l’étudiant (ce n’est pas péjoratif), n’a qu’une vision business de l’économie. Il se passionne pour des courants de pensées qu’il croit détenir la vérité. C’est enthousiaste, et c’est bien s’il creuse encore et qu’il ne se dirige pas vers la comptatbilité ou l’engenierie financière.
Dans la pensée éconnomique rien est à rejeter, ni le libéralisme, ni le marxisme ni le Keynesianisme. Dans chacune des théories il y a des conneries, mais leur critique et compréhension offrent au citoyen la valeur la plus indispensable : l’humanisme.
Décidemment vous ne voulez pas comprendre... Vos références sont assez étonnantes et contradictoires notamment sur la Monnaie. Mises et Friedman n’avaient pas vraiment le même avis... Et concernant la libre determination des prix et des quantités par le marché vous ne pouvez pas dire que Chicago ou l’école autrichienne ne sont pas les héritiers des néoclassiques même s’ils apportent des nouveautés.
Et alors ? Quelles sont les conclusions de ces sieurs de l’école autrichienne ou de Chicago ? Sont elles foncièrement différentes de celles de leur prédécesseurs ?
- Plus de règlementation ? - Plus d’interventions collectives (Etat providence) ? - Plus d’asymétrie de l’information ? - Moins de mobilité des capitaux et de la force de travail ?