Melenchon, par l’intermédiaire de son webmestre, à la censure prompte sur son blogue, sans que vos propos soient injurieux, insultants, diffamatoires, calomniateurs, etc.
Au soir de son débat avec M. Le Pen j’ai posté un commentaire "négatif à finalité positive", autrement dit critique constructif. S’en était déjà trop pour le webmestre !
Dans ces conditions, mon intérêt pour l’engagement de Mélenchon a pris du plomb dans l’aile. Je ne peux plus croire à la sincérité de cette équipe qui construit son image en gommant ce qui dérange !
Précision : j’ai demandé à plusieurs reprises une explication ; en vain ! Pas une once de considération pour le citoyen qui ne gobe pas inconditionnellement la bonne parole !
Motif invoqué par le webmestre ultérieurement : pas le temps ! Dans ce cas faut pas tenir de blogue si c’est juste pour faire la claque ! Ou faut le dire dans la charte !
Signé : un (ex-)sympathisant du PG qui a retiré sa signature de l’appel à soutenir la candidature de JLM !
Demorand prétend avoir une haute idée de la confraternité, malheureusement trop souvent déçue. Voyons voir : "il a eu cette charmante attitude que j’ai bien connue en Argentine, qui consiste à regarder ailleurs pendant que les gens disparaissent. Les jeunes talents qui regardent ailleurs vont loin mais ils vont vides" Miguel Benasayag parlant de Demorand après qu’il a été viré de France Culture en 2004 !
Cette affaire en fait remonter une autre à la surface. En mars 2004, Miguel Benasayag, chroniqueur dans « Les Matins de France Culture », animés à l’époque par Nicolas Demorand, est renvoyé car sa chronique est jugée « trop engagée, trop militante » [2].
Le lendemain de l’éviction du chroniqueur, Nicolas Demorand fait preuve d’un courage… incertain : « ces élections font bouger les rendez-vous habituels, pas de chronique de Miguel Benasayag », annonce-t-il, avant de « préciser » le jour suivant : « Un mot à l’attention des auditeurs qui se sont étonnés par mail de ne plus trouver Miguel Benasayag dans l’émission, qu’ils se rassurent, dès lundi 8h35, nous aurons la joie d’accueillir dans l’équipe un autre chroniqueur pour donner un nouveau souffle à ce courant de pensée. » Pour plus d’explications, il faudra repasser… [3]
… Ou demander à Miguel Benasayag, qui est revenu sur le comportement peu glorieux du jeune animateur, la semaine suivante : « Nicolas Demorand, le jour où je me suis fait virer, comme un petit Judas de sous-préfecture, m’a fait la bise et m’a dit :"Va à ton rendez-vous avec Laure [Adler, directrice de France Culture]. Il n’y a aucun problème ma poule, nous restons groupés." J’ignorais pourquoi on devait rester groupés, je ne savais pas que j’allais me faire virer ; et après il a eu cette charmante attitude que j’ai bien connue en Argentine, qui consiste à regarder ailleurs pendant que les gens disparaissent. Les jeunes talents qui regardent ailleurs vont loin mais ils vont vides »