Je n’ai à ce jour jamais connu le goût de la défaite et je ne crois pas un seul instant être sur le point de vaciller face à un adversaire aussi dépourvu qu’un novice frappé de cécité et beuglant en plein milieu de la cour des miracles.
Fais ton lit comme tu te couches et ferme les yeux en rêvant d’être moi.
Les analyses d’AS sont souvent frappées aux quatre coins du bon sens. C’est un exercice dans lequel il s’avère à la fois doué et puissamment déstabilisant.
Je vais me parer de ma tenue de bretteur et t’infliger la pire dérouillée jamais reçue qui marquera de manière irréversible ta destinée. Dans le domaine de la joute verbale, j’occupe une position prépondérante et aussi inexpugnable. Comme tu m’apparais quelque peu sympathique, je vais y aller modérément, m’efforcer de ne pas blesser ton ego et me contenter d’ébranler ta superbe.
Après l’hyperbole dévalorisante tendant à réduire le pouvoir de l’abstention massive, voila que tu te mets au diapason des institutions qui ne sont en réalité que les vitrines d’un pouvoir affaibli et blessé dans son orgueil. Peu importe les considérations attachées par les institutions vérolées au principe du vote dit citoyen et démocratique, l’essentiel étant de se placer du point de vue du vrai et du bien et de frapper les esprits en délaissant les urnes de la déraison. Je lirai ton lien un peu plus tard, amigo. Bise.
C’eût été une manière détournée de siffler mon bon et inestimable valet sans avoir à lui intimer l’ordre de me corriger. En attendant, le béotien remercie son serviable benêt