JFK ne fait que relater et user des « trucs et astuces » de la manipulation des médias aux ordres du « système » établi. Il rappelle que d’autres avant Mme Le pen, ont utilisé l’immigré pour justifié les malheurs de la France. Mais c’est tout ce qu’il fait.

JFK n’apporte rien, sinon qu’une comparaison des propos convenus, sans surprise de Mme Le pen (héritière de la SARL Lepen&Co) avec ceux de ces prédécesseurs en campagne électorale. Il rappelle que les Français ont la mémoire courte et que l’immigré n’est pas l’apanage du FN.

JFK sort de sa retraite ou convalescence pour nous abreuver de propos commun avec les soi-disant apôtres des « droits de l’homme », des mieux pensants de l’hygiène communautariste.

JFK exerce aussi sur la vague du FN en détournant l’attention des vraies origines de la crise, de la décadence, de la désintégration de la nation Française pour une Europe appauvrissante et abjecte.

Je rejoins les idées de « l’argentin (xxx.xxx.xxx.236) 14 décembre 14:14 » ou « par nikko (xxx.xxx.xxx.107) 14 décembre 23:48. ». L’utilité du FN comme celle des partis satellite de l’UMPS (Mélanchon, NDA…), n’a pour seule et unique vocation, raison d’exister, que de rassembler les brebis égarées, violentes ou réfractaire au « systéme », pour remettre ensuite leur vote au second tour à l’UMPS . (Cf attitude de M. Lepen lors du second tour de 2002, si minuscule à la télé ou sans voie à la radio, en usant de son droit de parole et temps d’antenne).

JFK parle pour expliquer les propos « étonnamment choquants » de Mme Lepen. Cela est surtout étonnant de la part de l’un des fondateurs de Marianne. Comme quoi, les acteurs du « système » ne sont pas à une contradiction près. C’est un pitre à qui l’on donne la parole pour professer que le FN ne fait pas pire que l’UMPS, pour masquer le vrai problème. JFK est aussi un apôtre du « système ». JFK, en le considérant cultivé, ne peut-être qu’une marionnette comme l’est celle dont il fait l’apologie.

Le FN est un jouet du « sytème » qui l’utilise pour drainer les mécontents. L’art du système consiste dans un équilibre entre donner un semblant d’importance à ces mécontents en les bernant sur de faux problèmes et en s’arrangeant à ce que leur leader n’arrive pas à la présidence. En effet, si par malheur pour le « système » le FN arrivait en tête, comment ces mécontents réagiraient en s’apercevant que leur leader ne changerait rien, que même à la tête de la France il ne pourrait pas renvoyer ces « immigrés » (Cf Rom et Sarkozy/ Tollé Union Européenne). Alors à mon grand désarroi, sans doute que le salut de la France viendra de cette révolte de mécontents, de ces mono-neurones.