Rebsamen : le racisme anti-blancs "n’est pas celui qui me préoccupe le plus"
Le 19 août dernier, à Dijon, un jeune homme était la victime d’un véritable lynchage aux cris de "On casse du blanc". L’indifférence des diverses associations dites anti-racistes, ainsi que des responsables politiques, fut complète. Des militants du Bloc identitaire viennent d’intervenir sur ce sujet au Conseil municipal, mais le maire, François Rebsamen, les fit taire, ordonna aux policiers présents de les faire sortir de la salle, et déclara, parlant du racisme anti-blancs : "Ce n’est pas celui qui me préoccupe le plus."
Un petit rappel des faits :
L’agression, relatée par le Bien Public, s’est déroulée le 19 août, en plein centre ville de Dijon. Le jeune homme, de type européen (c’est le Bien Public qui souligne ce point) marchait en compagnie de deux copains, l’un d’origine maghrébine et l’autre d’origine africaine. C’est à nouveau le Bien Public qui souligne : "Ces précisions sont à prendre en compte dans le déroulé de cette affaire." Le journal poursuit :
"Tout à coup, un individu interpelle Paulo et lui demande si c’est lui qui vient de « rayer sa voiture », il lui porte simultanément un coup violent qui fait chuter le jeune homme. S’en suit une pluie de coups de pieds à la tête et dans le dos. Atterrés, les deux amis de la victime tentent de s’interposer, mais en vain. L’agresseur est plus âgé, plus fort et sans doute mieux « entraîné ». Le jeune homme parvient à se relever et à se sauver avec ses copains en direction de la rue du Bourg, mais ils sont suivis par le voyou qui a, entre-temps, appelé du renfort. Arrivé place François-Rude, le jeune Dijonnais est rattrapé et passé de nouveau à tabac. Cette fois, l’homme n’est plus seul. Son frère et tout un groupe d’individus majeurs lui prêtent main-forte (plus d’une vingtaine, selon la victime). L’adolescent reçoit plusieurs coups de pied. Dont, un, dans l’œil. Il entend également la phrase suivante : « On casse du cblan (blanc) ! » Ses amis n’ont, effectivement, pas été pris à partie par la bande."
Ce véritable lynchage rencontre une indifférence absolue, tant dans la presse mainstream (autre que le Bien Public) qu’au niveau des politiques et des associations.
Une enquête judiciaire est en cours (quand même !), donc, laissons la se dérouler sans commentaires : telle est la seule réponse que le Bloc Identitaire a obtenu indirectement du cabinet du maire par l’intermédiaire d’une supposée antenne de lutte contre le racisme.
Bien décidés à ne pas accepter une telle indifférence, les Identitaires ont d’abord organisé un spectaculaire "die-in" dans les rues de Dijon
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Le 29 septembre, ils se sont invités au Conseil municipal et ont pu filmer le bel aveu d’indifférence de la part de François Rebsamen.
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