@Sentero
Allez donc vous enquérir sur la toile (ou sur Reopen)de l’action des Jersey Girls, ces femmes qui ont fait pression sur le gouvernement US pour obtenir une commission d’enquête, cette commission qui a remis le rapport que l’on connaît.
Une vidéo montre ces femmes assistant de bout en bout aux audiences de la commission (celles qui n’ont pas été tenues en huis clos. Ecoutez ce qu’elles vous disent de ce qu’elles ont vécu, des "bidouillages" dont elles ont été témoins.
http://www.reopen911.info/video/9-11-press-for-truth-vo-st-fr.html
Manny Badillo a un mérite, celui d’inscrire le 11 septembre dans une histoire d’amour ou de complicité entre la CIA, les talibans (produit de la CIA fin des années 70 et qui ont produit Al Quaïda), et l’ISI (Service secret Pakistanais).
Sibel Edmonds ne nous dit-elle pas que Ben Laden a été instrumentalisé par la CIA jusqu’au 11 septembre 2001. Pourquoi est-elle aussi précise, pourquoi le 11 septembre. Reconnaissez qu’elle aurait pu être plus vague ou simplement évoquer le début du millénaire.
Je rappellerai enfin ce que chacun sait déjà : les relations d’affaire entre Bush et Ben Laden au sein du groupe Carlyle
dont la principale activité est l’armement et accessoirement les médias (40% du groupe Figaro, les 60% restants appartenant à la Socpresse, cad Hersant). On comprend dès lors aisément pourquoi une censure s’est instaurée en France, autocensure disent-ils pudiquement.
Pour info : une autre personnalité parmi de nombreuses autres fait partie du staff dirigeant du groupe Carlyle : Oliver Sarkozy, demi-frère de l’autre.
Troublant ! Comme dirait Bigard.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Carlyle
J’ai également lu, émanant de votre "plume" une réflexion à propos de la liberté des médias. Vous constatez que cette liberté n’a jamais été totale ; historiquement parlant, elle n’a jamais été que partielle.
Je vous en donne acte.
Toutefois ce n’est qu’une constatation a posteriori, tout comme le fait que la hiérarchie sociales médiévales du style seigneurs-vassaux-serfs n’a jamais été aussi vraies qu’aujourd’hui.
Mais devons nous pour autant nous résoudre à perpétuer cette tradition ?
Qu’une infime minorité gère le monde, ses finances, ses guerres, son système répressif, ses médias à son unique profit depuis toujours, c’est un fait.
Mais ne devons-nous pas tout faire pour changer cet état de fait ?
Sinon dans pareil cas quelle serait le résidu de signification que nous pourrions encore attribuer aux concepts de démocratie ou de droits de l’homme ?
Vous me conseillez d’"oser" ; croyez bien que je n’ai fait que çà toute ma vie mais dans un rayon d’action plus limité autrefois : internet n’existait pas encore. Et ce n’est pas à un âge où je n’ai plus rien à perdre (58 ans) que je vais me taire.