Et encore mieux : on peut aussi se passer de céréales et légumineuses qui ont un impact négatif non négligeable sur la santé humaine et animales (mal-digestion des sucres complexes ouvrant la porte aux levures et champignons dans les intestins qui dérèglent la production des hormones et neurotransmetteurs tout en favorisant de nombreuses pathologies liées aux dérèglements endocriniens).
Quand on comprends que ce sont les pénuries de céréales qui déclenchent les émeutes, nous pouvons espérer ne plus dépendre des stocks de céréales qui sont le fondements de la naissance du capitalisme au néolithique. Et si l’abandon du capitalisme dépendait de la compréhension de nos véritables besoins alimentaires ?
Conférence passionnante avec beaucoup de conditionnel et d’hypothèses, il avoue à de nombreuses reprises son ignorance, peut-être parce qu’il ne cherche pas au bon endroit ! " Plus de cent millions de neurones dans l’intestin
Au moins 60 % de la sérotonine, l’hormone du bonheur, vient de notre
intestin grêle. La façon dont on traite notre estomac et nos intestins
n’est donc pas sans répercusssions sur notre humeur.
Spécialiste de biologie cellulaire et auteur de The Second Brain (Le
second cerveau), le chercheur américain, Michael D. Gershon, a ainsi
démontré les liens existants entre le cerveau et le ventre. On sait
maintenant que l’intestin contient plus de cent millions de neurones (un
chiffre comparable à ceux de la moelle épinière) et produit au moins 70
% de nos cellules immunitaires. On a aussi découvert que les neurones
du système nerveux entérique, c’est-à-dire intestinal, produisent les
mêmes neurotransmetteurs que le cerveau principal, comme la dopamine,
moteur de nos activités, la sérotonine, pilier de la bonne humeur.
.Selon The American Journal of gastroenterology, la sérotonine, qui
voyagerait de l’intestin jusqu’au cerveau, serait ainsi responsable de
notre bien-être psychologique.
Entre cerveau et ventre la communication est incessante, mais c’est
l’intestin qui parle le plus au cerveau : au moins les deux tiers des
messages véhiculés par le nerf pneumogastrique qui réunit cerveau,
poumons et appareil digestif remontent vers le cerveau.
" Nos deux cerveaux doivent coopérer, écrit le Pr Gershon. Si ce n’est
pas le cas, il y a chaos dans le ventre et misère dans notre tête. " lien
- les dessins dans le magazine ? - L’auteur des dessins ? - la rédaction du magazine ? - Ceux qui montrent ces dessins à des gens qui n’imaginaient même pas que le magazine existait ? - Celui qui regarde le dessin, qui ne s’imaginait même pas que le magazine existait et se sentant offusqué réagit mortellement sous le coup de l’émotion ? - Celui qui fabrique et diffuse les armes ? - Les moyens médiatiques qui permettent la transmission rapide des informations ?
- le responsable de la stratégie du chaos ?
- Le président qui veut remonter dans les sondages ?
Sûrement tous les humains, car si j’explique la situation à mon chien, il va conclure que , définitivement, ils sont fous ces humains et qu’il n’y en a pas un pour rattraper l’autre !