Nina Roberts Vs Clara Morgane : "Le viol ce n’est pas du sexe, c’est un crime"

Popu,horrible personnage.qui plus est homophobe. La liberté sexuelle n’est en aucun cas responsable du viol,ni les tatouages,ni les percing.

Vous nous parlez de "reele vertu",comme celle des moines pederastre,curées pedophile et autre none devergondée.

Ou tout ces pédophile,plein de vertu que personne n’a vue venir.

Vous etes un violeur en puissance parceque vous estimez que le viol se jsutifie par la conduite de la femme.

Chien !!!

@Paradisial.

Salut,

Heureux de constater que certains ne sont pas dupes de pareille "comédie humaine" ! D’ailleurs, mon petit doigt me dit que ladite société du spectacle debordienne s’essouffle jour après jour. Ouf, sa fin n’est pas loin ! En attendant, on pourra toujours rire face à ses dernières manifestations promises à un délire grandissant, sauf à ne disparaître sur l’heure !

@Mr.K.

Otez vos doigts de la prise, vous allez faire péter les plombs, très cher !

A tous les tartufes défenseurs d’une pseudo révolution sexuelle qui confond ardemment sexe et exhibition, érotisme et perversion, beauté du secret et étalage du vulgaire... rendez-vous chez Brigitte Lahaie -que j’écoute en ce moment... pour rire, bien sûr, et en faisant mon ménage. Oui, car pareille occupation domestique ne réclamant pas de réelle concentration, on peut alors laisser vaquer son esprit à des activités très, mais, ô alors très... secondaires !

@Diapason... et aux autres moins à mon diapason.

Diapason, enfin un peu d’humour ! Constatez avec moi, cher ami, comme ils sont épuisants ces gens repliés dans le camp du Bien tel en un pré carré !... et qu’il est au demeurant si jouissif de les voir se répandre en évidences, poncifs et autres idées reçues.

Ne sont-ils pas con-sternants quand ils entrevoient de la subversion en leurs propos de cul-rés ?

Dès lors, réduits à des arguments étriqués et étouffant sous le poids du ressentiment, nos partisans du Bien refuseront haineusement toute idée s’opposant à ce qui tient lieu pour eux... d’absence cruelle de pensée ! Ce ressentiment, ce désamour qu’ils ont pour la "vraie vie" -acceptant encore l’opposition et le conflit-, ils le défoulent au travers d’une morale de pacotille.

Allez leur expliquer cela, et ils vous accablent sur-le-champ des pires noms d’oiseaux, ces faux gentils mais authentiques tartufes ! Un peu comme le garçon ci-dessus vous qualifiant impunément de « chien galleux » -gare au procès tout de même, à la pendaison même ! Si pareil pacificateur en herbe met deux « l » à galeux, nul doute alors qu’il "se prend pour un aigle" !... ce comique, ainsi muni de ses deux « ailes ».

Bon, alors histoire de faire taire une bonne fois pour toutes ce troupeau de bien pensants, je vais dresser la liste consensuelle de tout ce qu’ils aiment... ce qu’il faut dire donc ! L’exercice sera des plus faciles, l’intelligence n’étant guère mise à contribution...

Nous, Popu, proposons donc que l’on condamne sévèrement ce qui s’en suit :
 les méchants -« Hou, qu’ils sont vilains ! » ;
 les fumeurs -« Infanticides ! Protégeons les femmes enceintes ! » ;
 les buveurs -« Inconscients, vous risquez l’accident de travail ! » ;
 les gros mangeurs -« L’obésité ruine la sécu ! » ;
 les chauffards roulant à 53 kmh en ville -« Tueurs, assassins ! » ;
 les antisionistes -« Antisémites avançant masqués ! » ;
 les anti-Obama -« Bien plus racistes, oui ! » ;
 les anti-Carla Bruni, Noah, Kouchner, Cali, Cohn Bendit, Besancenot, etc. -« Rejoignez le camp du Bien subventionné ! » ;
 les hommes encore virils, toujours poilus et, comble de l’impudeur, puant un peu sous les bras -« Castrons ces porcs ! » ;
 ceux qui pensent que l’homosexualité n’est pas génétique -« Tu seras homo, mon fils ! » ;
 ceux qui n’aiment pas leur travail et ne se donnent pas à 200 % minimum au labeur -« Arbeit macht frei ! » ;
 les vrais anti-libéraux comme les anti-faux rebelles « Où est donc passé mon tee-shirt du Che ? » ;
 les anti-aliments allégés ;
 les contempteurs du foot, de Paris-Plage, de l’Art contemporain...

Bon, je m’arrête là, car la liste est longue... ô, interminable même, le Bien ne connaissant pas de limites.

Pour conclure, un dernier message : « Je vous aime, je vous aime tous, je souffre le martyre de vous aimer ainsi ! Aimez-moi aussi et je vous aimerez d’autant ! Alors, nous nous aimons, c’est entendu ? Bonne journée donc, à vous que j’aime ! ».

Rajout : je remets mon communiqué à la place lui étant normalement dévolue ("put... d’informatique !).

@Diapason... et aux autres moins à mon diapason. Diapason, enfin un peu d’humour ! Constatez avec moi, cher ami, comme ils sont épuisants ces gens repliés dans le camp du Bien tel en un pré carré !... et qu’il est au demeurant si jouissif de les voir se répandre en évidences, poncifs et autres idées reçues.

Ne sont-ils pas con-sternants quand ils entrevoient de la subversion en leurs propos de cul-rés ?

Dès lors, réduits à des arguments étriqués et étouffant sous le poids du ressentiment, nos partisans du Bien refuseront haineusement toute idée s’opposant à ce qui tient lieu pour eux... d’absence cruelle de pensée ! Ce ressentiment, ce désamour qu’ils ont pour la "vraie vie" -acceptant encore l’opposition et le conflit-, ils le défoulent au travers d’une morale de pacotille.

Allez leur expliquer cela, et ils vous accablent sur-le-champ des pires noms d’oiseaux, ces faux gentils mais authentiques tartufes ! Un peu comme le garçon ci-dessus vous qualifiant impunément de « chien galleux » -gare au procès tout de même, à la pendaison même ! Si pareil pacificateur en herbe met deux « l » à galeux, nul doute alors qu’il "se prend pour un aigle" !... ce comique, ainsi muni de ses deux « ailes ».

Bon, alors histoire de faire taire une bonne fois pour toutes ce troupeau de bien pensants, je vais dresser la liste consensuelle de tout ce qu’ils aiment... ce qu’il faut dire donc ! L’exercice sera des plus faciles, l’intelligence n’étant guère mise à contribution...

Nous, Popu, proposons donc que l’on condamne sévèrement ce qui s’en suit : les méchants -« Hou, qu’ils sont vilains ! » ; les fumeurs -« Infanticides ! Protégeons les femmes enceintes ! » ; les buveurs -« Inconscients, vous risquez l’accident de travail ! » ; les gros mangeurs -« L’obésité ruine la sécu ! » ; les chauffards roulant à 53 kmh en ville -« Tueurs, assassins ! » ; les antisionistes -« Antisémites avançant masqués ! » ; les anti-Obama -« Bien plus racistes, oui ! » ; les anti-Carla Bruni, Noah, Kouchner, Cali, Cohn Bendit, Besancenot, etc. -« Rejoignez le camp du Bien subventionné ! » ; les hommes encore virils, toujours poilus et, comble de l’impudeur, puant un peu sous les bras -« Castrons ces porcs ! » ; ceux qui pensent que l’homosexualité n’est pas génétique -« Tu seras homo, mon fils ! » ; ceux qui n’aiment pas leur travail et ne se donnent pas à 200 % minimum au labeur -« Arbeit macht frei ! » ; les vrais anti-libéraux comme les anti-faux rebelles « Où est donc passé mon tee-shirt du Che ? » ; les anti-aliments allégés ; les contempteurs du foot, de Paris-Plage, de l’Art contemporain...

Bon, je m’arrête là, car la liste est longue... ô, interminable même, le Bien ne connaissant pas de limites.

Pour conclure, un dernier message : « Je vous aime, je vous aime tous, je souffre le martyre de vous aimer ainsi ! Aimez-moi aussi et je vous aimerez d’autant ! Alors, nous nous aimons, c’est entendu ? Bonne journée donc, à vous que j’aime ! ».

Bon, ça marche pas... "put... de put... d’informatique !" Normalement, il aurait dû se mettre après celui de ce cher "Diapason" !

@Jessica,

Ton inspiration ne t’empêche guère de faire faute sur faute en un texte pourtant bien dépouillé où le peu de fond le dispute ardemment au manque de forme. C’est vrai, le tatouage comme les piercings n’ont jamais contribué à faire du quidam... un lettré.

Plus d’humilité donc, et moins de délire, tel serait le rémède que je m’empresse de te soumettre et qui sera sûrement plus efficace que tes "ah, ah, ah !" un tantinet hystériques.