Phoenix

Le candidat "anti-système" appelant à voter sans concession (? ???), pour un candidat qui est venu rassuré la City de Londre sur la réglementation, en février.
Hilarant.

"s’il modifiait, il se discréditerait, et la Constitution avec lui"
 
Il me semble, que la constitution française, n’a pas attendu Mme Lepen pour être égratignée.
Le traité constitutionnel Européen, est aujourd’hui légalement supérieur au texte le plus important de la république française : la constitution. Je vous rappel au passage que ce texte fondateur était supposé protéger le peuple. Pire, ce traité à été imposé, après un véritable viole de la démocratie. Les plus grands partie de ce pays ne semblent pas s’en émouvoir. Plus de 70% des lois françaises, ne sont que des transpositions provenant de directive Bruxelloise.s Le MESF, ou la dictature bancaire dans toute sa splendeur, avec sa petite sœur "la règle d’or", encore imposée sans l’avis du peuple.
 
Notre appareil politique est gangréné par la corruption et les lobbys.
 
Le quatrième pouvoir, le journalisme, est détenu soit par des marchands d’armes, des banquiers, ou des représentant du grand capital.
 
Je suis toujours stupéfait de la faculté de certain, à évincer les vrais questions.
Comment est-il possible, que dans la Vème république, les parties au pouvoir puissent se targuer d’être les vrais républicains garant de la démocratie, et dans le même temps, s’opposer à des règles démocratique,s telles la proportionnelle, l’anonymat des maires pour les 500 parrainage, les votes par référendum..
Le seul moment où le peuple a encore un peu de pouvoir, on nous explique gentiment , que l’absence un partie représentant 1/5éme des votants est possible, voir souhaitable.
 
Une république à géométrie variable, où face les "grands parties" gagnent, pile ils gagnent aussi. 

Cette vidéo est tout à fait inintéressante, car elle montre le mépris intégrale et sans réserve d’un journaleux, qui n’a même plus besoin de prendre de précaution pour cracher son venin. On sens bien ici le profond respect pour la démocratie, la république, et donc le soucis de l’égalité de traitement pour tous les candidats.
 
M.Aphatie, merci pour cette prestation qui relèvera le niveau calamiteux du débat dans cette couse à la présidence.
 
J’aurais tendance à dire, que nous avons atteins le degré zéro de réflexion et de débat idéologique ; mais malheureusement ils peuvent faire mieux. Ils peuvent, par exemple, interdire d’antenne d’autre "petit candidat" . Où classer un gaulliste comme extrême droite sans qu’il est l’occasion de s’expliquer.

En attendant de vrais débats :
 
Laurence Parisot, qui ne répond à aucun moment aux affirmations de Marine Le Pen, préfère coller l’étiquette, "extrême droite", sur le "front" de ce partie politique. Comme si cette expression, se suffisait à elle même comme argumentation.
 
En ces temps de crises (pour ne pas dire : fin du modèle sociétal occidental), les masques tombent, et les rideaux de fumée qui garantissaient l’impunité des affairistes de tous poils, ce retrouvent à poils. L’impuissance, l’incompétence, et/ou la connivence des divers parties politiques médiatiquement "respectable", révélant aussi, jour après jour, l’état réelle de notre république. Je ne crois pas, Mme Parisot, que dans ce contexte, les expressions incantatoires, ou les allusions au fascisme suffiront à convaincre votre auditoire et évincer les questions de fonds (ou du Front, selon votre aise).
 
Et demain Mme Parisot :
 
Ce n’est pas grave, Mme Parisot, écrira un autre bouquin, que personne ne lira ; où elle pourra à son aise "refaire le match", sans jamais à avoir à se confronter aux réalités du débat démocratique : comme dans les salles de marchés du CAC40 en somme...

Sur le fond, cette affaire ayant été évacuée par la petite porte, intéressons nous à la forme. Trois choses :
- à partir de la 38’’, le son du micro de Barbier est fréquemment baissé, quand Le Guen intervient. Il y a des moments, ou on n’entend même plus ce qu’il dit. Ré-écoutez bien.
- A aucun moment le son n’est baissé pour Le Guen, même quand il se met à brayer
- Le Guen empêche Barbier de s’exprimer distinctement en lui coupant la parole. Et à aucun moment, le journaliste ne permet à barbier de développer ses arguments face à l’agressivité de son interlocuteur > résultat : Barbier abdict.
 
Technique du : "c’est celui qui gueule le plus fort qui a raison".