vote
          Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 11:25

          @Ziziledur

          La boomérite
          La génération du baby-boom a, comme toutes les générations,
          ses forces et ses faiblesses. Ses forces incluent un idéalisme, une
          vitalité et une créativité extraordinaires, ainsi qu’une volonté
          de nouvelles idées au-delà des valeurs traditionnelles.
          Certains observateurs sociaux ont vu chez les baby-boomer une
          « génération en éveil >>, perception renforcée par leur extraordinaire
          créativité dans tous les domaines, de la musique à l’informatique,
          de l’action politique aux modes de vie, de la sensibilité écologique
          aux droits civiques. Je pense sincèrement qu’il y a beaucoup de
          vérité et de bienfaits dans ces efforts, à leur grand mérite.
          Une des faiblesses des baby-boomers, comme la plupart des
          critiques s’accordent à le reconnaître, réside en une dose inhabituelle
          d’égocentrisme et de narcissisme, à tel point que la plupart
          des gens, y compris les baby-boomers eux-mêmes, comprennent
          immédiatement ou se reconnaissent sans difficulté lorsqu’on leur
          parle de << la génération du moi ».
          Il semblerait donc que ma génération soit un mélange extraordinaire
          de grandeur et de narcissisme, et cet étrange amalgame a
          contaminé presque tout ce que nous faisons. Nous ne paraissons
          pas satisfaits de simplement avoir une belle idée, il faut que ce soit
          un nouveau paradigme qui annonce l’une des plus grandes transformations
          de l’histoire du monde. Nous ne voulons pas<< juste »
          recycler les bouteilles et le papier ; nous voulons être des héros
          de l’écologie en train de sauver la planète Gaia, et de ressusciter
          la Déesse-mère que les générations précédentes ont brutalement
          réprimé, mais que nous finirons par émanciper. Nous ne savons
          pas simplement prendre soin de notre jardin ; il nous faut transfigurer
          la surface de la planète, et participer au plus exceptionnel
          éveil planétaire de l’histoire. Il semblerait que nous ayons besoin
          de nous voir comme l’avant-garde de quelque chose d’unique dans
          l’histoire. L’extraordinaire merveille d’être nous.
          C’est un comportement qui peut paraître assez comique si l’on y
          réfléchit, et je dis cela sans animosité particulière. Chaque génération
          a ses manies ; celle-ci semble être la nôtre, à un degré ou à un
          autre. Mais je crois que rares sont les membres de ma génération qui
          échappent à ce tempérament narcissique. De nombreux critiques
          sociaux se sont accordés là-dessus, et pas seulement à travers des
          travaux brillants comme La culture du narcissisme de Christopher
          Lasch, SelfSeekers de Restak, Habits of the Heart de Robert N. Bellah,
          et Me : The Narcissistic American de Aaron Stern. Dans son enquête
          (parue dans Zingua franca :The Review of Academie Lzfe) sur l’état actuel
          des études culturelles, notamment dans les universités américaines,
          le professeur Frank Lentricchia conclut : « Une chose est sûre, il
          est impossible d’exagérer l’héroïque inflation de l’ego des critiques
          littéraires et culturels dans le milieu universitaire. >>
          Aïe. Ça fait mal. Mais il est vrai qu’il suffit de parcourir quelques
          ouvrages sur les études culturelles, les spiritualités alternatives, le
          nouveau paradigme, ou la grande transformation qui pourrait avoir
          lieu si seulement Je monde suivait les idées révolutionnaires de
          l’auteur pour voir apparaître cette « héroïque inflation de l’ego ».
          Curieux de comprendre ce qu’était réellement cet enflement de
          l’ego, j’ai fait des recherches et écrit un livre sur cette étrange
          affection qui ternit ma génération, ce mélange baroque de capacité
          cognitive remarquablement élevée, de merveilleuse intelligence
          créative et d’une dose inhabituelle de narcissisme émotionnel. Bien
          sûr, je le répète, chaque génération a eu sa dose d’imperfection ; je
          ne condamne pas particulièrement les baby-boomers. C’est simplement
          que les « générations en éveil » ont souvent un intense
          côté obscur, tout simplement parce qu’ils sont intenses dans tout ce
          qu’ils font, et que pour les baby-boomers cela semble se manifester
          par une certaine infatuation, une histoire d’amour avec soi (dans
          la lignée du trait d’esprit d’Oscar Levant à Gershwin : « Dis-moi,
          George, si c’était à refaire, tomberais-tu à nouveau amoureux de
          toi-même ? »)
          J’ai intitulé ce livre Boomeritis. J’y propose la chronique d’une
          douzaine de domaines et de disciplines dans lesquels une vérité
          importante, mais partielle, est gonflée hors de proportions, du fait
          d’une surestimation du pouvoir et de l’importance de l’ego.2
          J’en soulignerai ici brièvement la conclusion générale qui a,
          comme je l’ai dit, une influence majeure sur la vision intégrale et sa
          réception dans le monde d’aujourd’hui. L’idée est assez simple : la
          Culture du Narcissisme est incompatible avec une culture intégrale
          (car les sois isolés et narcissiques s’opposent à la communion).
          cette question persistante : le monde est-il prêt pour quoi que ce
          soit d’intégral ? Et si non, qu’est-ce qui s’y oppose ?La boomérite
          La génération du baby-boom a, comme toutes les générations,
          ses forces et ses faiblesses. Ses forces incluent un idéalisme, une
          vitalité et une créativité extraordinaires, ainsi qu’une volonté
          de nouvelles idées au-delà des valeurs traditionnelles.
          Certains observateurs sociaux ont vu chez les baby-boomer une
          « génération en éveil >>, perception renforcée par leur extraordinaire
          créativité dans tous les domaines, de la musique à l’informatique,
          de l’action politique aux modes de vie, de la sensibilité écologique
          aux droits civiques. Je pense sincèrement qu’il y a beaucoup de
          vérité et de bienfaits dans ces efforts, à leur grand mérite.
          Une des faiblesses des baby-boomers, comme la plupart des
          critiques s’accordent à le reconnaître, réside en une dose inhabituelle
          d’égocentrisme et de narcissisme, à tel point que la plupart
          des gens, y compris les baby-boomers eux-mêmes, comprennent
          immédiatement ou se reconnaissent sans difficulté lorsqu’on leur
          parle de << la génération du moi ».
          Il semblerait donc que ma génération soit un mélange extraordinaire
          de grandeur et de narcissisme, et cet étrange amalgame a
          contaminé presque tout ce que nous faisons. Nous ne paraissons
          pas satisfaits de simplement avoir une belle idée, il faut que ce soit
          un nouveau paradigme qui annonce l’une des plus grandes transformations
          de l’histoire du monde. Nous ne voulons pas<< juste »
          recycler les bouteilles et le papier ; nous voulons être des héros
          de l’écologie en train de sauver la planète Gaia, et de ressusciter
          la Déesse-mère que les générations précédentes ont brutalement
          réprimé, mais que nous finirons par émanciper. Nous ne savons
          pas simplement prendre soin de notre jardin ; il nous faut transfigurer
          la surface de la planète, et participer au plus exceptionnel
          éveil planétaire de l’histoire. Il semblerait que nous ayons besoin
          de nous voir comme l’avant-garde de quelque chose d’unique dans
          l’histoire. L’extraordinaire merveille d’être nous.


        • vote
          Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 11:26

          @Ziziledur
          suite
          C’est un comportement qui peut paraître assez comique si l’on y
          réfléchit, et je dis cela sans animosité particulière. Chaque génération
          a ses manies ; celle-ci semble être la nôtre, à un degré ou à un
          autre. Mais je crois que rares sont les membres de ma génération qui
          échappent à ce tempérament narcissique. De nombreux critiques
          sociaux se sont accordés là-dessus, et pas seulement à travers des
          travaux brillants comme La culture du narcissisme de Christopher
          Lasch, SelfSeekers de Restak, Habits of the Heart de Robert N. Bellah,
          et Me : The Narcissistic American de Aaron Stern. Dans son enquête
          (parue dans Zingua franca :The Review of Academie Lzfe) sur l’état actuel
          des études culturelles, notamment dans les universités américaines,
          le professeur Frank Lentricchia conclut : « Une chose est sûre, il
          est impossible d’exagérer l’héroïque inflation de l’ego des critiques
          littéraires et culturels dans le milieu universitaire. >>
          Aïe. Ça fait mal. Mais il est vrai qu’il suffit de parcourir quelques
          ouvrages sur les études culturelles, les spiritualités alternatives, le
          nouveau paradigme, ou la grande transformation qui pourrait avoir
          lieu si seulement Je monde suivait les idées révolutionnaires de
          l’auteur pour voir apparaître cette « héroïque inflation de l’ego ».
          Curieux de comprendre ce qu’était réellement cet enflement de
          l’ego, j’ai fait des recherches et écrit un livre sur cette étrange
          affection qui ternit ma génération, ce mélange baroque de capacité
          cognitive remarquablement élevée, de merveilleuse intelligence
          créative et d’une dose inhabituelle de narcissisme émotionnel. Bien
          sûr, je le répète, chaque génération a eu sa dose d’imperfection ; je
          ne condamne pas particulièrement les baby-boomers. C’est simplement
          que les « générations en éveil » ont souvent un intense
          côté obscur, tout simplement parce qu’ils sont intenses dans tout ce
          qu’ils font, et que pour les baby-boomers cela semble se manifester
          par une certaine infatuation, une histoire d’amour avec soi (dans
          la lignée du trait d’esprit d’Oscar Levant à Gershwin : « Dis-moi,
          George, si c’était à refaire, tomberais-tu à nouveau amoureux de
          toi-même ? »)
          J’ai intitulé ce livre Boomeritis. J’y propose la chronique d’une
          douzaine de domaines et de disciplines dans lesquels une vérité
          importante, mais partielle, est gonflée hors de proportions, du fait
          d’une surestimation du pouvoir et de l’importance de l’ego.2
          J’en soulignerai ici brièvement la conclusion générale qui a,
          comme je l’ai dit, une influence majeure sur la vision intégrale et sa
          réception dans le monde d’aujourd’hui. L’idée est assez simple : la
          Culture du Narcissisme est incompatible avec une culture intégrale
          (car les sois isolés et narcissiques s’opposent à la communion).
          cette question persistante : le monde est-il prêt pour quoi que ce
          soit d’intégral ? Et si non, qu’est-ce qui s’y oppose ?


        • vote
          Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 11:28

          @Gollum
          sinon je suis capricorne ascendant scorpion et une solide pratique des mancies en particularité la géomancie.


        • vote
          Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 10:07

          oups ;métathéorie théorie AQAL OU des 4 quadrants,j’aime bien l’eau et nager,Aqual ,Aquatique,petite erreur de ma part.

          Introduction à la Théorie Intégrale de Ken Wilber(AQAL)

          https://www.youtube.com/watch?v=rpB1186YXxc


          • 1 vote
            Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 10:50

            « Notre époque se caractérise par la profusion des moyens et la confusion des intentions » disait Einstein. La dictature des moyens s’érige sur une dissolution des fins dont la conséquence est le déni du sens au profit d’une rationalité instrumentale et de ses applications pratiques. 


            • vote
              maQiavel maQiavel 27 décembre 2018 11:37

              @Ziziledur
              Ce que vous décrivez là me fait beaucoup penser à ce qu’il est convenu de nommer "science économique". 


            • vote
              Ziziledur Ziziledur 27 décembre 2018 13:26

              @maQiavel

              les mathématiques financière sont des outils scientifique utilisés en l’économie .

              Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie considère que « les financiers ont failli par incompétence et cupidité » et sont la cause principale de la crise de 2008.
              --------------------
              Selon Christian Walter, ce qui serait en cause est la représentation brownienne du risque, largement utilisée dans les banques et les marchés financiers, et qui apporterait une illusion de maîtrise du risque financier.
              ----------------------

              Toujours selon Christian Walter, la ligne de défense des mathématiciens selon laquelle les modèles sont éthiquement neutres est « non seulement totalement fausse dans ses présupposés fondamentaux, mais de plus extrêmement dangereuse (...). Elle est fausse car elle s’appuie sur une conception inexacte et dépassée du rapport entre modèle et monde concret. Elle est dangereuse car elle conduit à reporter sur les seuls usagers la garantie de fiabilité finale du système. Dire qu’un modèle mathématique en finance serait éthiquement neutre et que seul son mauvais usage serait à l’origine des problèmes rencontrés relève d’un positivisme datant de la fin du XIXe siècle, une épistémologie complètement caduque aujourd’hui »

              .bonjours la science la dedans . smiley


            • vote
              maQiavel maQiavel 27 décembre 2018 15:17

              @Ziziledur

              Je suis d’accord avec vous dans le moindre détail. Particulièrement lorsque vous énoncez la conception inexacte du rapport entre le modèle et le monde concret, le physicien Pablo Jensen dresse un bilan critique particulièrement intéressant de la tentation modélisatrice qui, à la faveur du développement des big data et des algorithmes, voudrait mettre la société en équations.

              De plus en plus d’économiste remettent en question ce paradigme qui a atteint l’apogée de la rationalité instrumentale avec l’hypothèse d’ergodicité, les économistes sont entrain de redécouvrir que l’humain est plus complexe que l’ abstrait homo-économicus et que l’économie pour être pertinente doit introduire des aspects d’autres disciplines tel que les neurosciences , la sociologie , la philosophie , la psychologie , l’anthropologie etc , une tendance qui est déjà reflétée par l’attribution de trois prix Nobel d’économie liés au comportementalisme.



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