morice
Vous ne devriez pas
perdre de précieuses secondes à constater un commentaire de cette insignifiante
"araignée". La production va s’en ressentir dans votre usine à
fabriquer de l’amalgame, et vous allez décevoir vos fidèles lecteurs qui
attendent, en trépignant d’impatience, le millième épisode de votre inépuisable
roman clarificateur du monde contemporain.
Ou alors, rappelez au moins à tous vos lecteurs la nature du commentateur en question, par
exemple en faisant un copié / collé des aveux complets qu’il a dû devoir faire
à votre demande sur Agoravox il y a déjà bien longtemps :
"Un jour j’ai lu
sur un site - que je ne citerai pas tant j’ai honte de l’avoir consulté - qu’un
gars avait trouvé dans un journal un entrefilet où une dame disait qu’une amie
à elle avait, sur la plage où elle passait ses vacances à l’époque de sa
jeunesse, entendu dire qu’un homme à l’air louche avait été surpris derrière un
rocher en train de lire "Mein Kampf". C’est bien LA PREUVE que
c’était moi Pierre Régnier qui, en 1933, avait tenu la main de l’individu qui
écrivait la chose. "