toutes les idéologies sont mues par le ressentiment.
Le féminisme n’y échappe pas, vouloir distinguer le bon féminisme du mauvais féminisme est aussi contreproductif que de souhaiter distinguer le bon gauchisme du mauvais gauchisme.
rajouter des adjectifs derrière une idéologie revient juste à masquer la nocivité intrinsèque de celle ci.
distraire, mettre des paillettes dans les yeux des veaux pour qu’ils restent des veaux, flatter leur débilité intrinsèque pour les maintenir à l’état de débiles, effleurer chaque sujet en surface pour les enchainer comme des perles les plus futiles qui soient, n’apporter aucune profondeur, aucune analyse ni prospective à aucun sujet …
c’est le reproche qu’on peut faire à toute la caste quelle soit de gauche ou de droite, dont la fonction semble plus de tenir le peuple à sa place (et ce en fonction de ses orientations idéologiques personnelles) que de l’émanciper.
Le talent c’est d’arriver à vendre 12 x plus cher un produit que l’on peut trouver ailleurs, la médiocrité c’est de le dénoncer sous couvert de l’indignation habituelle de la petite gauchiasse qui jouera toujours son rôle de collabo de l’oligarchie le temps venu.