Le point sur l’Institut des cultures d’islam à Paris XVIII ème

Le projet de construction de l’ICI fait suite aux scandaleuses prières de rues, dénoncées depuis des années, en premier lieu par Riposte Laïque, et dont la Mairie de Paris a nié effrontément l’existence avant que des dizaines de vidéos de Maxime Lépante aient suffisamment circulé pour que le mensonge ne soit plus possible.

Les lecteurs d’Agoravox TV connaissent ce sujet.

Nous leur avions déjà proposé une vidéo montrant comment se comportent certains des "fidèles" auxquels le contribuable parisien offrira si généreusement un lieu de culte :

http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/appels-a-la-haine-en-plein-paris-31819

Cétait le vendredi 16 septembre, premier jour d’interdiction supposée des prières de rue. Il était demandé aux "fidèles" de rejoindre un local provisoire également offert par le contribuable, mais celui-ci n’était pas à leur complète convenance.

La vidéo nous montrait une manifestation vociférante :

""On va tout péter ...ya que ça à faire ... on respecte pas nos soeurs, on bute nos frères, on les assassine ... on va prendre les armes ...on est des lâches, on est des fiottes, on devrait prendre appui sur les jeunes ça va pêter ... j’en rêve on vit sous Papon ... on va prendre les armes bientôt ... bande de porcs !"

Puis, nous leur avions proposé une vidéo montrant Bertrand Delanoé interpellé par l’UDCC lors d’une réunion publique le 3 novembre à la mairie du XVIII ème :

http://www.agoravox.tv/actualites/religions/article/delanoe-interpelle-sur-le-32373

Comme le lecteur l’aura constaté à la lecture de la vidéo, l’UDCC, lors de cette réunion, n’a pas obtenu de réponse aux questions posées.

Qu’à cela ne tienne ! Elle est persévérante. Donc, elle revient à la charge. Cette fois-ci, c’est à la mairie du XIII ème :

Une question encore plus précise est aussi posée à M. Delanoé : il lui est rappelé que les associations bénéficiaires du projet n’ont pas le premier million de leur financement, si bien qu’au final il est à craindre que ce soit le contribuable qui paie.

L’UDCC a rencontré et filmé les responsables musulmans, qui témoignent n’avoir pas l’argent et en profitent pour se plaindre de n’avoir pas de financement de l’Etat "sous le prétexte" (sic) que la loi de 1905 l’interdit.

Devant les questions gênantes, Delanoé et la salle font taire et calomnient ceux qui les interpellent : extrème droite extrème droite extrème droite...

Alain Wagner, de l’UDCC, indique quelle sera la suite : tant qu’elle n’aura pas de réponse à ses questions, l’UDCC continuera à intervenir et à interpeller les élus.

En prime, on verra une petite séquence un peu mouvementée dans laquelle le personnel de la mairie interdit de force au caméraman de l’UDCC de filmer.

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