Sauf que Lenine part d’Autriche (avec quel fric ? Sans doute celui du Keizer qui ne pouvait que soutenir la déstabilisation de la Russie) et Trotsky de NY avec Ludwig Martens, roi de l’acier (staline) russe après avoir visité tous les grands pontes ! Évidement le soutien massif (on parle en millions $ là !) aux "missions humanitaires" pour soutenir les bolchéviques de la croix rouges US financé par les Boyles Tomphson de la FED n’ont joué aucun rôle, tandis que Armand Hammer ne s’est pas retrouvé depuis le départ jusqu’à l’arrivé dans les bon papiers des soviets !
Il n’y a qu’à regarder l’anglo(empire le plus dominant mondialement, gage d’une morale irréprochable au point de ne plus en parler)-soviet agrement pour le pétrole de Bakou ou le flux d’or soviétique vers la Guaranty Trust ! Tiens Nicholas II était la 5° fortune de tous les temps :
http://www.lalibre.be/societe/general/article/772900/et-l-homme-le-plus-riche-de-tous-les-temps-est.html
Le hasard sourit décidément aux anglosaxons. La 1° guerre mondiale débutera quand l’empire britannique n’avait aucune colonies avec du pétrole en plein boom du moteur à explosion... Après la 1° GM, ils ont le pétrole de Bakou avec l’anglos-soviet agrement et l’orient à leur pied ! C’est simple, si Staline n’avait pas redonner son indépendance à la Russie, jamais Musso (agent du MI6 depuis 1917) n’aurait reçu 100 millions $ de Morgan en 1926 et jamais un freluquet aurait été sponsorisé pour offrir une soupe populaire en pleine famine. Les rouges serait resté les chouchous de la City et Wall Street comme ils l’étaient au départ.
Et là je ne parle pas des mérites possibles des intervenants mais de la big picture derrière des événements "populaire". Je trouve dingue de ne pas en tenir compte. Nous n’avons plus l’excuse de l’instantané idéologique si tant est que c’est une excuse.