"Aujourd’hui, Mike Pence, vice-président des Etats-Unis, continue d’affirmer publiquement qu’il croit que Dieu a créé les hommes et le monde."
bah c’est une croyance et il faut vraiment souffrir d’un complexe de supériorité pour lui opposer une autre croyance. D’autant plus quand on voit l’argument de néo évolutionnistes, qui se permettent tous les écarts de langage et une réécriture de la théorie de Darwin lui même pour continuer de lui apporter une substance qu’elle n’a plus depuis les découvertes réalisées en génétique.
"Jean-Baptiste André, chercheur au CNRS, à l’Institut de l’évolution, et au département d’études cognitives de l’ENS (Institut Jean Nicod), explique pourquoi la théorie de l’évolution n’est pas une simple hypothèse et est l’une des théories scientifiques les plus solides. Il démontre aussi que cette évolution darwinienne se poursuit aujourd’hui. Par exemple, la résistance des organismes humains aux antibiotiques est la preuve de l’adaptation donc de l’évolution incessante de l’homme. "
les démonstrations en fait cela n’existe qu’en mathématiques fondamentales, pour les autres champs de compétences les mathématiciens parlent de simulations de démonstration.
cette bataille entre grenouilles de bénitiers adeptes du créationnisme et lucifériens cassos bouffeurs de curés est grotesque.
et entre les 2 il est difficile de savoir lequel est le plus nuisible.
Vous êtes bien mignonne avec vos inversions accusatoires et votre complexe de supériorité morale, en si peu de phrases vous arrivez à :
1) souligner la médiocrité de vos capacités de déduction.
2) appuyer mes propos en vous comportant exactement comme les nuisibles préalablement décrit.
3) confirmer le caractère sectaire de la FI tout en validant vous même le rôle de gourou de Melenchon au sein de son parti à l’égard de ses adorateurs / militants si (in)soumis.
4) vous trouver des ennemis imaginaires.
Et enfin
5) vous cracher toute seule à la gueule en vous privant de votre propre personnalité pour lui préférer le stéréotype ultra prévisible, histrionique et caricaturale de la militante politique aussi enragée qu’inapte à l’auto critique et donc à la remise en question.