ETTORE

Je me demande, quand même....

L’ombre d’un individu seras toujours ...noire !

Qu’il soit blanc ou, autre pastélisé !

Alors à quoi bon nous emmerder avec autre chose, puisque cette noirceur, certains, et quelles que soient leurs couleus,

Il l’ont intérieurement,ou pas !

Et, de toute façon, le noir qui leur colle aux basques, ne seras aucunement révélateur de son état d’âme.

Tout au plus, pouvons nous voir certains " racisants" vouloir se débarrasser de cette ombre trop obscure, en sautant sur place, en criant " moi, moi,moi ", mais la jonction se rétablit inexorablement.

Elle n’est pas loin de la vérité avec son patronyme ! C’est bien vrai !

MONCON d’AUJOURD’HUI !

Ces "VERTueux" nés dans des choux( gras) et qui ont maintenant, honte de leur vie passée, ( et encore, va savoir combien de fois, elle s’envoie en l’air, ail-ée, ses CONdisciples visages ver(s)t à compost ),se vengent sur les générations futures, les castrant de toutes velléités civilisationnelle, sous prétexte qu’ils ont décidé de bouffer les pissenlits par la racine, histoire de se purger de leurs excès passés et présents.

La sommité de" la crassitude " repeinte en VERT fluo, pour faire bien, et légitimer son obsession de " pousse verte " qui veut prendre racine à tout prix, quel que soit le lieu ou le terrain.

Mais commencez donc par aller faire pénitence, avec des pois chiches durs, sous vos genoux, au lieu de nous les briser !

Mac Rond, feras un CON-finement de trop, tôt ou tard !

C’est le genre à rajouter du sel sur les plaies.

Des plaies qu’il se complait à générer, car les lamentations, sont si douces à son oreille.

Ce sentiment de puissance par le mal, quelle exaltation de gigantisme, quelle musique ravageuse, envoutante, qu’il joue à orchestrer de ses petites pognes, baguées et rabougries aux ongles sales ....

Là un vieil alto, qui agonise, là une bassesse, qui s’engorge en trombose, plus à sa droite, un quartet alité souffle à perdre haleine....

Ahhh, la musique des sphères célestes, LUI, Joupy Terre, l’entend là, à fleur de peau,

La baguette « démocratie » entre les dents, qu’il ne peut desserrer, de peur que cette cacophonie ne s’évapore, disparaisse, comme elle était apparue, et que LUI, ne soit plus qu’un lointain écho, sans répétition, un souffleur sans voix, un pied sans son fessier, un pet sans son souffle, ,un mensonge sans sa langue, un virus sans son... laboratoire !

Avec des andouillettes de ce acabit, on comprend mieux qu’ils aient du mal à sortir de l’ombre, malgré la puissance des spot light.

Une question d’absorption d’un certain spectre lumineux sur une certaine base de couleur .

On voit aussi, quand on arrive à pareille créétinitude d’agissements, que l’ombre portée, se dédouble.

Effarant, mais pas étonnant !

Que voulez vous, avec un virus si intelligent, qui s’adapte à merveille aux horaires de travail, n’étant absent que dans certains restaurants huppés, mais ravageur dans les salles de sports, petits commerces, le long des quais, sur les plages,.etc etc..... Si bloquant aux besoins fondamentaux des humains, tout en répondant si vaillamment aux besoins narcissiques d’un Monarc....., 

Nous sommes plus que jamais en droit de demander, qui tient la télécommande ?