Le bal des faux-culs version 2013 !

Bla-bla sur les obédiences, les femmes...
Mensonges, non-dits sur la révolution et la république...
L’éternel principe d’inversion : « les francs-maçons martyrs de la révolution »...
Le seul point important à retenir de cet entretien pathétique me semble être l’expression « république universelle ». L’expression est apparue en 1792 avec l’ardent révolutionnaire et « cosmopolite » baron Anarchasis Clootz dans son ouvrage « La République Universelle, Adresse aux tyrannicides ». Un banquier prussien naturalisé français par les révolutionnaires de la Convention pour ses talents d’« Orateur du genre humais (mais pas du peuple français) », franc-maçon, un des meneurs du Club des Jacobins et fils spirituel d’Adam Weishaupt qui s’est déclaré « ennemi personnel de Jésus-Christ  » et a voté l’exécution de Louis XVI sans l’appel au peuple.
Une synthèse à lui tout seul !
 
Renseignez-vous pour celles et ceux qui découvre l’expression ! Il s’agit d’une clé de lecture importante. Vous ne tarderez pas à remonter les filières vers l’Union européenne, l’Union nord-américaine, le Grand marché transatlantique... Sans oublier la plupart des organisations mondiales (OMC, OCDE, OTAN, ONU, OMS, etc) et les think-tanks internationaux politico-militaro-commerciaux.

Si frère Bauer, ancien Grand maître du Grand Orient de France (la cantine des socialistes), n’a pas trouvé de lien de parenté avec les Rothschild, il y en a au moins un avec le baron Nathan Mayer Rothschild (un des cinq fils du fondateur de la dynastie, patron de la branche anglaise), initié à la loge Émulation No 12 à Londres en 1802. Il y en a d’autres dans la famille, renseignez-vous.
La véritable question avec les F.·. n’est pas de savoir qui en fait partie, mais qui n’en fait pas partie. Je ne parle évidemment pas des loges bleues ( 90 % de l’effectif total), à peine plus au courant que le quidam des véritables objectifs, mais de dirigeants et personnalités publiques dans le système financier, la banque, la politique, les gouvernements et les affaires.