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Emile Mourey

Ancien officier de carrière d’origine saint-cyrienne, après une carrière courte dont cinq ans en Afrique du Nord, Emile Mourey a quitté l’armée avec le grade de lieutenant-colonel.
Latiniste, intéressé depuis son plus jeune âge par l’Histoire et l’Archéologie, il a retraduit les Commentaires de César ce qui l’a amené, après plus de trente ans de recherche dans les archives, à proposer d’autres localisations pour nos anciennes capitales gauloises.
Il est l’auteur de dix ouvrages dont sept publiés.
Son site internet est n° 66 au hit parade, thème "Histoire et actualité".

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  • 21 votes
    Emile Mourey 6 janvier 2010 12:55

    Peut-être qu’il faudra revenir aux fondamentaux : une bonne révolution paysanne (notamment contre la dictature qu’exerce Monsanto avec son brevet sur les semences génétiquement modifiées) accompagnée d’une bonne révolution culturelle qui fera revenir dans les caisses de l’Etat les conséquents profits des stars et des organisations parasites de la société, du football et autres.

    E. Mourey



  • 0 vote
    Emile Mourey 4 février 2009 22:54

    Humour facile et bête. Rires idiots.



  • 1 vote
    Emile Mourey 2 décembre 2008 11:33

    Je précise : en mal et en bien suivant notre point de vue d’homme. Mais pour la nature, il me semble plutôt que c’est "le foisonnement" qui compte d’où un chaos apparent dans lequel il nous appartient de trouver du sens et peut-être même un sens. Ceci pour répondre à la désespérance de Levi Strauss. L’important, me semble-t-il, est de se placer sur le bon point d’observation, c’est-à-dire de bien poser le problème.



  • 1 vote
    Emile Mourey 1er décembre 2008 17:27

    J’ai regardé vos vidéos avec beaucoup d’intérêt. Je ne sous-estime pas les qualités des personnes qui s’y expriment mais je suis un peu sceptique.

    Ce qui nous intéresse au premier chef n’est pas la pensée sauvage mais celle qui a évolué, c’est-à-dire celle dans laquelle nous sommes. Pour cela, il me semble qu’il est beaucoup plus important de raisonner à partir de ce qu’on trouve au Moyen et au Proche-Orient - vestiges et textes - et ne pas trop se laisser influencer par la pensée sauvage amazonienne, et cela même s’il existe, bien évidemment, des points communs entre ce qu’on pourrait appeler des phylum divergents. Je ne crois pas beaucoup que les thèses chamanistes puissent nous éclairer sur les origines de notre pensée. Je ne crois pas non plus, en ce qui concerne notre phylum, à un type de société primitive tendant au pacifisme par le troc ou l’échange. Plus on remonte dans le temps, plus l’histoire nous révèle une féroce concurrence entre les groupes humains, à l’image de la lutte des espèces animales. En cela, l’homme est bien dans le prolongement de la nature. Et c’est bien l’intelligence qui fait que l’homme et la société ont évolué et évoluent toujours, en mal et en bien. Le problème, c’est l’utilisation que l’homme fait de son intelligence et de sa liberté.

    La conclusion de Levi-Strauss me semble discutable. En effet, on peut raisonnablement supposer que la cybernétique de la nature l’emportera dans ses lois pérennes de régulation et que seules les sociétés les plus aptes survivront, c’est-à-dire les plus intelligentes.



  • 2 votes
    Emile Mourey 19 mars 2008 11:21

    Il n’est pas exact de dire que l’archéologie est plus précise (que les textes) car elle s’appuie sur des faits réels. C’est exactement le contraire. Ce sont les textes qui permettent d’établir l’histoire du peuple d’Israël car l’archéologie ne peut s’appuyer que sur des interprétations de vestiges d’événements rapportés par les textes.

    Parler de révolution archéologique est également inexact. Les archéologues bibliques ont toujours tenu compte des fouilles archéologiques pour essayer de mieux comprendre l’histoire de ce peuple.

    En se basant sur une interprétation de fouilles archéologiques, la nouvelle archéologie dite scientifique minimise et l’importance de Jérusalem et l’importance du règne de Salomon alors que les textes disent le contraire. De deux choses l’une : ou bien les textes sont faux ou bien ce sont les interprétations archéologiques qui sont erronées. Ma réponse, que je peux argumenter par ailleurs, est que les interprétations archéologiques sont erronées.

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