A part une avalanches de vannes, je ne vois personne essayer de contester le discours de Friedmann. C’est bien de le traiter de salaud et tutti quanti, mais concrètement personne n’essaie de le contredire sur un plan économique et factuel ; beaucoup parlent de philosophie ou d’iedologie là où il y a une théorie. On confond allègrement liberalisme, budgetarisme, monetarisme.
En quoi la libre entreprise est-elle meprisable ? Friedmann ne dit pas que pour être libre il faut supprimer la police.