"et les outils de propagande des décroissants est sans commune mesure avec vos ennemis..."
On ne combat pas la propagande par une propagande plus forte, mais par des actes aussi réels que symboliques que l’on applique dans ses choix et son projet de vie.
Ensuite si nos choix de vie sont cohérents il s’opère une forme de contagion naturelle
dans notre entourage.
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Ce que j’essaie de faire comprendre c’est qu’on ne peut pas se dire de gauche ou anticapitaliste quand on est un consommateur frénétique ou que l’on travaille pour une multinationale, une banque ou une agence de pub.
Nos actes quotidiens sont autant de bulletins de votes, prendre des crédits à la consommation ou travailler pour des assurances vies, c’est voter tous les jours pour les idées de Sarkozy, Madelin ou Jean Marc Sylvestre.