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    ramana ramana 18 février 2014 13:00

    On devrait mettre au pouvoir uniquement des gens qui n’en veulent pas !



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    ramana ramana 17 février 2014 12:05

    C’est justement parce-que sa perche est en même temps souple et tonique qu’il est dénigré par de mauvais coucheurs.



  • 3 votes
    ramana ramana 13 février 2014 13:28

    Ne pas confondre la religion en tant qu’organisation avec ses dérives humaines de toutes natures, et la conscience profonde et individuelle de l’existence de Dieu. Si la religion est quelquefois génératrice de troubles et de conditionnements, le fait qu’elle entretienne dans la collectivité le rappel incessant à une entité absolue située au dessus de l’homme, contribue à éviter un chaos bien plus grand que celui qu’elle génère ; ceci par l’effet parfaitement explicité dans cette excellente mise au point.



  • 2 votes
    ramana ramana 20 janvier 2014 17:23

    Il y avait de la violence au moyen âge et pourtant les gens mangeaient des fruits = la violence n’a rien à voir avec l’alimentation. Hum !! 
    Mais... Il y avait de la violence au moyen âge et pourtant les gens fendaient le bois à la hache = la non-violence n’a rien à voir avec le défoulement physique ? Humm !!
    Au moyen âge, les gens mangeaient du pain et des fruits et fendaient le bois à la hache, alors il n’y avait pas de violence au moyen âge ?!
    Au secours, je n’y comprends rien, y a t-il quelqu’un qui veuille m’éclairer avant mon repas du soir ?



  • 1 vote
    ramana ramana 17 janvier 2014 13:10

    La démocratie, ce serait le corps tout entier qui se dirigerait lui-même, ventre et cerveau compris, ce qui ne reflète en rien la conformation humaine et la hiérarchie des fonctions, même si chez certains c’est le ventre qui prime sur le cerveau supérieur. Alors, ce n’est en somme qu’une théorie qui, bien que relativement consensuelle, porte en elle ses propres contradictions, et dont la supposée application n’a toujours été (et n’a toujours pu être) que le résultat d’une illusion soutenue par un discours biaisé et manipulatoire. Cette théorie indigente selon laquelle le peuple en son entier pourrait se diriger lui-même nécessite, de par la nature même du discours manipulatoire nécessaire à son entretien, des propagandistes conscients de l’illusion, et des idiots et (ou) carrièristes utiles. Je dirais que tous les individus arrivés à un niveau élevé de pouvoir ne peuvent qu’être des propagandistes conscients compte tenu de leur vision panoptique sur le système et ses aberrations. Ainsi, il va de soi que ces gens de pouvoir n’ont pas une grande spiritualité, puisque leur petite vertu les autorise à tromper leurs semblables pour des motifs méprisables. Questionnez-les en privé, et ils vous diront, bien sûr, que puisque la démocratie est le "moins mauvais système", il reste louable de "cutiver l’opignon" pour la bonne cause ; mais lorsque nous voyons à quel niveau de compromission et de mensonge ils peuvent descendre pour cette bonne cause, on se demande bien quelle sera la fin justifiée par de tels moyens. Et l’on se dit que l’entretien d’un système dont les fondements sont biaisés ne peut qu’appeler à sa tête une fausse élite elle-même biaisée. Et d’ailleurs, le concept de démocratie laisse t-il une place à la notion d’élite ? Je laisse ci-dessous un passage de René Guénon qui s’exprime sur la démocratie :
    « c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre ; il ne faut pas se laisser duper par les mots, et il est contradictoire d’admettre que les hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce que, pour employer le langage aristotélicien, un même être ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présence : il ne pourrait y avoir de gouvernés s’il n’y avait aussi des gouvernants, fussent-ils illégitimes et sans autre droit au pouvoir que celui qu’ils se sont attribués eux-mêmes ; mais la grande habilité des dirigeants dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose qu’on peut très facilement diriger ou modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées, y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé ; nous ne savons plus qui a parlé de « fabriquer l’opinion », et cette expression est tout à fait juste, bien qu’il faille dire, d’ailleurs, que ce ne sont pas toujours les dirigeants apparents qui ont en réalité à leur disposition les moyens nécessaires pour obtenir ce résultat ». La crise du Monde moderne, pp. 88-89.

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