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  • 3 votes
    sergel sergel 4 septembre 2013 15:32

    cs n’est pas de l’énergie, mais de l’efficacité énergétique (rapport entre l’énergie directement utilisée (dite énergie utile) et l’énergie consommée)



  • 24 votes
    sergel sergel 29 août 2013 12:04

    « Le but de ces « scientifiques » de la catastrophe était d’obtenir une liberté économique TOTALE. Et leur terrain d’expérimentation, ils l’ont eu durant les années 70 en participant au coup d’état de Pinochet au Chili ! « La Brique  », le manuel économique chilien mis en application par Pinochet, contenait des passages entiers de l’ouvrage de référence de Friedman et la majorité des économistes dont s’est entouré Pinochet, ainsi qu’une partie de son gouvernement, étaient des élèves de l’université de Chicago (d’où Chicago Boys) où ils avaient étudié l’économie sous la houlette de Friedman lui-même...

    Les règles, appliquées au Chili par Pinochet, sont simple ! Déréglementation totale concernant les entreprises, baisses des investissements sociaux du gouvernement conséquentes, privatisation totale des secteurs sociaux (l’eau, l’énergie, l’éducation, la santé...), abandon de la régulation sur les prix de vente et abandon des lois encadrant les minima salariaux.

    Les résultats de la période d’essai chilienne sont probant ! Applaudis, même, par l’économie mondiale ! En effet, sur 14 ans de test, les revenus des dirigeant ont augmentés, en moyenne, de 84 % ! Quand aux entreprises, elle ont fait des bénéfices alors jamais vus ailleurs. Mais il est intéressant de se concentrer aussi sur les résultats sociaux de cette économie...

    En 14 ans, le chômage, au Chili, a été multiplié par 10 (passant de 3 % à 30 %), le taux d’alphabétisation est passé de 75 % de la population à un peu moins de 96 %, la qualité des soins a vu passer le Chili du 3ème rang mondial d’alors au 27 ème, les rémunérations moyennes ont baissé de plus de moitié, les prix se sont envolés (la nourriture représentait, en 1972, 17 % des dépenses d’un ménage. En 1986, elle représentait 78 % des dépenses et sa qualité avait baissé, les revenus moyens n’ayant même plus les moyens d’acheter du lait). L’état lui-même était au bord de la banqueroute ne devant sa survie qu’à la seule compagnie non encore privatisée, celle des mines, qui apportait 86 % des rentrées d’argent de cet état ! Le Chili tout entier était passé, dans le classement de la qualité de vie, des 15 premiers à la place peu enviable de 117ème (sur 125 référencés...) !

    Voilà les résultats de l’expérimentation chilienne ! Une formidable manne économique accompagnée d’une horreur sociale totale ! »

    http://www.lutopick.fr/blog/index.php/post/2009/02/21/L-exemple-des-Chicago-Boys



  • 12 votes
    sergel sergel 23 août 2013 12:03

    le plein-emploi,

    http://youtu.be/-Nt1njHyPRE?t=20s

    Le marché de l’emploi US : les chiffres sont truqués !

    18% de chômage au lieu de 7%



    grâce entre autres aux bénéfices de l’exploitation du gaz de schiste.

    http://youtu.be/-Nt1njHyPRE?t=3m30s

    Le gaz de schiste vendu aujourd’hui 3$ par million de btu, coûte 8$ à produire : 5$ de pertes !



  • 6 votes
    sergel sergel 10 août 2013 17:58

    "Les japonais ont des méthodes de travail et de gérance des crises autrement plus efficaces qu’ici en France...Le peuple japonais sera très heureux, honoré et fier d’aider Tepco à financer ces travaux "

    Tepco écarté ?

    Attendu qu’il s’agit de la deuxième remontrance officielle vis-à-vis de Tepco et, qui plus est, diffusée par voie de presse, il est très probable que le gouvernement Japonais réfléchit - et a peut-être même déjà décidé - de la mise en retrait de Tepco, tout au moins sur le problème de la gestion de l’eau contaminée mais peut-être beaucoup plus largement, au niveau de la contamination du site en général. Malheureusement, cette dernière situation est arrivée aujourd’hui à un tel point de complexité et de saturation qu’il semble difficile d’entrevoir aujourd’hui la moindre réponse technique à l’insoluble problème de l’eau contaminée.

    Shinji Kinjo, responsable d’un groupe de travail à l’Autorité de régulation nucléaire (NRA) : « les contre-mesures prévues par l’opérateur de la centrale, Tepco, ne sont qu’une solution temporaire et Tepco ne réalise pas que l’heure est grave », "c’est pourquoi nous ne pouvons tout simplement pas laisser cela à Tepco tout seul« ,  »Actuellement, nous avons une situation d’urgence".

    Source : gen4



  • 3 votes
    sergel sergel 26 juillet 2013 17:41

    D’où vient la vapeur vue par intermittence en haut du réacteur n°3 ? TEPCo soutient que c’est l’eau de pluie qui en est à l’origine, quand elle coule sur l’enceinte de confinement qui est chaude. Elle est si chaude ? Son dernier communiqué à ce sujet ressemble plus à du charabia, mais permet de découvrir qu’elle injecte 16 m3/h d’azote pour éviter les explosions hydrogène dans la cuve et l’enceinte de confinement, mais n’en récupère que 13 m3/h. Les 3 m3/h qui fuient entraînerait de l’humidité qui se transforme en vapeur d’eau à la sortie, quand l’air est frais. Cela viendrait s’ajouter à la vapeur d’eau de pluie.
    Bref, l’enceinte de confinement et peut-être la cuve fuient, à raison de 3 m3/h au moins. Cette fuite doit être radioactive ! Mais TEPCo dit que l’impact sur l’environnement est faible. C’est donc qu’il y a un impact.
    source acro.eu ;org

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