@Qirotatif "et tout le monde s’accorde sur ses débuts à peu de choses près : Black Sabbath. ACDC n’est clairement pas un groupe de heavy par exemple, même si ce que tu dis sur la rébellion ado est juste : Angus Young a, toute sa carrière était habillé en écolier."
Heavy metal is a violent, head-bashing music complete, in its live performances, with its own arena of rage and celebration, the mosh pit. It is a music in the red corner of society, loud, angry, and, to a well-tuned ear, practically intolerable. And yet, the art form radiates a message about American adolescents well worth examining and comprehending : Its devotees, primarily adolescent boys, are alienated from their world and angry about its future. Heavy metal speaks throbbingly the message of rage, loneliness, and cynicism.In this sensitive book, Jeffrey Jensen Arnett synthesizes the stories and experiences of seventy male and thirty-eight female “metalheads” in a successful attempt to understand the often crippling results of a society and an image of the nuclear family steeped in conformity, self-denial, and obedience. The vacuum such an atmosphere creates in the individual can be temporarily obliterated by a heavy metal concert, which Arnett sees as a substitute manhood ritual. https://www.amazon.com/Metalheads-Heavy-Metal-Adolescent-Alienation/dp/0813328136
@zevengeur "En effet, je vous recommande ce livre qui analyse les causes de la gabegie qu’est devenue l’école dans notre pays."
Ah oui, je me souviens avoir déjà entendu l’auteur à plusieurs reprises. Et ceci me confirme la bonne impression qu’il m’avait donnée sur le moment : "Philippe Meirieu considère Jean-Paul Brighelli comme « un rétro-penseur » aux « lubies réactionnaires » et l’accuse de « généraliser des exemples pour étayer un livre, [La fabrique du Crétin], dont le titre est insultant pour les enseignants ». (Wiki) Quelqu’un qu’on accuse d’être réactionnaire à notre époque est forcément intéressant.
@zevengeur L’article est au premier degré donc c’est bien la fameuse vieille lune des cathos (ou protestants d’ailleurs) qui voient le diable partout. Pour autant, certains des faits énoncés sont justes en ce qui concerne les symboles occultes dont le rock s’est délibérément entouré par provocation et pour faire rupture par rapport aux conventions sociales de l’époque. Cette vieille lune contient donc quelque chose d’intéressant tout de même, et ceci nous renvoie à ce que je dis plus haut à propos de la dimension adolescente au sens initiatique (ou éventuellement contre-initiatique) du rock en général et plus spécialement du rock ténébreux.