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Commentaire de poetiste

sur Les USA, refuge des nazis après la guerre


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poetiste 22 novembre 2010 21:56

L’ego est lent.

L’ego c’est le moi qui craint la fin du moi, quand il devra payer la note, en quittant ce monde. L’ego est à dimension variable, pouvant se gonfler dangereusement et ce gonflement est contagieux.
Il y a chez ceux que la nature n’a pas gâtés par les dimensions corporelles, plus de tendances à ce gonflement intempestif. Ainsi Louis 14, Hitler, Bonaparte et j’en passe, étaient petits de taille.
Mais ces prédisposés à l’ego sans trique ne sont pas les seuls car on leur voue un culte, une adoration qui réveille aussi en nous ce tropisme de l’ego sur dimensionné.
En criant : "Heil Hitler", les Allemands se son trompés de sauveur, de religion. Les petits ego sont tombés dans la séduction fallacieuse de la puissance du dictateur.
Il en est de même aujourd’hui, cette recherche du sauveur n’est pas morte. L’Histoire se répètera toujours, les ego désintéressés n’étant pas viables en politique.
Instinct de conservation, instinct grégaire, ça n’est pas maîtrisable : voilà pourquoi l’ego est sans trique, qu’il continuera à faire des ravages.


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