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jeanpierrecanot

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  • 1 vote
    jeanpierrecanot 15 février 2014 22:03

    Quand on est incapable de traiter un problème avec des solutions simples qui ont fait leurs preuves, on invente des mots nouveaux, en langue anglaise ou en Globish si possible.

    Voilà donc le CROWDFUNDING ou financement par la populace ! Personne ne s’est aperçu qu’il s’agit de la toute première étape d’un modèle millénaire, déjà connu à Babylone et qui a permis il y a plus de cent ans à notre agriculture de connaître le développement que l’on sait. 

    Mais pour être poli tout le monde s’en fout, et plutôt que d’exiger que les banques jouent correctement leur rôle, ou de remettre à l’honneur le modèle coopératif et mutualiste abandonné même par la plupart de ceux qui en portent encore le nom, on préfère réinventer la toute première étape de ce modèle dont il ne sortira rien tant que l’on ne sera pas capable de la dépasser.

    Le drame est que les échecs répétés de l’Aide Publique au Développement où l’on a englouti  en vain depuis des décennies des sommes énormes, tiennent à ce refus systématique de remettre à l’honneur un modèle sans égal, mais que des inconscients incompétents ont décidé de déclarer ringard.

    « C’est quelque chose qui marche assez bien dans la musique », a rappelé, sans rire, Fleur Pellerin la ministre déléguée chargée des PME qui souhaite faciliter ce type d’ânerie en France.

    Cela doit même marcher plus qu’assez bien dans la musique puisque c’est du pipeau !

    Chacun sait que la musique est avec les activités de pompes funèbres un élément d’avenir de la croissance les deux étant prises en compte dans le PIB alors tant mieux si ça marche assez bien !

    C’est ce genre de gamineries qui nous enfonce de plus en plus dans la crise ! Lamentable !

     



  • 1 vote
    jeanpierrecanot 21 avril 2011 20:59

    IL SERAIT VAIN DE VOULOIR GOUVERNER UN EMPIRE SUR LEQUEL LE SOLEIL NE SE COUCHE JAMAIS !

     

     

    Voilà qu’avec le sommet du G20 a été célébrée la grand-messe de la mondialisation à l’occasion de laquelle devaient être consacrées les lois d’une bonne gouvernance mondiale !

     

    Voilà que cet ineffable Jacques ATTALI veut un gouvernement mondial. Je veux un gouvernement mondial na ! trépigne-t-il.

     

    La mondialisation est devenue un champ de bataille sur lequel s’affrontent tenants et opposants, affligés tous qu’ils sont dans ce domaine – comme dans beaucoup d’autres- du syndrome du thermostat.

    Ils manipulent en effet cet instrument complexe de la mondialisation de la même façon que beaucoup d’entre-nous manipulent le thermostat en n’en reconnaissant que les positions extrêmes.

     

    Les inconditionnels de la mondialisation clament : « Tout et tout de suite ! »,  « Rien et jamais ! » s’insurgent les opposants.

    Les premiers n’ont jamais clairement défini ce qu’ils entendent par cette mondialisation à laquelle s’opposent les seconds.

     

    Il faut bien reconnaître que les premiers entendent que la mondialisation ne soit qu’un processus d’ouverture des économies nationales sur un marché planétaire. L’Homme étant sans importance, le processus doit être instantané quelles qu’en soient les conséquences sociales.

     

    Les seconds s’opposent à la mondialisation dans la mesure où elle n’est pas, avant toute autre chose, cet objectif vers lequel devrait tendre l’humanité d’assurer l’épanouissement de l’Homme par la communication et l’échange entre individus dans le respect des différentes cultures.

     

    L’ineffable concept de développement dit durable est l’outil, parfait utilisé par les premiers pour parvenir à leurs fins, ses composantes sont dans l’ordre des priorités : l’Économie, l’Environnement et le Social

     

    Ne serait-il pas plus raisonnable, ce développement étant qualifié d’autoporteur, que sa seule composante soit le Social, de façon à atteindre le parfait épanouissement de l’Homme, l’Économie n’étant que l’outil pour y parvenir, mis en œuvre dans le respect de l’Environnement ?

     

    Mais ne serait-ce pas la soif de pouvoir de maints de nos gouvernants qui, au travers de cette mondialisation effrénée, leur fait rechercher les secrets d’une gouvernance mondiale qui ne saurait porter que sur l’Économie ?

    N’oublient-ils pas les malheureux dans leur conception uniquement matérialiste de la gouvernance, qu’il sera éternellement vain de vouloir gouverner un empire sur lequel le soleil ne se couche jamais ?

     

    Joseph Staline se prélasse à Sotchi au lever du soleil. Il est un peu surpris, mais pas trop quand même, que l’astre du jour s’adresse humblement à lui.

    « Oh grand Staline sais-tu à quel point je t’admire ? Tu es un homme merveilleux, un grand chef, un petit père adorable pour le peuple qui t’aime tant. Permets que ma modeste lumière éclaire ton merveilleux empire je te promets de ne pas te porter ombrage. ».

    « Mais oui camarade soleil, toutefois ne t’attarde pas trop dans certains recoins où il n’y a rien d’intéressant pour toi, d’ailleurs je te ferai surveiller. ».

     

    Le soir est venu Staline avide de compliments et de flatteries revient se prélasser sur la plage.

    Le soleil ne dit rien, il l’interpelle donc : « Dis donc camarade soleil t’aurait-on coupé la langue que tu ne dis plus rien, ou as-tu oublié de me faire louanges et compliments que je mérite tant ? » « Que non ! mais maintenant mon petit bonhomme je suis passé à l’Ouest ! ».

     

     

    Bergerac le 21 avril 2011

     

    Jean-Pierre Canot



  • vote
    jeanpierrecanot 9 avril 2011 19:41

    IL SERAIT VAIN DE VOULOIR GOUVERNER UN EMPIRE SUR LEQUEL LE SOLEIL NE SE COUCHE JAMAIS !

     

     

    Voilà qu’avec le sommet du G20 a été célébrée la grand-messe de la mondialisation à l’occasion de laquelle devaient être consacrées les lois d’une bonne gouvernance mondiale !

     

    La mondialisation est devenue un champ de bataille sur lequel s’affrontent tenants et opposants, affligés tous qu’ils sont dans ce domaine – comme dans beaucoup d’autres- du syndrome du thermostat.

    Ils manipulent en effet cet instrument complexe de la mondialisation de la même façon que beaucoup d’entre-nous manipulent le thermostat en n’en reconnaissant que les positions extrêmes.

     

    Les inconditionnels de la mondialisation clament : « Tout et tout de suite ! »,  « Rien et jamais ! » s’insurgent les opposants.

    Les premiers n’ont jamais clairement défini ce qu’ils entendent par cette mondialisation à laquelle s’opposent les seconds.

     

    Il faut bien reconnaître que les premiers entendent que la mondialisation ne soit qu’un processus d’ouverture des économies nationales sur un marché planétaire. L’Homme étant sans importance, le processus doit être instantané quelles qu’en soient les conséquences sociales.

     

    Les seconds s’opposent à la mondialisation dans la mesure où elle n’est pas, avant toute autre chose, cet objectif vers lequel devrait tendre l’humanité d’assurer l’épanouissement de l’Homme par la communication et l’échange entre individus dans le respect des différentes cultures.

     

    L’ineffable concept de développement dit durable est l’outil, parfait utilisé par les premiers pour parvenir à leurs fins, ses composantes sont dans l’ordre des priorités : l’Économie, l’Environnement et le Social

     

    Ne serait-il pas plus raisonnable, ce développement étant qualifié d’autoporteur, que sa seule composante soit le Social, de façon à atteindre le parfait épanouissement de l’Homme, l’Économie n’étant que l’outil pour y parvenir, mis en œuvre dans le respect de l’Environnement ?

     

    Mais ne serait-ce pas la soif de pouvoir de maints de nos gouvernants qui, au travers de cette mondialisation effrénée, leur fait rechercher les secrets d’une gouvernance mondiale qui ne saurait porter que sur l’Économie ?

    N’oublient-ils pas les malheureux dans leur conception uniquement matérialiste de la gouvernance, qu’il sera éternellement vain de vouloir gouverner un empire sur lequel le soleil ne se couche jamais ?

     

    Joseph Staline se prélasse à Sotchi au lever du soleil. Il est un peu surpris, mais pas trop quand même, que l’astre du jour s’adresse humblement à lui.

    « Oh grand Staline sais-tu à quel point je t’admire ? Tu es un homme merveilleux, un grand chef, un petit père adorable pour le peuple qui t’aime tant. Permets que ma modeste lumière éclaire ton merveilleux empire je te promets de ne pas te porter ombrage. ».

    « Mais oui camarade soleil, toutefois ne t’attarde pas trop dans certains recoins où il n’y a rien d’intéressant pour toi, d’ailleurs je te ferai surveiller. ».

     

    Le soir est venu Staline avide de compliments et de flatteries revient se prélasser sur la plage.

    Le soleil ne dit rien, il l’interpelle donc : « Dis donc camarade soleil t’aurait-on coupé la langue que tu ne dis plus rien, ou as-tu oublié de me faire louanges et compliments que je mérite tant ? » « Que non ! mais maintenant mon petit bonhomme je suis passé à l’Ouest ! ».

     

     

    Bergerac le 5 novembre 2010

     

    Jean-Pierre Canot



  • 1 vote
    jeanpierrecanot 17 septembre 2010 21:25

    Il y avait eu « Le bordereau », on en fit une affaire d’État.

    Il y a aujourd’hui « La circulaire », on en fait une affaire européenne.

    Dans ces affaires de discrimination, la loi européenne qui empoisonne aujourd’hui l’affaire de la circulaire, eut été bien utile pour, à l’époque, mettre fin à celle du bordereau.

     

    L’auteur de la circulaire s’il doit être sanctionné devrait l’être pour manque de simple bon sens. Il devait bien se douter en effet qu’en désignant les camps de Roms on s’exposait à ce que l’on entendit, et ce fut le cas, le chœur des vierges offusquées crier au scandale et à l’infâme discrimination.

     

    Eut-il simplement écrit « il faut détruire en priorité tous les camps ne répondant pas aux normes de sécurité, notamment sanitaire », que personne ne se fut ému que ceci n’eut concerné que les camps de Roms, puisqu’il n’y en a pas d’autres dans ce cas.

     

    S’il était advenu par contre qu’une grave pandémie se fut répandue à partir de ces campements clandestins, et que les autorités de l’État n’eussent pas pris les mesures voulues au nom du sacro-saint principe de précaution, le même chœur de vierges offusquées, et la très sainte mère Reding en tête n’auraient pas manqué de crier au scandale et au non respect des lois et règles européennes relatives aux droits fondamentaux du citoyen.

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