c’est comme cela depuis un bail et ce bien avant l’arrivé de macron au pouvoir.
Macron n’a en effet pas mis en place la moraline gaucho républicaine, par contre au bout de 40 ans un certain ras le bol général se fait sentir et s’exprime.
le plus important c’est les 1eres secondes, celles qui déterminent la manière dont on considère son public,
cette intro dit clairement : "je m’adresse au gauchiste mal dans sa peau qui se sent obliger de parler "racaille" pour se donner l’impression d’être cool, djeuns et pas raciste car c’est le mal absolu le racisme quand même"
je laisse donc ce youtubeur à son public qui semble errer dans la culpabilité post coloniale du SJW aliéné qui porte la misère du monde en étant né en 1980 et se veut de tous les combats et surtout ceux qui ne sont pas les siens.
N’y voyons surtout pas l’hysterie d’un feminisme misandre post meetoo qui saccage toutes les grosses franchises hollywoodiennes tout en cumulant les flops monstrueux
mettre tout sur le dos d’arnold est juste capillotracté,
on flingue le hero dès le depart (un male blanc hetero cisgenre) et on transforme monsieur muscle en nounou gateau, à l’héroine initiale on ajoute une autre heroine, juste histoire de matraquer un « girls power « pour mettre en avant un archétype finalement assez rare, celui du garçon manqué qui flatte surtout la composante L des mouvements LGBTxyz
c’est tellement évident ce « man washing » généralisé à hollywood, que seul la puissance (et la crainte qu’il inspire, au point que les critiques eux même font semblant d’ignorer ce qui est plus qu’évident) d’un lobby féministe/ lgbt peut justifier à lui seul cette volonté répétée d’empiler les flops juste pour satisfaire aux codes moraux d’une idéologie de déjantés,
c’est d’autant plus perceptible que sur cette franchise le personnage de sarah connor suffit en lui même en tant que personnage féminin de 1ere importance sans avoir besoin d’en rajouter,
ça devient aussi risible qu’une serie netflix avec sur 10 personnages récurrents au minimum 6 d’entre eux qui sont des archétypes répondant aux stereotype ultra caricaturaux des mouvements feministo-lgbt,
mouvements qui doivent peiner à représenter (en superposant un peu tout et n’importe quoi) à peine plus de 5 % de la population du monde réel mais qui imposent ses lubies aux 95 % restants qui globalement n’en ont juste rien à foutre et ne viennent pas voir un film pour subir un discours idéologique à peine masqué mais se divertir.
Si vous cherchez la raison du flop il est juste là, hollywood ne se parle plus qu’à elle même et se contrefout de son public, à la générosité d’un artiste qui offre à son public une oeuvre léchée et attrayante, on a substitué le discours narcissique des égocentriques mus par leur seules idéologies et dépourvus du moindre talent.