@Jean-Piètre
"Quel gloubi
boulga" : si tu fais référence à ton post, je suis bien d’accord. Voici
donc quelques corrections parce que tu profères un certain nombre de
contre-vérités :
– Une fois encore, je
ne compare pas Dieudo et Orelsan ici, ça n’est pas du tout mon propos de parler
d’eux ! Fais semblant de ne pas comprendre si tu le souhaites mais je ne
vais pas expliquer encore une fois dans ces lignes quel est l’objet de cette
conclusion, je l’ai assez fait dans les épisodes en eux-mêmes ainsi que sur ce
forum, sois certain que ceux qui voudront faire l’effort de comprendre saisiront
aisément la cohérence de ce que je raconte.
– Je ne me suis jamais
positionné chansonnier – je pense même que j’ai dû me construire contre ça !
–, que tu le fasses pour moi, très bien si ça te tranquillise, mais ça t’appartient,
ne me mets pas ça sur le dos. Ceci dit, si tu vois la moindre parenté entre les
gens que tu cites et mon travail, arrête l’alcool ou le crack ou les champis ou
le mélange des trois ou plus sérieusement, toi comme beaucoup ici, penche-toi un
peu moins superficiellement sur mon travail qui est beaucoup plus éclectique et
complexe que tu ne sembles le croire avant de pérorer et de venir m’accrocher sur
tel ou tel étal avec un étiquette rassurante.
– Je ne fais aucune
fixation ni sur Dieudo ni sur Orelsan (il me semble qu’incontestablement c’est
vous qui en faites une sur le premier) !, je te renvoie au point numéro un,
j’aborde un sujet précis (la censure des organisations bien-pensantes) et il me
semble on ne peut plus légitime d’évoquer ces deux cas d’école et ce, sans m’étaler
dessus plus que de raison : le feuilleton fait plus de six heures au
final, il y a une demi-heure sur Dieudo et 15 minutes sur Orelsan. Point barre.
Ma vidéo parlerait de mon rapport aux femmes par exemple, sois certain qu’il n’y
aurait pas eu évidemment une traître seconde consacrée à votre gourou et qu’au
pire j’aurais balancé quelques phrases pour dire à quel point le rapport à l’amour
et au couple développé chez Orelsan me dégoûte passablement et n’est pas le
mien.
– Quant au cœur que je
livre ou pas, définitivement penche-toi sur mon travail avant de dire de telles
bêtises, le chapitre V de "J’veux être Grand et Beau" sur l’Amour, toutes
les dernières pages de "Je gagne toujours à la fin" où je livre mes
peurs et mes doutes, "Crève Vaquette" qui est un grand déballage de
printemps, etc., etc., etc. Après, oui, ça ne touche pas un large "public",
une fois encore je le concède, mais ce n’est certainement pas parce que je ne
livre pas mon "cœur" dans mon travail, juste parce que le cœur en
question ne ressemble pas à celui d’assez de personnes pour pouvoir entrer en
résonance avec beaucoup de monde. C’est autre chose et je n’y peux mais à moins
de me mettre à écrire des choses insincères en imaginant ce que doit être le
goût du "public". Sauf que ça ne marche pas comme ça ou en tout cas
que ça ne devrait pas marcher comme ça.
Beaucoup de bêtises
donc totalement infondées, au final moi aussi je peux parler de tas de sujets
que je ne connais pas en émettant un avis définitif en vingt lignes. Tout le
monde peut le faire. Ça n’a pas grand intérêt.