Toujours dans le souci de mieux comprendre "comprendre l’empire" quelques citations de ce livre comparées aux Protocoles des Sages de Sion.
Dans
« l’empire », selon Soral, les juifs constituent le
réseau le plus puissant et cela est du à la particularité de leur
groupe ethnico-confessionnel d’origine. Une puissance basée sur de
multiples facteurs que Soral décrit en cinq points (p.109) :
-1«
Des
liens du sang (la qualité de juif se transmettant héréditairement
par la mère) ; »
Protocole :
Nous
allons parler, maintenant, de la manière dont nous affermirons la
dynastie de David pour qu’elle puisse durer jusqu’à la fin des
temps.
Soral :
-2
« Une foi plurimillénaire fondée sur le projet clairement
établi de la domination (destin historique promis par Dieu au peuple
élu) ; »
Protocole :
Nous
lisons, dans la « Loi des Prophètes », que nous avons
été choisis pour gouverner la terre. Dieu nous donna le génie pour
que nous puissions accomplir cette œuvre.
Soral :
-3
« Du cosmopolitisme (cette communauté organisée étant
présente au sein de la plupart des nations, et particulièrement des
nations développées, pour faire d’elle la « communauté
internationale » par excellence) ; »
Protocole :
Par
la miséricorde de Dieu, son peuple élu fut dispersé, et cette
dispersion, qui parut au monde comme notre faiblesse, a constitué
toute notre puissance, laquelle nous a conduits au seuil de la
souveraineté universelle.
Soral
-4
« Et de la pleine maîtrise de la modernité : finance,
médias et sciences. »
Protocole :
Nous
entourerons notre gouvernement de toute une armée d’économistes.
C’est la raison pour laquelle la science de l’économie est le
principal sujet enseigné aux Juifs. Nous aurons autour de nous des
milliers de banquiers, de négociants et, ce qui est plus important
encore, de millionnaires, parce qu’en réalité l’argent décidera
de tout.
Pour
favoriser notre plan mondial, qui est près d’aboutir à ses fins
désirées, il nous faut influencer les gouvernements des Gentils par
ce que l’on nomme l’opinion publique, prédisposée par nous au
moyen de la plus grande de toutes les puissances : la presse,
qui, à part quelques insignifiantes exceptions, auxquelles il ne
vaut pas la peine de s’arrêter, est tout entière entre nos mains.
Ne
croyez pas que nos assertions sont des mots en l’air. Considérez
le succès de Darwin, Marx et Nietzsche, préparé par nous. L’effet
démoralisant des tendances de ces doctrines sur l’esprit des
Gentils ne devrait certes pas nous échapper.
Soral
-5
« Une combinaison de solidarités ethniques, religieuses et de
classes qui en fait logiquement le réseau des réseaux.
« Un
réseau d’une puissance telle qu’aucun cinéaste ne se risquerait
à produire sur lui une fiction comparable à celles qui pullulent
pourtant sur la mafia sicilienne. Un réseau d’une puissance telle
que, malgré son omniprésence et son omnipotence avérées dans tous
les secteurs clefs de la finance, de la politique, des médias et des
sciences, rien que l’idée d’évoquer publiquement son nom
provoque, chez l’individu conscient de la fiction (…) « stupeur
et tremblement (…) ». (page 110).
Tous
ces réseaux de pouvoir, travaillant la main dans la main pour des
raisons d’intérêts financiers et de solidarité de caste,
constituent ce réseau des réseaux qui est, de fait, la structure
combattante de l’Empire (page 114)
« une
flopée de sociaux-traitres dont énumérer les noms évoquerait
immédiatement la liste de Schindler… » (page 134).
Protocole
"Par
qui ou par quoi pourrait être détrôné un pouvoir invisible ?
Or, c’est là justement ce qu’est notre Gouvernement. La Loge
maçonnique joue, inconsciemment, dans le monde entier, le rôle d’un
masque qui cache notre but. Mais l’usage que nous allons faire de
ce pouvoir dans notre plan d’action, et jusque dans nos quartiers
généraux, reste à jamais ignoré du monde en général."
"Notre
gouvernement devra s’entourer de toutes les puissances de la
civilisation au sein de laquelle il aura à agir. Il attirera à lui
les publicistes, les avocats, les praticiens, les administrateurs,
les diplomates, et, enfin, tous ceux que nous aurons formés dans nos
écoles spéciales modernistes."
"Somme
toute, nous ne rencontrerons aucune opposition. Notre gouvernement
est dans une situation si extraordinairement forte devant la loi que
nous pouvons presque le définir par l’énergique expression de
dictature. Je peux honnêtement dire que, pour le temps présent,
nous sommes des législateurs ; nous tenons des assises et
infligeons des peines : nous mettons à mort ou faisons grâce ;
nous sommes, pour ainsi dire, le commandant en chef chevauchant à la
tête de toutes les armées. Nous gouvernerons par la force puissante
parce que les restes d’un parti, puissant jadis, sont entre nos
mains ; ce parti nous est aujourd’hui assujetti. Nous avons
des ambitions illimitées, une convoitise dévorante, une vengeance
impitoyable et une haine intense."
"Nous
avons à notre service des gens de toute opinion et de tous les
partis : des hommes désireux de rétablir les monarchies, des
socialistes, des communistes et des partisans de toutes sortes
d’utopies. Nous les avons tous mis sous le harnais ; chacun, à
sa manière, mine le reste du pouvoir et essaye de détruire les lois
existantes. Par ce procédé, tous les gouvernements sont torturés ;
ils hurlent pour réclamer le repos ; et, pour l’amour de la
paix, ils sont prêts à tous les sacrifices. Mais nous ne leur
laisserons aucune paix jusqu’à ce qu’ils aient reconnu notre
Supergouvernement international."
Il n’y a aucune idée nouvelle dans le livre de Soral, que de vielles thèses qui ont mené au national socialisme et qui le conduisent à évoquer pour De Gaulle dont il nous dit qu’il a été évincé par L’Empire :
"....cette oligarchie mondialiste avec laquelle il avait pourtant pactisé deux fois : en 1940, en rejoignant le camp des alliés contre Pétain ; puis en 1958, en achevant de liquider l’Empire français dans l’affaire algérienne (page 177)."
Alain Bonnet de Soral aurait-il souhaité la victoire de l’Allemagne nazie ? regrette-t-il l’empire colonial français ?