Titre débile qui met Raoult dans la position d’un élève turbulent qui se fait "recadrer" par le professeur ARS. Parce que le professeur ARS, il sait lui et Raoult en pleine crise de puberté, c’est juste un rebelle aux cheveux longs ...
Alors, entre autre, ça sert à "moderniser et rationaliser l’offre de soins et de veiller à la bonne gestion des dépenses hospitalières et médicales ...
".
Ah ok, c’est les gens qui font que des femmes accouchent au bord des routes.
Et c’est dirigé par "... parfois d’anciens directeurs des DRASS, de l’ARH et URCAM, IGAS, CPAM. D’autres proviennent du monde de la santé (Directeur d’hôpital), de la mutualité ou du top management de la grande distribution." !!!
Si je me souviens bien, le document émanant de l’OCDE en 1996 nommé "de la faisabilité des politiques d’ajustement" ( lien PDF sur le site de l’OCDE) décrivait le processus d’affaiblissement du secteur à détruire / privatiser.
Page 30 :
Les mesures de stabilisation peu dangereuse
"Pour réduire le déficit budgétaire, une réduction très importante des investissements publics ou une diminution des dépenses de fonctionnement ne comportent pas de risque politique. Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement,il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement et l’école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles,ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population."