Eric Clapton et AstraZeneca : le coup de blues

Ce qui est terrible c’est que, comme Clapton, nous sommes très nombreux à faire face à des réactions de désapprobation, parfois et souvent même moralisatrices, parfois méprisantes (nous serions des irresponsables, des égoïstes...) et parfois mêmes violentes d’autant plus que des ordures télévisuelles se sont lâchées (le crétin Lechypre, le french doctor de mes deux, etc). Ce discours hystérique est le fruit d’un an et demi de matraquage, de communication par la peur, d’incohérence totale dans les décisions (surtout en Fr mais nous ne sommes pas les seuls), de flicage, de restrictions des libertés fondamentales, bref, d’hystérie.

"Il y a beaucoup trop de maladies dans nos têtes"... Voilà qui est tristement vrai. Bcp de gens sont malades mais pas du virus. Ils ont peur de la peur. Pour les télé-morphales que sont souvent les vieux (mais pas seulement...), les informations s’empilent et plus ils en prennent sur la goule, moins ils bitent quoi que ce soit à la situation et plus ils sont prêts à tout accepter, y compris d’aller traquer les non-vaccinés et les foutre dans des camps. Si on leur disait de se couper un doigt de pied pour que tout s’arrête, un nombre affolant de gens le feraient.

Alors évidemment, dès qu’une personne sort du bois, socialement c’est forcément compliqué et ceux qui gardent le silence ont les yeux qui traduisent souvent le fond de leur pensée tant est si bien que bcp de non-vaccinés ou simples sceptiques préfèrent ne rien dire, ne serait-ce que pour avoir la paix.