20 mai 2021 - IHU Méditerranée-Infection - Pr. Michel Drancourt : Western blot COVID-19

Mao a oublié de vulgarisé la vidéo. J’avoue avoir compris entre 1/4 et 1/3 de ce qui est dit.

Si on vaccine par rapport à une caractéristique principale du virus, il est normal que l’on ne retrouve pas d’autres anticorps d’une personne ayant eu la maladie.

Le vaccin c’est montrer une photo du virus au système immunitaire pour qu’il l’ai en mémoire.

Peut être que la photo du visage suffit et que l’on peut se passer de la photo du pied ou des fesses.

A Manaus au Brésil lors de la première bouffée épidémique, le choix a été fait de viser l’immunité de groupe. Avec 70% de la population ils y sont arrivé mais il ont dû ouvrir un second cimetière.

En ce moment il se reprennent une deuxième bouffée avec le variant brésilien qui est justement parti de Manaus, quid de l’immunité de groupe ?

Il y a des anticorps vu que l’on a atteint l’immunité de groupe la première fois. Mais ces anticorps ne permettent pas de lutter contre le variant d’une façon efficace.

Une partie de la vidéo c’est la comparaison des antigènes des personnes qui ont eu la maladie aux antigènes de personnes ayant reçu le vaccin.

C’est un peu comparer un système qui fonctionne mal à un second système pour justifier de la validité du second système.

Le Quatar qui a la malchance de se payer la plupart des variants a sorti une étude sur l’efficacité du Pfizer :

https://www.google.com/amp/s/www.futura-sciences.com/alternative/amp/actualite/85471/

A priori ça tient le choc face au variant.