medialter

"Medialter, si un film contient des révélations interdites sur un groupe secret de super méchants, les premiers à les comprendre rapidement seront justement les membres du groupe secret de super méchants. Donc le groupe aura toute latitude pour zigouiller ou punir l’auteur du film d’une manière ou d’une autre, en toute discrétion."

"Je trouve ce système de communication sophistiqué et pervers. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis en ligne droite, clairement. "
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Tu confonds une conversation entre potes et un très haut secret initiatique. Dans ce dernier cas, le système est justifié, on ne donne pas de la confiture aux cochons

D’accord avec Ozi, c’est la même méthode que celle utilisée par les alchimistes. Dans le cas présent, il y a une énorme pression sous le couvercle de la cocote. Essayez de faire une liste de ceux qui se sont fait butés en lachant plus d’infos qu’ils ne devaient, il y en a des dizaines, et il est fort probable que Kubrick en fasse partie, justement pour Eyes wide shut

"Stress post-traumatique, difficulté du retour. L’Agence Info Libre est allée à la rencontre des oubliés du conflit afghan"
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Qu’ils crèvent, lentement, et dans l’indifférence générale. Non mais vous allez pas les plaindre quand même ? Tous ces petits Kapos du grand Satan, fiers de servir le grand OTAN, ce bras armé de Wall Street, sont parmi les pires responsables de la déliquescence et du chaos installé sur la planète. Oui, oui, je sais, c’est pas eux les chefs, c’est pas eux les responsables et bla et bla et bla, mais en attendant ils ont répondu à l’offre d’emploi pour aller faire les femmes de ménage du grand capital avec notre pognon et des primes par ci et des primes par là. Le vrai héros, c’est celui qui préfère crever plutôt que de rentrer là dedans. Et ce que je dis ne s’applique pas qu’à l’armée, loin s’en faut

Oui, c’est très ennuyeux, mais c’est parce que ce n’est pas un film. Pourquoi, en faisant pause sur l’article de journal, on arrive à le lire distinctement ? Pourquoi on y trouve des choses curieuses, comme des répétitions de phrases, chose qu’on ne verrait jamais dans un canard, et chose qu’on ne peut pas voir au premier visionnage ? Kubrick attend qu’on fasse une longue analyse après visionnage, un défilement image par image sur certaines scènes.
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Ce film a été tourné sur une période presque 10 fois plus longue qu’il n’aurait du, certaines scènes ont été répétées plus de 50 fois. Oui, c’est vrai qu’on s’emmerde, mais c’est parce qu’on se fait piéger le regard là où il ne faut pas. C’est dans les détails qu’il faut chercher la solution.
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Pourquoi l’esclave sexuelle reconnaît le docteur malgré son masque, alors qu’elle sort du cercle ? Pourquoi se sacrifie-t-elle ? Pourquoi le patient dit que que la scène de crime est du pain béni pour la police, alors que l’article de journal indique le contraire ? Pourquoi la femme du toubib téléphone au moment où elle allait se faire tromper ? Qu’est-ce qu’il y a sur la place Rockefeller ? Pourquoi on retrouve 2 personnages de la reception mondaine du début, dans le magasin de jouet à la fin ? Pourquoi ça se passe à Noël ?