aldemanus

Pour ma part je reverrai ces deux personnages dos à dos. Robert Ménard et Edwy Plenel ne sont pas des modèles à suivre. Ils font parti de ces personnes qui ont des tribunes permanentes dans les médias alors qu’ils trainent l’un et l’autre des casseroles qui pèsent lourd. Ils ont contribué l’un et l’autre au naufrage de la presse française. Plenel à largement contribué (et c’est un euphémisme) au naufrage du journal Le monde durant les années 90 et le début des années 2000. Il essaye de se racheter une virginité avec son site médiapart. Très bien, que ceux qui sont amnésiques, où mal informés, le suivent.
Quand à Ménard ses indignations séléctives qui dure depuis des années sont fatiguantes. Il a dirigé Reporter sans Frontières qui sous sa direction à "défendu" la presse de façon très sélective distribuant bons et mauvais points au grès des intérets que défend cet organisme dans lequel personellement je n’ai aucune confiance.
Accorder du crédit à ces deux personnages en écoutant ce qu’ils ont à dire c’est encore leur faire trop d’honneur.

Moi je trouve tout de même curieux qu’on utilise Cuba comme un épouvantail et que le traitement négatif systématique prenne beaucoup de place dans les médias comparativement à d’autres sans que les dénonciateur s’en offusquent . Je n’ai pas vu grand monde être scandalisé lorsqu’à eu lieu un coup d’état au Honduras par exemple (comme rappelé précédemment) en juin 2009. C’est bizarre ça n’a pas trop intéressé les médias. Des élections parfaitement illégitimes ont été rapidement organisé et soutenus par le gouvernement Américain (une démocratie) sans que ça ne choque personne. Il ne s’agissait surtout pas de réclamer le retour du président légitimement élu, non pensez vous. Alors parler de ce qui ne va pas à Cuba pourquoi pas mais un point de vu complet, fouillé sur cette île des Caraïbes je pense qu’on en as (où quasiment) pas vu. Alors après on peut toujours répéter les mêmes poncifs sans se poser la question de l’origine et la partialité des informations que l’on reçoit qui par effet cumulatif deviennent des idées reçu que l’on ne met plus en doute.

Marechal Davout ferait bien d’apprendre à se relire avant de conseiller aux autres de le relire suggérant qu’ils l’ont mal compris. Après la façon de poser des alternatives simplistes et binaires et que si on entre pas dans sa grille de lecture c’est qu’on a rien compris montre sont manque d’ouverture aux arguments des autres.

Oui mais je ne vois pas pourquoi attendre d’eux une position de leader dans l’action ou la mise en place de politique. Il suffit d’utiliser leurs travaux et interventions.