Le médecin n’a aucune raison de séparer la médecine
conventionnelle de celle naturelle : les deux lui sont utiles si son souci
est de toujours chercher un traitement qui agit au mieux et aux plus faibles
effets secondaires possibles. S’il a un mur construit dans sa tête qui les
sépare, la raison vient d’ailleurs.
A mon premier voyage au Inde, sur les hauteurs au
Kérala, le proprio d’un guest house m’a fait le tour de son jardin familial bien
fourni. Il m’a montré les plantes et productions nourricières, les plantes
condimentaires, pour les saveurs mais aussi le "strong body" et les
plantes médicinales. Le soir, j’avais dit ne pas vouloir de riz, car je
constipais et j’avais dit que mon mal de crâne que je trainais avait repris
avec le changement d’altitude. Au diner,
j’ai reçu une tisane pour le mal de tête et des herbes dans l’assiette du repas
pour la digestion, complètement efficaces l’un et l’autre. Non seulement, ça m’avait pété et miettes le
mur que j’avais dans la tête, séparant "s’alimenter" et "se
soigner", mais surtout, j’avais découvert que j’ignorais avoir ce mur.
Après, c’est sûr, il y a un problème : ça fait plus de
15 ans que je n’ai pas consulté de médecin. La pensée libératrice m’a libéré
aussi une capacité étonnante et fluide à apprendre à se connaître, ses vulnérabilités, ses appuis, comment débarrasser ses problèmes chroniques, trouver ses trainements ...
Saloperies de Bakès et de toute cette clique criminelle, maintenant
intriquée nationale et mondialiste.